

Merci pour l'info !Et, question illustration, il y a des auteurs qui auraient vendu père et mère pour en avoir une comme ça. D'ailleurs c'est un truc que j'ai toujours trouvé étonnant (voire absurde) : le fait que l'auteur ne puisse pas lui-même sélectionner ses couvertures... Parce qu'il y en a qui font vraiment tâche dans la Fantasy (sans dire pour autant que les écrivains ont tous bon goûtCédric Ferrand a écrit :Pour la date de sortie, c'est mai 2013 pour le moment.
Ou alors, ce sont des "chausses à la martingale", couramment employées par les troupes du XVIe siècle. Il s'agissait de culottes dont on pouvait dénouer le séant, ce qui permettait de se purger sans perdre de temps. Voici, sous la plume de Brantôme, une des nombreuses mentions faites à cet élégant usage :"Ce brave chevalier [d'Imbercourt] (…) avoit une complexion en lui, que toutes les fois qu'il vouloit venir au combat, il falloit qu'il allât à ses affaires, et descendît de cheval pour les faire, et, pour ce, portoit ordinairement des chausses à la Martingale, autrement à pont levis ; ainsi que j'en ai vu autrefois porter aux soldats Espagnols, afin qu'en marchant ils eussent plutôt fait, sans s'amuser tant à défaire leurs aiguillettes et s'attacher, car en un rien cela étoit fait. De dire que le proverbe eût lieu à l'endroit de M. d'Imbercourt, qui dit, il se conchie de peur, ce seroit mal parler, et l'adapter très-faussement à lui ; car c'étoit l'un des plus vaillans et hardis du royaume ; et, après qu'il avoit été là et qu'il avait le cul sur la selle, il combattait comme un lion."Rabelais a évoqué ces chausses et les a prêtées à Panurge : avec sa faconde toute carabine, maître Alcofribas Nasier explique plus simplement que la martingale "est un pont-levis de cul pour aisément fienter".Raffinements de la Renaissance !Yksin a écrit :@ Fly : non pas de culotte, ça sert à rienSurtout à Wastburg !
Retourner vers « De la Fantasy »