Dark Schneider a écrit :Mais bon j'essaierai quand même, et aussi Dean Koontz.

De Dean R.Koontz, je te conseillerai tout particulièrement Spectres

Ah mince, j'ai passé une commande hier soir sur priceminister mais j'ai pris La nuit des Cafards. Bon, je note pour Spectres si j'apprécie les cafards! En revanche, d'Herbert j'ai commandé Le Survivant, et Fog aussi, et les 2 autres tomes des Rats!

En fait, j'ai été radin sur ce coup-là car je ne t'ai conseillé "que" Spectres alors qu'au départ je voulais aussi te conseiller La nuit des cafards.Tu as donc, à mon avis, tout de même fait un bon choix.

Lu Cadix, ou la diagonale du fou d'Arturo Perez Reverte, auteur que j'affectionne habituellement. Première fois deçu, c'est lent...Il ne faut pas lire ses bouquins pour l'action, il peut en avoir, mais pas forcément. Mais sur les précédents, j'étais enchanté par les personnages, et par l'histoire. C'était court, ça lisait vite et bien, que du bon temps.On retrouve pleins de choses sympathiques, avec une ambiance particulière, on ressent bien l'environnement, des personnages intéressant mais ils manquent de mordant, et un fil rouge intéressant. Mais tout ça est délayé sur la longueur, et plus condensé, la mayonnaise aurait sans doute pris pour moi, mais pas là.Je conseille fortement d'essayer au moins Le tableau du maître flamand ou Le maître d'escrime du même auteur, qui sont par contre très plaisant.

Pour les amoureux de l'Antiquité, on a déjà parlé de Valerio Manfredi ici, mais si la VO ne vous rebute pas : http://hippeis.com/

Ca fait un moment que je réclame des cours d'anglais au boulot. Ca serait une formation vraiment utile contrairement à toutes les conneries qu'ils nous proposent (psychologies, etc...). Non seulement ça m'aiderait dans mon taf, mais ça pourrait enfin me motiver à lire en VO!!!C'est dingue de voir à quel point cette période me semble ignorée des auteurs français, enfin de façon globale, les trucs épiques ça n'a vraiment pas l'air d'être la tasse des auteurs français hormis quelques uns.

Sur les conseils de beaucoup ici, j'ai acheté La Religion au Salon du Livre et je l'ai terminé hier. Un peu déçue au regard des critiques dithyrambiques que j'ai pu lire sur le forum.Le moins que l'on puisse dire, c'est que Tim Willocks a fait des recherches sur son sujet et qu'on se sent véritablement transporté dans le siège et dans la bataille avec les Hospitaliers. Mais à force d'escarmouches, de batailles et d'assauts, le livre tire un peu en longueur. Sur les 300 dernières pages, je n'avais qu'une envie : que Malte tombe ou que les Turcs s'en aillent, mais qu'on en finisse. :/Et puis j'ai été extrêmement choquée (si si, choquée) par la "simplicité" de la raison pour laquelle Tannhauser décide de s'embarquer pour l'enfer : Sans parler de la facilité avec laquelle Cela dit, le personnage de Tannhauser est vraiment complexe, et puis ça m'a permis de découvrir que les janissaires étaient en fait des enfants chrétiens enlevés pendant la conquête turque. D'un point de vue historique, le livre est vraiment fascinant , et le style est vraiment poétique. Si j'en doutais encore, le roman m'a rappelé à quel point je HAIS les fanatiques, quel que soit leur religion/cause.Un bémol sur la traduction, toutefois : à certains moments (voire à beaucoup trop de moments...), ça sentait très fort le copier-coller de l'anglais, et ça, ça m'agace au plus haut point...Vous l'aurez compris, je ne suis pas aussi enthousiaste que d'autres, mais soyons honnête, c'est un livre qui se laisse lire avec plaisir.

Je viens de lire le christ philosophe de Frédéric Lenoir:Le résumé:Pourquoi la démocratie et les droits de l’homme sont-ils nés en Occident plutôt qu’en Inde, en Chine, ou dans l’Empire ottoman ? Parce que l’Occident était chrétien et que le christianisme n’est pas seulement une religion. Certes, le message des Evangiles s’enracine dans la foi en Dieu, mais le Christ enseigne aussi une éthique à portée universelle : égale dignité de tous, justice et partage, non-violence, émancipation de l’individu à l’égard du groupe et de la femme à l’égard de l’homme, liberté de choix, séparation du politique et du religieux, fraternité humaine.J'ai trouvé cet essai très intéressant et très pertinent dans la résolution de sa problématique. Toutefois l'auteur n'y répond que dans les deux dernières parties du texte. Les 3 ( ou 4?) premières parties sont une histoire du christianisme qui pourra paraître un rien redondante aux non passionnés d'histoire ou non croyants. Enfin j'adhère profondément aux propos de l'auteur. Néanmoins, malgré un essai très anticlérical et des tentatives de garder un discours neutre, le style de l'auteur reste assez "chargé" par sa foi apparente. Ceci risque d'en énerver certains ou de leur enlever l'envie de lire jusqu'au bout cet essai.

John Doe en parlait à la page précédente, donc il sera sûrement content de savoir que le deuxième compendium de The Walking Dead sortira en novembre 2012. Convaincu par le premier compendium, je l'attendais avec impatience et j'en serai évidemment. Et ça me musclera une nouvelle fois les bras

YESSSSSSS!:coeur:Pour l'occasion, John Doe est parti roucher le fémur qu'il avait mis de côté pour l'occasion. Miam Miam...:vengeance:::coeur:

Possiblement dans le mauvais topic, mais dernière lecture en date, c'est The book with no name, par le célèbre auteur Anonymous.Moi qui galérait à finir un livre ces derniers temps, celui là m'a semblé trop court. Un style un peu nerveux, voire même franchement sous ecsta par moments, de l'humour noir, des personnages un peu barrés, un langage fleuri , pas mal de beaux bains de sang, et surtout pas de prise de tête (pas de longs passages d'introspection des personnages, ni de scènes intempestives de description toutes les 5 minutes). Ajoutons à ça un côté franchement addictif (quelle idée aussi de finir tous ses chapitres comme ça), et ça donne un livre qu'on a du mal à reposer.Pour l'histoire, l'auteur du livre a donc souhaité conserver l'anonymat, mais de nombreux noms ont été cités (dont celui de Tarantino, pour le côté "badass" du bouquin). En tout cas, ça se lit vite et bien, et on y trouve au passage pas mal de références cinématographiques (les vrais cinéphiles en trouveront sans doute bien plus que moi). Et puis, pour pas gâcher le plaisir, y'a déjà les tomes 2 et 3 de dispo...

Des mois après le reste du monde, je viens de finir "The Help", alias "La Couleur des sentiments", de Kathryn Stockett.Wow. Juste... wow. J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai hurlé, j'ai encouragé les personnages à voix haute, et j'ai aussi beaucoup réfléchi. À la façon dont on a pu traiter les gens à une époque sous prétexte qu'ils n'étaient pas de la "bonne couleur", aux lois immondes en vigueur dans certains pays, au suivisme ahurissant de certaines personnes incapables de penser par elles-mêmes, à la chance incroyable qu'ont les femmes du 21è siècle, quelle que soit leur couleur de peau, pour choisir leur vie toutes seules...Un vrai chef-d'œuvre. Il faut absolument que je mette la main sur le film.

moi je viens de terminer l'ombre de ton sourire de Mary Higgins Clark et c'est bof de chez bof ! Les personnages sont en papier mâché ! l'héroïne est une doctoresse qui est magnifique avec un joli cabinet et de magnifiques docteurs...bref le seul personnage qui sort un peu du lot c'est James Stannon qui est un peu intéressant...Le pire, c'est qu'on voit comment l'intrigue va se développé avant même les actions des personnages...et pour un policier, c'est pas vraiment le but.4.5/10

Mary Higgins Clark c'est pas souvent transcendant de toutee façon. C'est du roman de détection quoi...

oui c'est ce que j'ai remarqué...j'éviterais la prochaine fois.

Pour du bon roman noir tu peux essayer les livres de Denis Lehane (Mystic River, la série des MacKenzie/Gennaro qui débute par Un dernier verre avant la guerre) ou Ellroy, dont la conclusion de sa dernière trilogie est sortie il n'y a pas longtemps. American Tabloïd est l'un des meilleurs romans que j'ai jamais lu.

John Doe a écrit :Mary Higgins Clark c'est pas souvent transcendant de toutee façon. C'est du roman de détection quoi...

il existe de bons romans de détection, même si le genre est vieillot et très cliché.

C'était déjà vieillot au siècle dernier AMHA.:)Je préfère très nettement le roman noir.

Je suis en train de lire l'autobiographie du dernier empereur de Chine : Aisin-Gioro Puyi. Avoir été balancé sur les flots de l'Histoire comme ça pendant plus de 60 ans, c'est quand même hallucinant.Imaginez le parcours : Empereur de Chine à 3 ans, destitué, enfermé dans la Cité Interdite, restauration comme empereur pendant 17 jours, expulsé de la Cité Interdite, se réfugie dans une enclave japonaise en Chine, "président" de l'état-fantôme du Mandchukuo, empereur du Mandchukuo, prisonnier en URSS 5 ans après la guerre, 10 ans en camp de rééducation communiste chinois, jardinier à Pékin, bibliothécaire et enfin député à l'assemblée du peuple. Pour finir enterré avec les empereurs de la dynastie Qing mais élevé au statut de héros de la Révolution chinoise en même temps...

Gilthanas a écrit :Je suis en train de lire l'autobiographie du dernier empereur de Chine : Aisin-Gioro Puyi. Avoir été balancé sur les flots de l'Histoire comme ça pendant plus de 60 ans, c'est quand même hallucinant.Imaginez le parcours : Empereur de Chine à 3 ans, destitué, enfermé dans la Cité Interdite, restauration comme empereur pendant 17 jours, expulsé de la Cité Interdite, se réfugie dans une enclave japonaise en Chine, "président" de l'état-fantôme du Mandchukuo, empereur du Mandchukuo, prisonnier en URSS 5 ans après la guerre, 10 ans en camp de rééducation communiste chinois, jardinier à Pékin, bibliothécaire et enfin député à l'assemblée du peuple. Pour finir enterré avec les empereurs de la dynastie Qing mais élevé au statut de héros de la Révolution chinoise en même temps...

J'avais adoré le film, tu m'apprends donc que cela vient d'un livre