

Je ne crois pas que ce soit prévu, ou alors, je l'ai raté dans l'article. mais il me semble que c'est juste un exercice de style qui sera cantonné aux colonnes de Wired et à son site Internet.Aillas,vendredi 27 octobre 2006, 14:03 a écrit :mais bon, je demande à voir le recueil ! En plus, ça va être dur pour la mise en page
J'aime beaucoup ces 2 là :)J'ai également du mal à cerner celle d'Alan Moore (Machine. Unexpectedly, I’d invented a time), et je crois qu'aucune explication ne pourra m'étonner venant du bonhomme ;)Je trouve l'exercice vraiment interessant, parce qu'il se rapproche énormement de certaines premières lignes d'ouvrages. En quelques mots, il y a déjà un univers qui se dessine, notre imagination commence à broder autour de ce qui est écrit. Et une petite phrase de 6 mots qui reste en tête pour un bout de temps.Et pour reprendre ce que disait Tanis plus haut, c'est en cela que je trouve que dans celles qui sont proposées, il y en a qui se limitent à être une conclusion, d'autres une introduction, tandis que certaines sont des histoires à part entièreThere were only six words left.- Gregory MaguireCommas, see, add, like, nada, okay?- Gregory Maguire
C'est assez impressionnant de voir qu'en six mots on peut immédiatement indiquer un contexte, un genre littéraire, et toute une histoire. C'est le côté instructif de l'excercice mais par la force des choses ça finit par ressembler à une série de "jokes", sans compter que certains auteurs semblent faire des références internes....(hum Moorcock sur Hitler, je me demande à quoi il a voulu faire allusion?Computer, did we bring batteries? Computer?- Eileen Gunn
Heaven falls. Details at eleven.- Robert Jordan
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