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4ème de couverture :Pour Jeophras Denio, rien n'est impossible ! Tout le monde sait qu'il est le meilleur inventeur de la ville. Si seulement son engin volant arrivait à fonctionner... Mais quelle machine, quelle équation pourrait l'aider à conjurer le malheur de sa fille Carline ? Elle a été jetée en prison à la suite d'une réception au palais. Pour elle, c'est la potence, s'il ne parvient pas à l'innocenter du meurtre de Nerio de Lethys.Endosser le rôle d'un détective n'est pas une mince affaire, même avec l'aide d'un garçon débrouillard comme Alexis. Mais Jeophras ne pensait pas se faire piéger dans un tel engrenage... Dvern est une cité d'intrigues où les puissants jouent à des jeux dangereux. Lequel d'entre eux convoite le pouvoir ? Qui, à la cour, fomente ce complot ? Une séduisante comtesse, un maître d'armes, le prince en personne ? Jeophras ferait bien de se méfier, s'il ne veut pas tomber au fond du labyrinthe. Derrière cette affaire se cache un mystérieux secret, vieux de dix-huit ans... Mais pour le découvrir il vous faudra pratiquer le Jeu de l'Oie. Suivez donc Jeophras sur la Voie du Cygne...
A la 1ère lecture, accompagné par les morceaux de Bach et d’Albinoni, j’avais été emporté dans les rues de Dvern par la prose de Laurent Kloetzer et immergé dans sa belle ambiance renaissance italienne. J’avais été captivé par la réécriture du mythe du Minotaure et l’enquête qui se livrait en parallèle qui essayait de reconstituer le passé pour mieux comprendre le présent.A la 2ème lecture, accompagné par des
4 Saisons de Vivaldi, j’ai été moins séduit par l’ambiance et les péripéties de l’intrigue.Mais j’ai été convaincu par la maestria avec laquelle on joue avec les personnages et les lecteurs en les trimbalant d’un lieu à l’autre.J’ai pu apprécier l’ambigüité des personnages, de leurs relations et des situations. ^_^J’ai pu apprécier les nombreuses références à
Mémoire vagabonde en particulier et à l’univers Kloetzerien en général. ^_^Cet auteur est particulièrement talentueux, qu’on se le dise !
