Dark Schneider a écrit :Heu enfin comparons ce qui est comparable. Le secret de JI c'est de la fantasy assez classique alors que La Horde est un bouquin de SF philosophique assez hard qui lorgne vers le Steampunk.
Comparaison n'est pas raison, je voulais comparer 2 livres de fantasy française.
Akallabeth a écrit :Une critique est forcement quelque chose de subjectif
Merci de me rappeler des évidences, j'irais plus loin en disant que tout propos est subjectif, il te suffit d'ouvrir la bouche, d'écrire pour que cela devienne subjectif.L'objectivité n'existe pas. D'où l'intérêt de savoir d'où les gens parlent (ont-ils des actions dans la boite qu'ils vantent ?).
Akallabeth a écrit :si Luigi a trouvé au moment ou il l'a lu que c'est un roman dénué de faux pas, personne ne peut l'empecher de le penser et de l'ecrire dans sa critique !
A aucun moment je n'ai empêché quiconque de penser et d'avoir son avis. Mon avis est différent. Ce qui m'insupporte (le mot est un peu fort

) c'est le manque de nuances dans une critique. Un livre n'est pas tout bon ou tout mauvais, encore moins un livre qui obtient 10/10.L'idée d'apporter mes points négatifs est de contrebalancer cette critique purement positive qui peut induire en erreur nombre de personnes.Je pourrais moi aussi dire tous les points positifs de ce livre et m'arrêter là, à ce moment, moi aussi je mets 10/10 à ce livre. Or, ce livre a des défauts : comme tout livre.Cette critique ne donne aucun point négatif, je considère que la mission du critique n'est pas remplie : on a le droit de communiquer son enthousiasme mais on a le devoir de se poser et de réfléchir sur les réserves à émettre.Si l'objectivité n'existe pas, on peut au moins essayer de laisser un peu de place aux différentes sensibilités majoritaires (il n'est pas question de mettre 50 critiques pour refléter l'avis de 50 lecteurs).Face à ce 10/10, j'aurais apprécié une autre critique qui pondère la première. Habituellement, les critiques d'Elbakin sont mesurées : même un livre franchement bon a le droit à sa petite liste de points négatifs.