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Ca m'enchante ce Disney !Seule déception quand je vois tout ça c'est que ca ne soit pas un Disney " traditionnel" ... Mais Disney peut malgré tout nous étonner !Un petit plus pour les affiches :p

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Pour le 50e dessin animé de son histoire, Disney a choisi d'ajouter une nouvelle princesse à sa famille royale, la "Raiponce" à la longue chevelure des frères Grimm, dans un film qui revendique "l'héritage" du studio tout en bénéficiant d'une animation en 3D dernier cri.Après la première princesse noire de "La Princesse et la grenouille" (2009), les studios renouent cette année avec l'éternelle blonde aux yeux clairs, mais en lorgnant sur l'impertinence de Dreamworks (l'ogre pétomane "Shrek") et l'excellence narrative de Pixar ("Nemo", "Toy Story", "Cars", "Là-haut"...)."Nous aimons nos racines et l'héritage des classiques de Disney", explique à l'AFP Nathan Greno, co-réalisateur du film avec Byron Howard. "Nous voulions prendre le meilleur de ces films et le mettre dans +Raiponce+ mais sans retourner vers le passé. Nous ne voulions pas d'un film poussiéreux", dit-il."Nous ne sommes pas cyniques", ajoute M. Howard. "Nathan et moi adorons les classiques de Disney. Nous voulions un film à la hauteur de +Cendrillon+, +Dumbo+ et +Pinocchio+, tout en donnant quelque chose de nouveau au public"."Raiponce", qui sort mercredi aux Etats-Unis et le 1er décembre en France, raconte l'émancipation d'une jeune princesse à la chevelure magique, enlevée bébé puis séquestrée pendant 18 ans dans une tour par sa ravisseuse, qui l'élève comme sa fille. Elle s'échappera finalement avec l'aide d'un charmant bandit de grand chemin et découvrira la vraie vie et l'amour."Le coeur du scénario, c'est la quête initiatique d'une jeune fille qui essaie de se trouver elle-même", explique M. Greno. Pas évident avec la mère "adoptive" que lui ont donnée les frères Grimm.Egoïste, possessive ("Evite les problèmes, reste avec maman", chante-t-elle à Raiponce), obsédée par la mort et reine du chantage affectif, l'infâme kidnappeuse rejoint la longue liste des "méchants" de Disney."Si vous regardez les meilleurs films du studio, ils ont tous un fond très sombre", remarque M. Howard. "Cruella ("Les 101 dalmatiens", 1961), dépeçait des chiots pour faire des manteaux, c'est plutôt moche".Outre ses qualités narratives, "Raiponce" a bénéficié de techniques d'animation dernier cri, tout particulièrement pour le rendu des cheveux."Les cheveux, en animation numérique, sont souvent courts et ne touchent même pas les épaules. Car c'est un cauchemar d'avoir des cheveux lâchés en contact avec d'autres matières!", assure Nathan Greno."La difficulté est d'atteindre la parfaite ressemblance avec une chevelure", poursuit Carlos Cabral, l'un des animateurs du film. "C'est un processus très compliqué car il faut animer les cheveux un par un. Et chaque cheveu doit être en interaction avec le reste. C'est un calcul énorme et jusqu'à récemment, il n'existait aucun ordinateur capable de le faire", explique-t-il à l'AFP.M. Cabral a également travaillé sur l'animation des visages, et mis au point une nouvelle technique capable d'offrir aux personnages "une grande gamme d'expressions, de la plus simple à la plus subtile, tout en conservant les caractéristiques du visage décidées par le directeur artistique".Une technique qui a aussi permis aux animateurs de donner aux personnages quelques expressions des acteurs ayant enregistré les voix. Des acteurs qui ne se sont jamais croisés pendant l'enregistrement et se découvraient, pour certains, le jour de la présentation du film à la presse."Quoi qu'on fasse, il faut toujours utiliser son imagination", déclare à l'AFP Zachary Levi, la voix de Flint, le soupirant de Raiponce. "Mais au moins, dans les films de fiction, il y a plein de choses (réelles) qui vous aident à construire votre monde. Dans un dessin animé, il faut tout inventer. C'est un vrai défi"

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Vu hier soir et j'ai sincèrement adoré. C'est drôle du début à la fin, on ne s'ennuie jamais et les personnages ont été réalisés d'une main de maître _surtout les personnages secondaires (le caméléon et le cheval) qui sont à hurler de rire. D'habitude je ne suis pas fan des chansons à toutes les sauces mais là, elles rendaient l'ensemble plus fun encore. Vraiment, ça sera un 10/10 pour moi et un 10/10 pour la production de John Lasseter, mon nouvel héros et sauveur de Disney.