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Orbit a tendance à garder les couvertures VO quand c'est possible. Sauf découpage, on va sans doute avoir droit à celle de Whelan qu'était pas moche non plus et qui collait mieux au bouquin je trouve.Sur son site, on voit qu'il a également reçu du chocolat Valrhona... Il faut que ça soit des Taiwanais qui lui envoient des produits français... La honte, j'habite à 15 minutes du magasin d'usine...

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Lecture finie, avec grand plaisir :) Vivement la sortie des 9 tomes suivants :DL'univers créé avec forces détails et profondeur est très crédible et intriguant, son histoire épique à souhait, et les différentes aventures passionnantes à suivre. En bémols, je n'aime pas les passages d'une histoire à l'autre avec changement de point de vue, surtout quand ces histoires ne se croisent pas, faut faire avec (ou tricher et ne lire qu'un chapitre sur deux, et puis se retrouver à avoir fini toute l'histoire de Kaladin et devoir recommencer au début pour voir ce qui est arrivé aux autres perso :sifflote: ). Et le récit est moins abouti que les œuvres dont on sent l'influence (Dune, Game of Thrones), mais ça le rend aussi plus léger à lire, et il pose tout de même des questions intéressantes.C'est intéressant de retrouver des éléments des autres oeuvres de Sanderson aussi, les trois caractères des personnages principaux d'Élentris se retrouvent par exemple, mais ça ne gache rien (enfin si on aime bien le genre du héros qui se retrouve avec les rebuts de la société et qui en fait une équipe soudée et héroïque :sifflote:).Par rapport aux critiques que j'ai pu lire, oui il y a des longueurs, surtout sur l'intrigue principale (de l'Hiver qui vient... oups non, ça c'est une autre série :D). Mais pas pour l'histoire la plus fouillée, celle de Kaladin, qui avance à un bon rythme, a un début, une fin, enfin tout ce qu'il faut. Du coup, à part l'énervement de voir cette histoire s'interrompre pous nous raconter les petits riens de la vie des autres, le roman ne m'a pas lassée.

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Une question : est-ce que quelqu'un a eu la version poche entre les mains ? Je voudrais savoir si elle est aussi bien illustrée que la version grand format, avant de la commander pour pouvoir l'offrir à mon petit frère...

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Disons que l'on sent qu'il peut se permettre d'écrire un premier bouquin qui met en place l'intrigue pendant 1000 pages.Pour la version poche, je n'en ai aucune idée, mais en général ils ne se cassent pas trop la tête (et le budget) pour les illustrations.J'ai trouvé ça comme commentaire, après je ne sais pas jusqu'à quelle mesure ce qu'il dit est vrai, et ça doit pouvoir varier selon les éditions :
For anyone considering reading this book: go to a bookstore and browse through the illustrations in a hardcover copy. (It must be a hardcover: the paperback is rubbish in comparison. Electronic probably fares slightly better, but I doubt they’re comparable either.) They make the hardcover price a true bargain. This would be a completely different, and worse, book without those illustrations.On their merits I’ve always preferred paperbacks to hardcovers. For the rare book I buy first in hardcover, I buy the paperback later for the nicer form factor. (I haven’t jumped on the Kindle bandwagon yet — not sure for me the positives outweigh the negatives, at least not at the current price points.) I am not going to get The Way of Kings in paperback. That’s how much better the hardcover is, and that’s how much worse the paperback is.

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Lecture finie. Et on se retrouve avec plus de questions à la fin du livre qu'au début. Je hais Brandon Sanderson. :PLa principale critique que j'émettrais envers ce livre, c'est sa taille. J'ai lu la version Gollancz en deux tomes, et autant j'adore les pavés, autant celui-ci m'a paru un peu longuet. La présentation de l'histoire et des personnages sur 1100 pages, pfiou... Attention, je ne dis pas qu'il ne se passe rien, bien loin de la. Les 300 dernières pages sont même particulièrement riches en rebondissements, et comme je disais plus haut, les questions s'accumulent,
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. Mais avant d'en arriver là, ça traîne un brin en longueur. Les passages de
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notamment, auraient mérité d'être plus courts.Mais à part cette critique, ça reste du bon Sanderson comme on les aime. Le monde est particulièrement original, AMHA, au niveau de la géographie, de la religion, du type de magie et des phénomènes météo bien tordus. J'en vraiment hâte d'en savoir plus quant à l'histoire.The Way Of Kings, c'est aussi une preuve supplémentaire de ce que je me dis depuis Elantris : Sanderson a un don pour les personnages féminins. À côté de Shallan, Jasnah et Navani qui crèvent l'écran (enfin, les pages, quoi...), Kaladin et les autres hommes m'ont paru presque fade. Et puis cette idée que seules les femmes apprennent à lire et à écrire, et ont par conséquent des rôles très importants dans la société, je trouve ça extrêmement intéressant.Un dernier mot sur l'objet livre : j'ai rarement vu un livre aussi léché. :blink: Les illustrations, les en-têtes de chapitres... Whaouh, whaouh et encore whaouh. Et je n'ai que le "format B", c'est-à-dire entre le relié et le poche. Je n'imagine même pas ce que ces superbes illustrations doivent rendre en version reliée !