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Belle critique, et très bonne note ! Je suis totalement du même avis, c'est clairement un grand roman, du genre de ceux auxquels on ne peut plus décrocher une fois commencé...A acheter de toute urgence ! :)

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J'ai vraiment beaucoup aimé ce premier tome aussi. C'est une très très bonne intro pour une trilogie que j'ai vraiment beaucoup apprécié. L'auteur sait nous tenir en haleine, nous surprendre. Bref, J'ai voyagé et c'est tout ce que je demande lorsque je me plonge dans un livre.

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Un petit copié/collé de la critique que j'ai faite pour un voisin :
Brandon Sanderson a écrit Elantris.Brandon Sanderson écrit la suite et fin de La Roue du Temps.Brandon Sanderson écrit Alcatraz, une série jeunesse dans la droite lignée d’Artemis Fowl.Brandon Sanderson va écrire The Way ok Kings, premier tome d’une saga qui en comptera dix.Impossible de s’intéresser un tant soit peu à la fantasy actuelle sans entendre déclamer mille et une louanges à propos de Brandon Sanderson. En effet, qu’ils soient de grands écrivains ou d’illustres critiques, tous s’accordent à dire que Brandon Sanderson écrit beaucoup – et bien. Trop, c’est trop ; aussi, cette critique s’attachera à mettre fin à la réputation par trop flatteuse qui entoure cet auteur agaçant.L’Ultime Empire, c’est un peu les Salauds Gentishommes de Scott Lynch – à la différence près que ceux-ci disposeraient de pouvoirs magiques – qui préparent les « casses » ambitieux dont ils sont coutumiers. Sauf que l’arnaque en question paraît plus qu’impossible : renverser un empire. Pour parvenir à ses fins, Kelsier réunit tout autour de lui d’anciens membres : son fidèle Dockson, Marsh l’austère, Yeden le sérieux, le peu loquace Clampin, l’inénarrable Brise, Ham le soldat philosophe, ou encore, Sazed l’intendant qui connaît toutes les religions sauf la sienne.En matière de charisme, Kelsier n’a rien à envier à Locke Lamora : déterminé, courageux, téméraire, il cache de profondes cicatrices sous sa bonne humeur, son grand cœur et son ego surdimensionné. A ses côtés, les membres hétéroclites de sa « bande » ne dépareillent pas et tous révèlent une profondeur opportune et un caractère propre. Tout est mise en œuvre pour que l’on s’attache rapidement à ses bandes de voleurs-rebelles et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est tout à fait réussi : on n’a de cesse de trembler en attendant la possible trahison ou erreur qui mettra fin à leur « mission impossible ».Une ambiance de paranoïa bien entretenue par Vin – l’adolescente qui se découvre des pouvoirs de l’histoire. Après quelques douloureuses expériences riches en enseignement dans les rues malfamées, celle-ci connaît quelques difficultés à donner sa confiance ; pis, elle voit des trahisons partout – et le lecteur aussi du coup. Au vu du nombre de pages qui lui est consacré, Vin se révèle la véritable héroïne du roman. Et si elle ne possède pas le charisme de Kelsier, elle ne souffre jamais de la comparaison avec lui. Intelligente et sauvage, elle n’a non plus rien en commun avec les adolescents naïfs qui pullulent en fantasy et finit de nous convaincre que c’est n’est décidément pas du côté des personnages que l’on trouvera le point faible de l’empire ultime.L’un des points forts de l’univers imaginé par Sanderson, c’est sans aucun doute possible son système de magie original à base de métaux. S’il possède un côté « jeu de rôle » indéniable, il n’en demeure pas moins complexe et riche à souhait et parfois même retors à mesure qu’il révèle des effets et des développements inattendus et de fait, bienvenus.On l’a dit, Brandon Sanderson écrit des histoires. Beaucoup. Des histoires qu’il sait mettre en scène et raconter de telle sorte que son lecteur ne s’ennuie jamais ; sa plus belle réussite est peut-être l’absence notable de longueurs sur les 600 pages qui composent ce pavé. On a même parfois l’impression que l’auteur américain ne nous dit pas tout (le secret de son étonnante fluidité ?), qu’il laisse volontairement une partie de l’intrigue dans l’ombre, que les personnages ont une vie propre en dehors de ce qui nous est rapporté. Par l’intermédiaire d’ellipse et de multiples rebondissements, l’auteur d’Alcatraz a réussi à dynamiser suffisamment son action pour qu’il ne soit pas possible de reposer son livre. Le vicieux !Avec le récit introduisant chaque chapitre, on pourrait se dire que la trilogie Fils-des-Brumes pourrait bien être la suite d’une épopée de fantasy s’étant déroulée près d’un millénaire auparavant, la séquelle d’une épopée qui aurait vu la victoire du Bien mais qui, pour une raison x ou y, aurait débouché sur un monde apocalyptique et cruel, celui de l’Empire Ultime. Un monde sur le déclin, noyé sous les cendres qui tombent du ciel, plongé dans l’immobilisme d’un règne qui dure depuis trop longtemps. Un monde où les plantes ne sont plus vertes. Si Fils-des-Brumes s’appuie, en partie, sur des clichés rouillés, l’auteur américain possède le talent nécessaire pour les ressortir polis, tordus, lustrés, chromés si bien que l’on n’en fait même plus cas. Même la traditionnelle histoire d’amour se révèle agréable à suivre. Et si jamais, par mauvaise foi extrême, on devait reprocher à L’Empire Ultime de n’être que la première partie d’une histoire qui en compte trois, sachez que cette histoire a le mérite de se voir conclue par une vraie fin. Oui, on retrouvera Vin et les autres mais non, il n’y a pas de vilain « à suivre » comme conclusion. Tout ça pour dire que Brandon Sanderson réclame bien toute l’attention qu’on lui accorde : nul doute qu’il deviendra non seulement la coqueluche de Orbit (France) mais aussi celle du public français qui saura lui ménager, j’en suis sûr, la place qu’il mérite dans leur bibliothèque.9/10 Classique ET originale, L’Empire Ultime s’impose d’emblée comme l’un des nouveaux classiques de la fantasy moderne et catapulte son auteur parmi les étoiles, aux côtés de Scott Lynch, Joe Abercrombie et Patrick Rothfuss ; une génération définitivement pétrie de talent et fière d’écrire dans le genre auquel elle donne actuellement ses lettres de noblesse.
Zedd

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Eh bien, je voudrais d'abord remercier mon hamster qui m'a toujours soutenue... ;)Nan, allez, j'en ferai pas plus dans la vanne ultra prévisible, mais c'est rigolo de voir la critique sur leur site.Contente aussi de voir mon avis est partagé par d'autres lecteurs, j'espère que ça finira de convaincre les indécis !Thys

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zut zut zut ! j'ai un tome et demi de trudi canavan a finir, il faut que je me grouille ^^".En me promenant cet aprem, j'ai vu le bouquin dans une librairie et lu le synopsis, Je n'aurais pas du ^^". Du coup je l'ai acheté... et j'ai ne sais pas si je vais avoir la patience d'en finir avec miss Canavan... Surtout après avoir lu la critique et le topic sur le forum :s !! pauvre de moi :-)

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Je dois avouer que l’Empire Ultime est le livre qui m’a le plus embarqué depuis les Mensonges de Locke Lamora : une fois qu’on a commencé, impossible de s’arrêter de tourner les pages avant le chapitre final !:pLe très bon 1er chapitre nous immerge d’emblée dans un univers sombre et désespéré au sens propre comme au sens figuré (univers que le personnage principal aura pour but de détruire, comme Paul Atréides dans Dune).Je ne reviens pas sur le duo Kelsier/Dockson et leurs équipiers, qui rappelle le duo Locke Lamora/Jean Tannen et leurs amis, qui rappelait le duo Georges Clooney/Brad Pitt et leurs camarades, qui reprenait les rôles de Frank Sinatra/Dean Martin et du Rat Pack…Je ne reviens pas sur les références au cinéma HK : oui, oui on a l’impression que les Brandon Peterson à repris tous les accessoires des équipes techniques hong-kongaises d’Un Seul Bras les Tua Tous à la trilogie Matrix en passant par Tigre et Dragon, les lignes bleues de l’allomancie remplaçant les lignes vertes de 0 et de 1 de la Matrice…Mais cela fait vraiment plaisir de voir des auteurs cinématographier voir même chorégraphier leurs scènes d’action pour rendre leurs récits encore plus captivants.
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J’ai également beaucoup apprécié l’originalité de l’allomancie et de la ferrochimie :simples, cohérentes, efficaces et fascinantes (on se surprend à trouver tout cela presque naturel !)Peut-on innover en fantasy ? Ben oui : en abordant des thématiques sociales !L’ambiance du roman est plus souvent dans les luttes des classes du XIXème siècle que dans le médiévale fantastique, même si on doit naviguer quelque part entre la Renaissance et le XVIIIème siècle dans le niveau économique et technologique.En tournant les pages je revoyais Les Misérables de Victor Hugo, le Germinal de Zola, les Mystères de Paris d’Eugène Sue… Mais avec son insistance sur l’économie de plantation et sur le crime que constitue le métissage l’auteur doit davantage se référer à la question de l’esclavage aux États-Unis.2 petits bémols : :)- la densité des 50 dernières pages truffées de rebondissements, révélations et nouvelles interrogations- le personnage de Vin, qui fait ici office de héros adolescent doué de grands pouvoirs latents qui ne demandent qu’à se révéler… mais vous connaissez la chanson non ?
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Une note de 9 / 10 amplement méritée.
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Suis-je le seul à avoir vu le parallèle entre l’Empire Ultime et le Dune de Franck Herbert ? ;)Le Seigneur Maître = l’Empereur DieuLes Grandes Maisons = le Landsraad
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Les Ferrisiens = les mentatsLe programme de reproduction = le Bene Gesserit
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Et je ne parle même pas des citations de début de chapitre !!!

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Après tout ces avis si positifs, j'ai craqué :p J'en suis a un gros premier tiers et je dois avouer que je ne suis pas déçu. Je repasserai quand j'aurai fini :)
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Enfin j'ai fini l'Empire Ultime il y a 4 5 jours et c'est roman est epoustouflant.Je pense que c'est la première fois qu'un roman me met autant d'images dans la tête !!Les personnages sont très attachants:- Kelsier a un humour que j'aime beaucoup! - Lestibournes dans sa façon de parler me fait un peu penser à jar jar binks ^^".- Le lien entre Dockson et Kelsier ainsi que l'humour des deux personnages me faity beaucoup penser à Sherlock Holmes de Guy Ritchie que j'ai beaucoup aimé.Le récit est hyper vivant et on ne s'ennuie quasiment jamais! Comme déjà dit précédemment le style de magie est vraiment énorme ! Magie très impressionnante lors des combats mais qui a toutefois ses limites, ce qui est un très bon point. Pas de pouvoirs subliminaux qui te déchirent la moitié de la population en une seconde avec une petite boule de feu!J'ai eu un petit peu de mal à cerner l'univers avec les cendres etc... (mais bon les chutes de cendres en Islande m'ont aidé a comprendre :p.... Ok :jesors:Petit bémol, je trouve juste que les soldats, le type d'armures, d'armes etc.. ne sont pas assez détaillés. Je n'arrivais pas vraiment à me représenter les armées. Est ce que l'armement ressemble au moyen age? ou plus à l'antiquité? ou au 16ème siècle comme dans les monarchies divines?C'est le seul petit point négatif.Donc pour ceux qui hésite encore : courez l'acheter :-)

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Pareil j'ai terminé la lecture du tome 1 y'a quelques jours seulement et c'était vraiment un bon moment ;).Je ne reviendrais pas sur le système de magie super, puisque ca a été invoqué de nombreuses fois, ni sur les rebondissements du récit.Même avis également pour les personnages.Kelsier en leader charismatique un peu "timbré" est très bien.J'aime bien aussi Elend Venture et sa nonchalance, insolence,provocation.J'ai beaucoup aimé Brise aussi , dommage qu'on ne le voit pas plus. Le duo Brise/Hammond est d'ailleurs vraiment sympa. Ainsi que celui de Marsh/Kelsier.Y'a une chose par contre où j'suis pas trop d'accord avec les autres elbakiniens ( vu la fréquence de consultation du forum je me permets de me considérer comme tel :p). Si le roman peut se lire en oneshot. La fin sous-entend clairement que rien n'est terminé, beaucoup de mystère entoure encore l'ascension. Et beaucoup de mystère demeure de manière générale.
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( le spoil concerne uniquement le tome 1)Sinon il me semble que ca a déjà été dit précedemment mais la fin est très très réussie avec un rythme effréné. Et on va de révélations en révélations et de surprises en surprises ;) Avec également quelques "scènes" fortes en emotions !

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Pour répondre à tes interrogations concernant l'histoire de Mare,Ana, moi ça m'a paru tout à fait tenir debout:
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Donc, il n'y a pour moi pas d'incohérence la dedans.