Ben du coup, je me dis qu'on voit pas les choses de la même façon finalementMalkus a écrit :On va dire qu'on est dans le consensus mou !





Ben du coup, je me dis qu'on voit pas les choses de la même façon finalementMalkus a écrit :On va dire qu'on est dans le consensus mou !
D'accord avec le reste... (sauf la logique commerciale de Bragelonne mais bon, j'en ai déjà parlé ailleurs alors...)Sinon, juste pour rebondit sur Luna. Dans cette collection comme dans celle des Warhammers ou autres d'ailleurs, il n'y a pas que du mauvais, loin, très loin de là. Citons par exemple Tanith Lee.ZeddWitch a écrit :Si on parle pas ici de bit lit qui fait le tri entre Briggs par exemple et les auteurs LunaMalkus a écrit :On va dire qu'on est dans le consensus mou !
. Tu peux toujours nous proposer des oeuvres méconnues, afin que nous puissions en discuter des mérites par rapport au tout-venant.Malkus a écrit :Reste qu'etant d'accord avec ce que vous êtes amenés à dire, et sans chercher a rentrer dans le tas pour le principe, il me semble que Elbakin est loin d' étoffer son catalogue avec de tels titres, je parle de ceux qui font "bouger" le genre, mais qu'au contraire, vous passez un temps assez considérable sur la production "stagnante", alors qu'on ne voit déjà qu elle sur les têtes de gondole.
Ca fait des années que je consulte le site et il est vrai que j'y ai vu de nombreuses critiques récoltant le fameux 7/10 qui me semble souvent désigner des romans "moyen" ou "bien sans plus", or 7/10, c'est une bonne note, ça désigne quelque chose de fonciérement positif. Bref, j'ai le sentiment qu'il y a un léger surnotage quand même. Hier je consultais la critique d'un tome de L'épée de vérité, il se fait laminer et récolte au final un 3,5/10, soit 7/20. Une mauvaise note, mais pas non plus un truc catastrophique.C'est sur c'est le contenu de la critique qui est le plus important, mais quand il y a une note, on focalise dessus et je suis persuadé que tout le monde ne fait pas l'effort de lire la critique, où se contente juste de la conclusion.Malkus a écrit :JeSeulement, mettre des sept à la majorité des romans critiqués me fait me demander si le barême n’est pas un peu trop sympathique. Peut-être le détail du texte de la critique est-il, souvent, plus explicite, n’empêche que…je suis d’accord, entre la sanction et l’encensement, il y a un juste milieu, et c’est peut-être un trop grand pas du côté de la neutralité que je reproche à Elbakin.
Une pirouette ; ce n'est est pas une, du moins, pas de mon point de vue. Comme beaucoup, tu te mets en position de supériorité en défendant ce que tu appelles une "littérature de qualité". Dans mon travail (je suis libraire) comme sur elbakin, j'essaie de faire lire aux gens des romans qui peuvent d'abord leur plaire. C'est peut-être stupide mais j'ai toujours pensé que les gens devaient lire et même ce que tu considères comme de la littérature "bas de gamme". Pour moi, il est nécessaire de donner des portes d'entrées aux lecteurs ; ça me fait toujours beaucoup rire quand je vois çà et là sur des forums des gens qui veulent conseiller à tout le monde du baxter et du egan en sf, ou du duncan et wolfe en fantasy. Dégoûter un lecteur mis à part, je ne vois pas à quoi cela peut servir... Tu penses que je veux m'opposer à l'élitisme. C'est vrai. Je trouve ça tellement facile de rester sur ses échasses à cracher sur la majeure partie des titres qui paraissent, à montrer du doigt la prétendue stupidité de leurs lecteurs ; par moment, je me surprend à avoir quelques avis tranchés aussi. Il n'y a pas si longtemps, je considérais tout Warhammer comme mauvais ; depuis, j'en ai lu un et j'ai vu que je m'étais trompé. Il y a aussi du bon. Certains élitistes critiquent le grand public qui lit de la littérature "bas de gamme". J'ai bien plus souvent vu le second faire l'effort d'aller voir la littérature du premier que l'inverse... Mais bon, c'est tellement mieux de rester aveugle...Malkus a écrit :A ce propos, et sans vouloir jouer le contrepied systématique, je trouve que c’est une drôle de pirouette de vouloir défendre l’aspect « populaire » d’une littérature en la cantonnant à la prolifération d’une littérature « moyenne/ bas de gamme » soit « pour tout le monde » ; ces mots sont ceux que je traduis de façon un peu éxagérée de Zedd si mes souvenirs sont bons…je sais bien (j’imagine) que telle n’était pas ton intention en t’exprimant de la sorte. Mais c’est en voulant l’opposer à « élitiste » qu’on a l’impression de sombrer dans du « donnons de la merde à bouffer à ce qui en veulent, si ça les rend heureux ! ». (par ailleurs, je pense que vous pouvez exister en dehors de toute comparaison avec le fameux cafard, car c’est de lui qu’on parle lorsqu’on utilise le terme « élitiste » ; pour expliciter votre démarche, inutile de l’opposer à celle-là, et encore moins de vous en justifier. Expliquer qu’on est simplement humble dans ses aspirations, face à un railleur qui étale sa science plus que parfaite aurait tendance à vous rabaisser plus qu’à vous légitimer, enfin, ça n’est (hem, comme tout le reste ici, probablement) qu’un avis perso.)
Pour rebondir sur ce que tu dis au sujet des têtes de gondole, je me farcis en ce moment le quatrième tome tome de l'âge du feu ; je n'aime pas du tout. Tu semble croire que c'est toujours avec joie et félicité que l'on lit telle ou telle série. En ce qui concerne les notes, mettre une note est un exercice difficile. Tu remarqueras que s'il n'y a pas beaucoup de 2 ou de 3, les 9 et 10 sont tout aussi rares. C'est souvent les livres que l'on a ni adoré ni détesté qui sont le plus difficile à noter.@Linaka : je ne dis pas qu’Elbakin favorise les têtes de gondole ; c’est un peu extrémiste, mais je lui (leur) « reproche » de seulement y prêter attention lorsqu’elles n’ont rien à en dire de plus que « rien de transcendant ». Visée informative, je suis tellement accaparé par le reste que j’en oublie de penser que oui, il est utile de savoir que cette tête de gondole n’est rien de plus … qu’une tête de gondole, voilà ! Seulement, mettre des sept à la majorité des romans critiqués me fait me demander si le barême n’est pas un peu trop sympathique. Peut-être le détail du texte de la critique est-il, souvent, plus explicite, n’empêche que…je suis d’accord, entre la sanction et l’encensement, il y a un juste milieu, et c’est peut-être un trop grand pas du côté de la neutralité que je reproche à Elbakin.
Pas d'accord pour les élus... mais bon.Tu sais à quoi t'en tenir. Je sais à quoi m'en tenir. Ce n'est pas la majorité des personnes. Je travaille dans une librairie spécialisée, et donc visitée par un public plutôt averti, et au la moitié peut-être ne sait pas à quoi s'en tenir. Quand tu vois le prix d'un livre, c'est normal de se diriger vers un roman que tu penses pouvoir te plaire plutôt que vers un titre mystérieux. Et puis, tu dis que tu sais à quoi t'en tenir ; je n'en suis pas sûr. Certaines couvertures banales et quatrièmes ordinaires cachent de très bons romans... Franchement, sans Gillossen, je ne serai jamais aller voir le cycle d'Ea ou le cycle de Merlin de Mary Stewart. Tu en connais beaucoup des sites qui les ont défendu ? Non, c'est trop classique, ça vaut sûrement pas le coup...Il n’y a donc pas d’élus qui se lamentent dans leur coin, mais des oubliés à la pelle, pour assurer une mission de « service public », de renseignement quant à la qualité « des têtes de gondoles » (englobons-y tout ce qui pourrait paraître « convenu » à un lecteur un peu averti), quand on sait pour les trois quarts à quoi s’en tenir sans avoir ouvert le truc. Les lecteurs qui ne cherchent pas bien loin n’ont, je me réserve le droit de le croire, pas besoin de subtilités critiques, quant aux autres, ils savent plus ou moins ce qu’ils vont trouver, pour leur bonheur auto-alimenté de consommateur de fantasy. Tiens, c’est ce qu’on pourrait reprocher aussi, à tout ce petit monde : se créer un bon groupe de consommateurs, soutenu par des relais d’opinion importants qui, sans vouloir mal faire, tentent de juger de cette production, sans pouvoir admettre qu’elle est objectivement mauvaise (puisqu’elle ne l’est pas), au nom de l’objectif qu’ils se sont fixés, à savoir fournir des directives (involontairement ou pas) pour la consommation de ces objets. Dans le même temps, oui, ça fait moins de temps à accorder au « reste ». Mais avant une conception particulière de la défense de la fantasy, il y a un lectorat Elbakin à satisfaire, et pour le meilleur et pour le pire, on ne peut échapper au contrôle, à l’influence du « client ». Il faut composer avec, en plus de ses aspirations ; je ne dis pas que c’est facile.
Je m'occupe d'un autre site internet consacré aux genres de l'imaginaire ; c'est la croix et la bannière pour avoir des SP. Alors, quand on doit se procurer un roman de ces éditeurs, on achète. Enfin, Gillossen l'a très bien expliqué dans son message. Il y a quelques critiques de Moutons ou de Griffes d'encre (d'ailleurs sur les autres sites, la proportion de ces petits éditeurs n'est pas énorme non plus) : des livres que l'on voulait mettre en avant : La Porte, Gagner la Guerre, et. Alors oui, j'aimerai mettre mieux en avant ces titres mais pourquoi toujours taper sur le site ?Pour Critic, rien à redire si ce n'est que je n'ai aucune influence sur la note ou la critique.Quant aux éditions Critic, si leur gestation, j’imagine, ne date pas d’hier, elles n’existent pour moi que depuis quelques mois ; or, elles ont aussi leur visibilité ici parce que Zedd en fait partie, et que Zedd fait aussi partie de Elbakin, et, inévitablement, des liens se sont créés. Ceci n’est en rien condamnable, c’est même tout à fait logique, et tant mieux si une jeune maison d’édition qui publie des trucs intéressants a des appuis pour se trouver mieux exposée. Comme là n’est pas le problème, je ne peux rien rajouter d’autre. Ah si, je trouve dommage qu’un éditeur comme Griffe d’Encre ne soit pas plus mis en avant, qu’il en aille de même pour les Moutons...
C'est justement là où je ne suis pas d'accord. Ce que "veut" le lecteur est le plus important. Il doit en avoir pour son argent. Alors, tu lui donnes ce que tu penses être le mieux pour lui. Et lorsqu'il te demandera autre chose ou que tu lui auras assez cassé les pieds pour aller voir un truc un peu plus osé, il tentera l'expérience ou non (sic!). Gérard Klein le dit lui même : le public a toujours raison. Point.Je peux aussi, maintenant, me demander si défendre et promouvoir la fantasy, c’est encourager l’initiative éditoriale des petites structures, leur fournir une visibilité… ou si, pour un site comme Elbakin, ce serait déjà, à outrance, prendre parti et oublier ce que veut le lecteur ; même si ça passe parfois par du grand format Milady, et même si on pleure un peu que la logique mercantile aie pris le pas sur le « reste ».
Je crois surtout que tu nous prêtent des intentions que nous n'avons pas. Elbakin.net est un site de passionnés. On fait découvrir nous coups de coeur. Point. Et c'est très bien comme ça. Pourquoi partir en croisade quand on peut simplement parler de ce que l'on a aimé...ZeddC’est précisément ce contre quoi vous pensez agir, mais de ce que j’aperçois en venant de temps en temps vous visiter, j’ai l’impression non pas du franc contraire, mais tout de même, de discerner un léger contretemps entre l'intention et les actes. Pas uniquement de votre fait, il y a toujours des forces agissantes…enfin, je sais pas. Toujours est-il que si je poste tout ça, ce n’est pas parce que mon avis est arrêté, bien au contraire. J’ai découvert des trucs très plaisants grâce à votre site, donc je ne m’en plaindrai pas plus.
Quand le mouton se met à penser par lui même, le berger ne voit pas toujours ça d'un très bon oeil. Donc arrivent les pros du marketing qui vont repérérer les manuscrits qui vont correspondre aux grandes tendances du moments. Et on essaie de guider le public, de l'empêcher d'être lui même en proposant du prémaché. Je suis un grand défenseur de la littérature populaire; mais je pense que la littérature populaire peut être de qualité. Et surtout communication à outrance. On veut que ça se vende. Est ce que Goodkind aurait autant vendu sans mattraquage publicitaire. Personnellement j'en doute. La précédente version de l'édition du premier tome n'avait pas vraiment marché. je suis persuadé que si l'on avait fait le même battage médiatique autour de Steph Swainson, L'année de notre guerre se serait beaucoup mieux vendu. On peut vendre ce que l'on a envie de vendre, y compris des bons bouquins si on met le marketing derrière.le public a toujours raison. Point.
Je suis un grand opposant aux licences. En fantasy même si plusieurs franchises se sont imposés, on est quand même pas dans la situation de la SF. En sf la licence Star Wars est devenu un rouleau compresseur. Et finalement tout un pan du space opera populaire a quasiment disparu, remplacé par la dit licence. C'est un formidable appauvrissment du genre. Je trouve plus positif de créer des licences ex nihilo, des univers partagés purement littéraire ou de lancer des collections populaires comme l'était Anticipation au Fleuve. Les licences commerciales représentent un danger pour la bibliodiversité.Pour ta remarque je suis globalement d'accord. J'avais une assez mauvaise image de la sword and sorcery et lorsque j'ai découvert le webzine Flashing Swords et que j'ai voulu voir ce qu'il y avait derrière j'ai découvert des auteurs fabuleux. Bref on est souvent surpris.Il n'y a pas si longtemps, je considérais tout Warhammer comme mauvais ; depuis, j'en ai lu un et j'ai vu que je m'étais trompé. Il y a aussi du bon.
oui sûrement. Enfin, au début, Goodkind a surtout marché via le bouche à oreille. Concernant Swainston, j'aime beaucoup L'année de notre guerre, mais (et finalement ça va rejoindre le sujet du topic) la weird fantasy, sous-genre qui tente de bousculé les choses, n'a pas connus un grand succès en France. Pourquoi, je ne sais pas trop... Je pense (mais c'est mon avis) que pour apprécier la weird fantasy et les codes qu'elle détourne, il faut connaître ces codes... Le succès de la fantasy est trop récent en France pour qu'il y ait un public assez nombreux pour cela.... Après, c'est mon avis mais je suis le premier déçu du manque de succès de ce genre. J'ai essayé en librairie et les gens n'accrochent pas.Fabien Lyraud a écrit :Est ce que Goodkind aurait autant vendu sans mattraquage publicitaire. Personnellement j'en doute. La précédente version de l'édition du premier tome n'avait pas vraiment marché. je suis persuadé que si l'on avait fait le même battage médiatique autour de Steph Swainson, L'année de notre guerre se serait beaucoup mieux vendu.le public a toujours raison. Point.
Kristine K. Rusch a écrit un article assez intéressant à ce sujet (faudrait que je le retrouve)... Elle dit, en gros, que les licences fonctionnent actuellement car le public sait qu'elles vont lui raconter une histoire divertissante. Vu la situation économique, nombre de personne n'ont pas très envie qu'on leur serve une vision pessimiste du monde (elle prend l'exemple de certains romans de sf)... Je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'elle dit mais son article est très intéressant. ZeddJe suis un grand opposant aux licences. En fantasy même si plusieurs franchises se sont imposés, on est quand même pas dans la situation de la SF. En sf la licence Star Wars est devenu un rouleau compresseur. Et finalement tout un pan du space opera populaire a quasiment disparu, remplacé par la dit licence. C'est un formidable appauvrissement du genre. Je trouve plus positif de créer des licences ex nihilo, des univers partagés purement littéraire ou de lancer des collections populaires comme l'était Anticipation au Fleuve. Les licences commerciales représentent un danger pour la bibliodiversité.Il n'y a pas si longtemps, je considérais tout Warhammer comme mauvais ; depuis, j'en ai lu un et j'ai vu que je m'étais trompé. Il y a aussi du bon.
Augmentation de la qualité qui a curieusement suivi la mutation interne de Alain Névant qui s'occupait au début de l'éditeur de la sélection de titres étranger, vers le marketing. Maintenant Stéphane Marsan a la haute main sur tous les aspects littéraires. Je suis pas sûr que Alain Névant ( humainement c'est un type bien j'ai eu quelques échanges de mp avec lui fort poli et courtois d'ailleurs) aurait sélectionné Lynch, Carey ou Rothfuss. Pour Milady c'est Isabelle Varange qui s'occupe de quasiment tout en lien avec Alain Névant. Je rappelle que c'est à Alain Névant que l'on doit la traduction de Goodkind. Ce type est très sympa mais a assurément mauvais goût.malgré une certaine augmentation de qualité (la collection TSF, merci Mr Genefort).
Oui je sais bien, mais au final, elle n'en reste pas moins vrai. Pour "la merde", je te laisse seul juge. J'ai conseillé des Orcs il y a deux ans à des gens qui lisent maintenant Kane ou Mary Gentle. Les goûts évoluent, laissons-leur le temps.... (je lui aurais conseillé Kane au début, je suis à peu près sûr que je l'aurais perdu). Après, pour la plupart des gens, ces derniers ne lisent pas beaucoup et lorsqu'il le font, ils veulent se vider le tête. Qui suis-je pour dire qu'ils ont tord ? Pourquoi toujours concurrencer la littérature avec elle-même. Donnons d'abord aux gens envie de lire...Tisse Ombre a écrit :Je tiens à faire remarquer que l'utilisation de cette fameuse phrase "Le public a toujours raison" par Mr Klein est avant tout une constatation affligeante doublée d'une grande amertume.Le fait est qu'actuellement, pour la majorité du public, la merde a le vent en poupe.
Mais la plupart des gens n'ont pas envie de s'élever intellectuellement... la plupart veulent juste se distraire. La lecture, à la différence des jeux vidéo ou de la télé, demandent un effort de concentration. Au début, je pensais que l'on pouvait faire aimer ce que l'on voulait aux gens... Rien de plus faux ! Lors de mon premier stage en librairie, je me suis pris un de ces bides avec Thomas Covenant. Je n'ose même plus le conseiller maintenant...Je comprends ton raisonnement Zedd mais je n'en suis nullement partisan. Ce n'est pas en refilant de la merde au public que le dit public va s'élever intellectuellement. C'est comme à la télévision, ce n'est pas en continuant à mettre à l'antenne des merdes sans nom comme La ferme célébrité ou D&Co que le public français moyen va pouvoir s'enrichir.
Mes félicitations ! :)Après, le cafard et Elbakin ne sont en rien comparables ; le cafard s'adresse à des lecteurs confirmés. Elbakin à tout le monde, j'ose croire.Le premier site que j'ai connu sur internet, ce fut le cafard cosmique, plus élitiste qu'il ne l'est aujourd'hui. J'ai toujours été ravi de suivre ce site et les lectures proposés, j'ai du m'accrocher mais aujourd'hui le fait est là, j'ai été pris dans l'équipe rédac du CC. J'aime assez Elbakin, notamment pour certains internautes très agréables (Witch, Nigelle...) mais je ne l'aime pas sous de nombreux aspects. (Exemple de Gagner la Guerre, meilleur roman fantasy de l'année passée et qui a mit 3 plombes avant d'arriver sur le site en critique
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