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C'est vrai j'ai eu de bons échos dessus mais ma pile est énooorme et je lis doucement ....et j'ai fait beaucoup d'achats dont certain m'ont déplu d'ailleurs, donc oui j'aimerais bien le commencer mais ....."fo gagner o loto"

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Je viens de le commencer, fraîchement emprunté à la bibli aujourd'hui...Pour l'instant je dois dire que j'accroche pas du tout ! Je comprends vaguement l'idée de ces auteurs qui aiment avoir comme personnages principaux des enfoirés de première (paraît que c'est original) mais... y a-t-il au moins UN personnage dans toute cette histoire qui soit au moins "potable" ?Sérieux on se croirait dans les feux de l'amour, 36 millions de trucs à cacher, les intrigues complexes du même acabit et pas un gars pour rattraper l'autre !J'aime bien, si ce n'est m'identifier, au moins apprécier un peu un personnage quand je lis un livre. Voir juste des saligauds se déchirer entre eux ne m'intéresse guère, et l'histoire n'a du coup plus beaucoup d'intérêt.Ça s'arrange ? Une évolution, un revirement de la part des persos peut-être ?Give me hope... :(

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Même chose, très belle couverture pour le book 2.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Des dragons domestiqués : quelle originale idée ! :lol:C'est pas comme s'il existait déjà 75 tomes de Dragon Lance, 20 opus de la Ballade de Pern et 6 romans sur les dragons napoléoniens de la saga Téméraire...J'espère que l'auteur a des arguments de poids pour que sa série se démarque du lot, parce dans cette "catégorie" une belle couverture ne devrait pas suffire...

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bah ces dragons là étaient sauvages autrefois, les humains ont trouvé un moyen chimique de les asservir (au passage ils ont oublié qui ils étaient dans le temps) et l'un d'eux a retrouvé la mémoire et prévoit de les libérer tous! Donc c'est vrai que ce n'est pas très original mais ça change un peu! (après je dis ça mais je n'ai jamais lu les dragons lance ni ceux de ce bon vieux napo!)ps : je ne mets pas de barrière spoilers c'est la quatrième de couv'!

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Albéric a écrit :Des dragons domestiqués : quelle originale idée ! :lol:C'est pas comme s'il existait déjà 75 tomes de Dragon Lance, 20 opus de la Ballade de Pern et 6 romans sur les dragons napoléoniens de la saga Téméraire...J'espère que l'auteur a des arguments de poids pour que sa série se démarque du lot, parce dans cette "catégorie" une belle couverture ne devrait pas suffire...
Tu es un peu réducteur en limitant ce cycle - que tu n'as pas lu - au "domestiquage" des dragons. (sinon tu peux aussi rajouter la saga du roi dragon, el dragon de la cité rouge, la trilogie du prince dragon, certains cycles de Feist...) ;)Non, le premeir tome se base beaucoup plus sur les complots politiques et le côté dark fantasy que sur les dragons eux-mêmes qui sont partie intégrante de la société, objets de pouvoir... et menace. :)

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Gillossen a dit :Euh, je ne crois pas que le sujet et la critique se limitaient à cela, mais bon...
@ GillossenBien sûr ! Mais les œuvres de de fantasy abondent : pour faire un choix avant le passage en librairie il y a toujours elbakin.net, mais durant le passage à la librairie c'est le dessin de couverture et le texte 4ème de couverture qui nous accrochent ou pas...

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Un premier tome intéressant, qui lance les bases d’une histoire intéressante mais qui en reste au niveau du potentiel, la faute à une mise en valeur insuffisante et à une certaine confusion dans la présentation des enjeux : on ne comprend pas très bien qui est qui, qui fait quoi.Il est difficile de s’attacher aux personnages qui ne paraissent qu’être des esquisses. On ne comprend pas très bien leurs motivations, et il est assez difficile de cerner les enjeux du roman, du moins dans son premier tiers. Il ne décolle vraiment qu’à partir du moment où on apprend la vérité
► Afficher le texte
. Par contre, le roman s’accélère à partir de là et devient plus intéressant.L’auteur rend assez bien le machiavélisme des personnages qui paraissent
► Afficher le texte
On peut espérer un approfondissement de l’univers dans les tomes qui suivent. Et si le livre suivant continue dans la même lignée que les dernières pages, il y a de quoi être raisonnablement optimiste.:)

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Idem, ce livre n'était pas un incontournable mais reste malgré tout d'un très haut niveau. A mon sens, le principal défaut de ce roman est son ton sec et froid qui rend plats certains évènements et empêche de s'attacher aux différents héros.Le monde créé, plein de complots politiques, d'amours dévastateurs et de dangers venus d'un atre âge ne manque pas d'atouts. De plus, la présentation des dragons, leur rôle dans la société et la révélation progressive de leur nature ne manque pas d'intérêt voire même d'originalité. Mais tout cela ne suffit pas à emporter mon enthousiasme. ;)

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Voici un copié/collé de ma critique :
Annoncé comme le nouveau prodige made in Gollancz (l’éditeur anglais qui a découvert, entre autres, Scott Lynch et Joe Abercrombie), Stephen Deas n’a pas convaincu tout le monde. Moi le premier. Peut-être en attendais-je trop ? Peut-être que Stephen Deas n’est pas à la hauteur de ce que l’on pouvait espérer ? Toujours est-il que la déception est bien le sentiment qui prime une fois refermé Le Palais Adamantin.Dans la même lignée que Téméraire, Deas imagine une fantasy très « dragonnesque » où les majestueuses créatures, en plus d’être monture de premier choix, se révèle intelligente. Une caractéristique que les hommes ont depuis oubliée, alors qu’ils ont réussi à soumettre les dragons par quelques procédés alchimiques. Toutefois, le futur s’assombrit lorsqu’un dragon arrive à s’échapper et reprend possession de ces capacités intellectuelles… Dans cette partie qui voit la traque dudit dragon s’illustrent deux mercenaires : Sollos et Kemir. Ces deux cousins tentent de faire leur travail dans un monde qui les dépasse. Leurs discussions sont d’ailleurs l’occasion pour l’auteur de détendre l’atmosphère avec des dialogues plus légers et parfois assez drôles.Dans la seconde partie, les intrigues de cours, le constat est plus morose. On suit divers personnages au nombre desquels on peut sortir Jehal, un prince manipulateur, machiavélique, avide de pouvoir (son entourage a une grosse tendance à trépasser) qui ambitionne de postuler aux plus hautes responsabilités, Shezira, une reine veuve qui brigue ce même poste, ou encore, Zafir, amante du premier et qui n’entend pas se laisser distancer par ses concurrents. Trois joyeux lurons ? Non pas vraiment. Car là où Martin avait réussi à donner de l’épaisseur à des personnages assez politiquement ambitieux et semblables (le lecteur n’accrochait certes pas, adulant les uns, vilipendant les autres, mais au moins, il éprouvait de l’attachement pour certains), Deas nous sert des personnages certes complexes, mais froids, terriblement froids, surtout pas attachants ni même marquants. Et même tout le feu caché par les dragons n’arrive pas à réchauffer cette fantasy glaciale – j’ai failli dire sans âme – où les deux parties (la traque et les intrigues de cours donc) ne s’interpénètrent jamais (la faute à une construction maladroite), donnant par là l’impression qu’elles ne sont pas liées.Au final, on est bien en peine de deviner ce que l’on a aimé ou non dans le Palais Adamantin. Pour en continuer avec les métaphores nulles, il manque l’étincelle, celle qui déclenche la flamme, qu’elle soit inspirée par un personnage, par une intrigue ou par une idée originale. Finalement, on préfère la série Téméraire (cf la critique de Léo avec laquelle je suis en adéquation) qui, malgré ses défauts, arrive à nous distraire et à nous faire ressentir quelque chose, même si cette chose est parfois négative.6,5/DEAS (Haha !) Dans sa quête perpétuelle de l'antihéro ultime, la fantasy perd de son charme, de sa simplicité et de sympathie. Quand on peine à s’identifier, on peine aussi à accrocher. Voilà ce qu’il manque à ce premier tome des Rois-Dragons, des accroches. À tel point que l’on n’est même pas certain de vouloir jeter un œil à la suite…
Pas ma tasse de thé !Zedd