► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
Non non, il y a moi aussi !!! Je pensais en avoir déjà fait état, mais je me trompais.Ma lecture remonte en 2007 (VO) et je ne me rappelle pas m'être ennuyée durant les passages avec la femme-arbre. Nevare n'a pas la personnalité d'un Fitz ou d'un Kennitt, évidemment, et la série me paraît moins "poussée" que dans les autres séries de Hobb, mais j'ai été touchée par l'histoire. J'aime les passages oniriques, la magie, l'idée d'Orandula, et la fin aussi. Je ne dirais pas que c'est une fin gaie. Elle est un peu douce-amère tout de même. On sent que Nevare a dû faire une croix sur pas mal de choses, en gros il est devenu adulte.J'aimais bien aussi les personnages d'Epiny et de Spink, la retranscription de la vie à l'académie, tout ce petit monde pétri de certitudes.Voilà, un peu en vrac, ce qui me revient du soldat chamane. :-) Un souvenir très positif en ce qui me concerne. Sachant que je suis une fan absolue de Hobb. Ou du moins je l'étais jusqu'à Dragon keeper. Mais c'est un autre problème.Evildeus: les longueurs, je vois à quoi tu fais référence, mais ça ne m'a pas gênée. J'étais en "immersion", je me laissais porter.En revanche, pour comparer là encore avec Dragon keeper, j'ai trouvé que beaucoup de pages de Dragon keeper et Dragon haven étaient du remplissage.Ainulindalë a écrit :Mais euhje suis vraiment le seul à avoir aimé?
Effectivement, ses deux personnages sont intéressants, mais j'ai été déçue par le héros principal.Santino a écrit :J'aimais bien aussi les personnages d'Epiny et de Spink, la retranscription de la vie à l'académie, tout ce petit monde pétri de certitudes..
Fan de Robin Hobb, j'ai lu le soldat chamane jusqu'au bout mais sans y trouver ce qui m'avait plût dans ses séries précédentes.Par contre, j'ai eu beaucoup de plaisirs à retrouver le monde des ADLM dans Dragon keeper.Santino a écrit :En revanche, pour comparer là encore avec Dragon keeper, j'ai trouvé que beaucoup de pages de Dragon keeper et Dragon haven étaient du remplissage.
Retourner vers « De la Fantasy »