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161 par Gillossen
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ette fois, c'est peut-être la bonne. Après quelques échecs cuisants, dont le Cytale porté par Jacques Attali au début des années 2000, l'eBook, ce « livre numérique » qui permet de concentrer – et lire – divers écrits sur une tablette numérique, connaîtrait enfin son heure. Amazon et Sony ont dévoilé les leurs en Europe cette année. Mais d'autres, moins connus, existent aussi, ou du moins sous forme de prototypes dans les labos. Pour certains, ils préfigurent de nouveaux usages. Ce sera peut-être le cadeau high-tech à l'occasion des fêtes de fin d'année, même si les ventes tardent à décoller en France. Alors que les fêtes de fin d'année constitueront LE test crucial pour savoir si le livre électronique est capable de dépasser le stade de nouveauté destiné aux geeks, pour devenir un produit de consommation de masse. Un tour d'horizon.- ReaderSony PRS 600 Les eBooks au banc d'essaiAprès avoir testé quelques années le livre électronque au Japon quelques années (série Librié lancée en 2004), puis en France à partir de fin 2008, Sony a lancé en novembre 2009 le PRS-600. Il ne se distingue pas vraiment de ses concurrents par ses caractéristiques techniques (écran noir et blanc de 6 pouces, résolution de 167 dpi, technologie d'encre électronique E-ink, capacité de stockage de 512 Mo de mémoire interne, équivalente à 330 livres, et capacité d'extension par une carte-mémoire de 16 Go maxi).Mais on appréciera, à l'usage, son écran tactile, la possibilité d'y surligner et annoter des passages, d'écouter de la musique en format MP3, d'y visionner des photos... Il permet d'accéder aux catalogues Numilog (groupe Hachette) et Google Books. Détails techniques ici:http://www.sony.fr/product/rd-reader-ebook/prs-600Coût :250 € - Amazon Kindle Le plus connu des eBooks, disponible depuis novembre 2007 outre-Atlantique, lancé en Europe par le géant américain Amazon cet automne. Nous l'avons testé, et apprécié avec certaines réserves.Les eBooks au banc d'essaiSes plus : sa capacité de stockage (2 GB en interne, équivalente à 1 500 livres, et l'utilisateur a à sa disposition 1,4GB), sa rapidité (60 secondes pour télécharger un ouvrage), et surtout sa connexion 3G, dont ne disposent pas ses concurrents, qui permet de se connecter à Internet pour télécharger des contenus (livres numérisés, journaux et magazines...). Sachant que le format des contenus est propriétaire : ils sont protégés par un système de gestion des droits numériques (DRM).On appréciera aussi les multiples formats qu'il accepte, la possibilité d'y écouter de la musique, de surligner, prendre des notes, faire des recherches dans un livre, ou encore organiser sa bibliothèque par titres, auteurs, ou date d'acquisition.Autre nouveauté, il inclut dans son catalogue divers journaux hebdomadaires et quotidiens, dont Le Monde et les Echos en français.Mais la navigation sur ces journaux est peu aisée. Autre point noir, pour l'instant, son catalogue disponible est réservé aux anglophones, avec 295 000 titres en anglais livrables en France.Surtout, d'aucuns lui reprochent de ne pas pouvoir de lire nativement les formats ePub ou le PDF. Prix :259 $ plus les frais d'envoi - Cybook Opus de Bookeen Les eBooks au banc d'essaiDernier-né d'un des rares Français présents sur le créneau, il est commercialisé depuis cet automne, entre autres, par la Fnac – qui vendait exclusivement le Reader de Sony jusque là. Cet e-book pâtit de certaines lourdeurs techniques (écran 5 pouces, résolution de 200 dpi, non-tactile, pas de possibilité de surligner du texte, de prendre des notes...), compensées par une bonne capacité de stockage (1 Go, équivalente à 1 000 livres, possibilité d'extension avec une carte Micro SD de 4 Go maxi).Bookeen annonce un catalogue disponible de 75 titres pré-chargés (surtout des livres du domaine public, fournis par Feedbooks, extraits de livres récents). Il permet d'accéder via le catalogue Fnac.com à la librairie en ligne Numilog (Hachette), ePagine (Gallimard) Google Books, et eBooks.Par ailleurs, Bookeen annonce lancer courant 2010 un premier lecteur de livre numérique qui sera équipé d'un écran tactile et d'une connexion wifi, dévoilé au Consumers Electronic Show de Las Vegas en janvier 2010.Plus d'infos iciCoût :250 € - iRex iLiad DR800SG Les eBooks au banc d'essaiDévoilé le 21 octobre par le constructeur hollandais iRex, spin-off de Philips, c'est le premier modèle grand public de la gamme iLiad. Il risque de s'imposer comme concurrent sérieux face au Kindle, dont par son prix.L'iLiad DR800SG est ainsi doté d'un écran tactile particulièrement confortable (8,1 pouces), et d'une connexion wi-fi, qui permet de télécharger des contenus via Internet. Il se connecte aussi à un ordinateur par un câble USB. Il comporte une mémoire de 256 Mo extensible par clé USB ou carte mémoire. Autres atouts, il est compatible avec la librairie numérique de Barnes&Noble (soit à la clé un catalogue de titres). Il lit des fichiers ePub, non protégés ou verrouillés par DRM. Ce Reader pourra lire des journaux à l'aide de NewspaperDirect.Il est annoncé pour début 2010 en Europe.Plus d'infos iciCoût annoncé :400 $ - Nook de Barnes & Nobles Les eBooks au banc d'essaiDRC'est cette fois un libraire – l'Américain Barnes & Nobles – qui a dévoilé, fin octobre, son propre lecteur de livre numérique, Nook, annoncé pour 2010.Doté d'une double connectique Wifi/3G, qui permettent de télécharger des documents par une connexion sans fil, il comportera aussi un système de double écran. En plus d'un premier écran monochrome de 6 pouces basé sur la technologie e-Ink, le Nook a un second écran couleurs et tactile de 3,5 pouces, basé sur une technologie LCD. Il peut aussi servir de lecteur numérique MP3. Surtout, il permet au lecteur d'accéder à l'ensemble du catalogue de l'éditeur.Plus d'infos iciCoût annoncé : 259 $Un eBook de 6'' reposant sur la techno e-ink. Il accepte les formats PDF et ePub.Bon point, il permet d'imprimer» tout ce que l'on lit à l'écran en format PDF avec le logiciel inclus pour Windows. De plus, sa dernière mise à jour le rend compatible avec le format ePub.Disponible sur Rue ducommerce.fr pour 250 €Plus d'infos ici Projets / Annoncés pour 2010 - Polymer Vision de ReadiusLes eBooks au banc d'essaiDRUn lecteur e-book qui était prometteur : repliable, c'est un lecteur e-book, mais aussi lecteur mp3 et téléphone mobile. Joli projet, pourtant avorté, à cause de coûts de développement trop importants, et de la mise en faillite de Polymer Vision cet été, comme le révélait eBouquins. - Que de Plastic Logic Annoncé pour 2010, il comportera un écran tactile, et une double connectique Wifi/3G.Les eBooks au banc d'essaiDR - Alex de Spring DesignLes eBooks au banc d'essaiDRCette sorte de tablette comptera deux écrans, l'un de 6" utilisant une technologie monochrome EPD ( Electronic Paper Display ) fournie par E Ink, et l'autre de 3,5" LCD capable d'afficher du contenu multimédia. Il comportera une double connectivité WiFi et 3G ou GSM, selon les configurations. Une des particularités étant que ce lecteur « tournera » sous le système Google Android. - Solar cell E-book de LGLes eBooks au banc d'essaiDRLe prototype de ce livre électronique, dévoilé en novembre, a pour particularité de se recharger à l'énergie solaire (en 5 heures d'après LG) grâce à son panneau solaire ultra-fin. 7 mm d'épaisseur pour un poids-plume de 20 g, il permet de lire de 10 à 20 ouvrages de 400 pages. Mais LG ne dit pas quand cet e-book solaire sera commercialisé
http://www.lexpress.fr/culture/livre/le ... tor=AL-447

162 par gAlly
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d_bruno a écrit :Et vous ? Pensez vous vous y mettre ? d'après les quelques posts précédant, j'ai l'impression que c'est plutôt mitigé.
Mitigé pour moi aussi. L'idée ne me plaît (mis à part pour l'avacement technologique, j'suis quand même une geek) que pour partir en vadrouille et encore j'aime bien me balader avec mon livre papier. L'objet en lui-même que je sois chez moi ou à l'extérieur me permet d'être ailleurs déjà simplement par le côté tactile.Si j'avais plein d'argent alors oui, j'achèterai ce "gadget". Finalement mis à part arriver à faire entrer 3-4 livres dans ma valise sans les abîmer, ça ne me dérange pas du tout de trimballer mon livre partout. Bon après je pourrai changer d'avis à l'utilisation finalement.Puis les reflets, le fait de ne pas trouver tout ce qu'on veut en numérique,... ca me fait peur. A choisir je pencherai plutôt vers les livres audio pour mes trajets en voiture.

165 par Favrielle
Adhérent
j'imagine aussi qu'un intérêt du livre électronique est pour les chercheurs. C'est intéressant de pouvoir savoir combien de fois tel mot est utilisé, c'est intéressant peut-être quand on lit en VF de pouvoir chercher quel est le mot en VO, car j'imagine qu'à terme il y aura des versions multilingues.Enfin si on fait des recherches, mais je pense que tôt ou tard dans des études, il y a des dossiers à faire, des mémoires, des productions de tailles variées. Un outil de ce style va dans le sens de stimuler la recherche, l'efficacité dans le travail, la précision.Bon ça c'est l'aspect recherche, pour le reste ben je préfère le papier aussi, mais la question de la place est une question fondamentale, on est vite envahis par les livres ... enfin moi je le suis ...

166 par d_bruno
Vala
Oui, il y a aussi beaucoup de métier qui ont un intérêt énorme dans le livre numérique. Exemple ? tout les métiers du droit. Ils rachètent des éditions papier au moins une fois par ans (et reçoivent les modifications et ajouts au moins une fois par mois). L'informatique, des bouquins sortent sur des frameworks, ces bouquins sont obsolètes 6 mois après leur sortie. Les updates sont vraiment intéressant et le gain de place est vraiment énorme. La médecine aussi est très intéressée par ce format.

168 par d_bruno
Vala
non pas du tout en fait, je suis simplement un grand gosse que sa femme bride car ses livres prennent beaucoup trop de place ;). Maintenant c'est vrai que quand je vois la quantité de codes nécessaire à ma femme pour exercer, j'ai vite fait le rapprochement.Bon,étant plutôt convaincu par le concept à titre personnel, je testerai pour vous c'est sur ^^.

170 par d_bruno
Vala
Pour les livres achetés, Amazon et la fnac exploitent déjà ces infos. Ensuite le temps passé à lire etc... ça me parait évident qu'ils vont tenter de l'exploiter, c'est pour ça qu'il faut rejeter en bloc les DRM. Les DRMs sont une très grosse erreur de la part des éditeurs. Tout ce qu'ils vont arriver à faire c'est favoriser le piratage, et gêner les acheteurs honnêtes. Car si il y a des DRM sur un produit, il est facile de récupérer une version sans DRM pour éviter les ennuis de fichiers lié à un lecteur. Ils mettent des DRM pour éviter les 'vols' (entre guillemet car c'est plus de la contrefaçon qu'un vol, étant donné qu'on copie un fichier). Mais ils sont déjà en retard on trouve des livres qui ne sont pas sortis en version numérique, avec des logiciels capables de bien se débrouiller avec la mise en page quand celle ci pêche sur le fichier d'origine (et ça va aller en s'améliorant vu que c'est seulement un problème logiciel).Les loi Hadopi ne servent aussi qu'a gêner les utilisateurs lambda qui se font pirater leurs connexions internet. Si tu as besoin de quoi que ce soit tu passe par des liaisons cryptées et des proxies étrangers et ils vont vraiment avoir du mal à trouver quoi que ce soit. N'importe qui peut pirater la connexion wi-fi de son voisin et télécharger du contenu illégal ensuite.Sinon je trouve que le plus sournois de tous, c'est google, il stock vraiment toutes nos actions; c'est effrayant. Si vous utilisez igoogle, les mail, agenda, reader, google talk, etc... tout est très facile d'utilisation ils peuvent recréer votre réseau de contact, vos habitudes, centres d'intérêts, vos recherche sur le net, en créer des profil et l'exploiter, voir le revendre. Avec les mobiles Android, c'est encore pire, car la synchro des contact est automatique donc Google récupère la liste de vos contacts téléphoniques sans que vous vous en rendiez compte.

174 par Guigz
Modérateur
1. 95% des lectures se feront sur écran. 2. Il y aura moins de librairies mais beaucoup plus de livres. 3. La chaine de distribution de l’auteur au lecteur va se simplifier. Les dinosaures, sangsues et autres parasites seront évacués du nouveau système de publication encore plus rapidement. 4. La plupart des auteurs seront des auteurs Indies. 5. Les éditeurs qui réussiront seront ceux qui reverseront le plus de profits nets aux auteurs. 6. Si aujourd’hui les majors de l’édition détiennent 50% du marché, d’ici 10 ans, leur part devrait diminuer de 10% alors qu’il y aura beaucoup plus d’auteur. L’avantage ira à ceux qui sauront le mieux atteindre leur public. 7. Dans 10 ans nous seront tous auteurs, éditeurs et libraires. 8. Il n’y aura plus de différenciation entre "book" et "ebook". 9. Les auteurs écriront pour un marché mondial.
Hum, ces 10 points ont l'air de partir du postulat que le livre numérique va éradiquer le livre papier, or : 1 et 2 ==> Les ventes actuelles de livres en librairie+grande distribution+Grandes surfaces culturelles (FNAC, Virgin...)+Magasins de presse (Relay, Maisons de la presse...) totalisent à elles 4 plus de 70% des ventes totales de livre chaque année, De plus, je ne connais pas le pourcentage actuel des personnes lisant uniquement sur un écran mais je pense qu'il est sans doute infime, en effet quelles personnes rien que sur ce forum lisent uniquement sur un écran ?6 ==> N'est-ce pas déjà le cas pour la majorité du secteur éditorial que de trouver des auteurs le mieux à même de toucher un public ? 8 ==> Je ne comprends pas non plus cette histoire qu'il n'y aura plus de différenciation entre "book" et "ebook", c'est beau de penser que la technologie est tellement forte qu'elle va remplacer le support papier, que c'est "la 3e révolution du livre" après la découverte du papyrus et de l'imprimerie, seulement c'est oublier l'attachement que les gens accordent à l'objet livre en lui-même. Et je ne pense que tout le monde acceptera de se débarasser de sa bibliothèque personnelle pour la remplacer par un objet en métal qu'il faudra de toute façon remplacer plus régulièrement qu'un livre qui résiste davantage à l'usure du temps. 9 ==> Les auteurs n'écrivent-ils pas déjà pour un marché mondial ? Quand je rentre aujourd'hui dans un Gibert Joseph et qu'au rayon littérature je trouve aussi bien des romans écrits par des auteurs francophones, anglo-saxons, espagnols, portugais, indiens, japonais, chinois, turques, persans, allemands, hollandais, flamands, suèdois, russe, est-européens, je pense que cette histoire de marché mondial existe déjà et que les auteurs en ont pleinement conscience et même Tolkien avant de mourir a eu le temps de voir Le seigneur des anneaux commencer à se diffuser de par le monde.Mon avis personnel c'est que le livre numérique est une bonne chose au sens ou il est pratique, on pourra désormais archiver des tonnes de livres dans des espaces bien plus réduits qu'auparavant, il faut également qu'il pénètre le marché du livre pour le redynamiser car il permettra peut-être de convertir une nouvelle génération de lecteurs davantage habitués à l'écran que nous. Cependant il n'est pour l'instant pas envisageable que le livre papier disparaisse car il est bien trop ancré dans les moeurs culturelles de chacun, 10 années est une période bien trop courte et je pense que cette prochaine décennie verra davantage une cohabitation des deux supports, l'un drainant la grande majorité des ventes de livres : le support papier, l'autre prenant une place plus mineure (10% en extrapôlant) mais solidement acquise.

175 par Dark Schneider
Elbakinien d'Or
De toute façon le mec qui a dit ça est un éditeur d'ebook. Il prêche pour sa paroisse et veut donc nous autopersuadé. Le chiffre de 95% me parait improbable. Néanmoins, je pense quand même qu'il y aura une certaine évolution dans quelques années, vers le livre électronique, mais pas dans de telles proportions.

176 par Zayn
Lige
95% des lectures sur écran - il y a des chances que je ne lise plus beaucoup dans ce cas... même si le chiffre me paraît à moi aussi clairement surestimé. J'adhère particulièrement à l'argument objet livre/bibliothèque.

177 par Linaka
Maïa
Un peu comme vous tous, j'ai l'impression que ces 10 points sont plus ou moins une grosse blague. Dans 10 ans, tous auteurs/éditeurs/libraires? Je ne vois pas comment. Ces 95% me paraissent aussi être un beau rêve pour notre vendeur d'ebook ; on peut à mon sens le rapprocher des prévisions plus ou moins sérieuses qui disaient que les gens en viendraient à manger en avalant des pilules (au poulet, à la pizza..), alors que de toute évidence il y a un retour à la cuisine maison. Comme l'envie d'un bon repas, l'envie d'un bon livre papier avec tout ce qu'il comporte de sensations de lecture ne disparaîtra jamais, au moins jamais autant que cela. L'avantage de l'ebook, c'est surtout au niveau du voyage qu'on le trouve ; mais peu de gens voyagent vraiment assez pour qu'il prenne une telle place.Et que la plupart des auteurs soient Indies dans dix ans, ça, j'attends de voir :)

179 par Sered
Vala
J'ai été entendu, je vois.Ceci dit, concernant Apple (comme Google-HTC qui prépareraient qq'chose), il n'y a aucune confirmation officielle de quoi que ce soit...2010 m'a l'air d'être parti pour être l'année des tablettes dans tous les sens : du pur tactile comme Apple/M$-HP/Goo-HTC comme de l'émergence des eBooks.Reste qu'en france les bibliothèques en numériques sont ridicules, les éditeurs étant à la ramasse....S.

180 par Jadis
Istar
Le 3 me dérange profondément et encore plus la manière dont sont qualifiés les intermédiaires dans la chaine du livre. La chaine du livre donne du boulot (et un boulot vachement intéressant qui plus est) à pas mal de monde. Je ne qualifierais donc pas ces personnes de parasites. Parasites ils deviendront s'ils n'ont plus de boulot, par contre ... Casser les chaines de distribution, c'est vraiment pas anodin. L'ont bien montré certains vendeurs de jeux vidéos en refusant d'avoir la PSP Go en magasin.Puis le 5. Les éditeurs qui réussiront seront ceux qui reverseront le plus de profits nets aux auteurs. Bref, les grosses maisons d'édition, avec le risque de proposer une littérature aseptisée et purement commerciale. On va se retrouver avec rien que du Lévy à lire. C'est vraiment enthousiasmant :DQue veut-dire Indie ?
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