181
Councilman Yoda a écrit :Non, non, mais bon je n'ai peut être pas été très clair : je parlais bien des français publiés en langue anglaise grâce à Bragelonne quand j'évoquai le manque de moyen des autres maisons d'édition pour faire de même.
Ça me rassure, j'arrive encore à lire le français. :)

182
Bonjouretmerci pour toutes les idées de lecture à venir, piochées ici ou là.Alors d'abord. @ Le Fleuve Noir, je vous adore parce que vous publiez Fforde.Seulement, voilà, faudrait voir un peu à se magner. Vous avez 2 tomes de retard sur la série Thursday Next.Et ne venez pas ergoter sur la toute récente publication UK du dernier en date parce que j'ai 10 doigts. (7 mois depuis July 2012.)Z'avez qu'à y coller -au hasard- un rédac trad chef. qui travaille déjà pour votre maison et lui filer le dodo ou demander à Merle d'arrêter de faire le beau en allant siffler sur la colline, cueillir des petits bouquets d'églantines.Pas de rouspétances. Z'avez bien dit "Les lecteurs prennent le pouvoir" et j'ai mon "doomsday kit"...Sinon et en vrac.Réflexion sur le pourquoi du comment dans les années 80 capturer au lasso le lecteur, qui s'ignorait, était possible. Big gamberge Zedd / Fabien entre autres.La très vraiment grande majorité n'avait pas d'ordi, l'internet vitesse son et lumière n'existait point ; les réseaux sociaux, c'était les copains d'abord IRL ; on "gagnait" pas un temps fou à se fabriquer une culture sur les forums ; qqns dans le Larzac fessaient les boucs, un point c'est tout. Bref, c'était un temps déraisonnable, puisqu'on n'avait pas encore mis les morts à table. Ainsi vivaient les hommes : dans la paix des dieux d'leur vieux temps d'jadis...Puis débaroulèrent de nouveaux dieux -comme dit précédemment et surtout chez Gaiman. Et, tous, de satisfaire aux nouveaux cultes dont la religion se répandait via les forum. Tous? Non. Un petit village d'irréductibles...Alors, je hasarde : c'est peut-être pour cela, aussi, que les rolistes réunis autour de la table (ou se torgnolant dru IRL, genre Cène Grandeur Nature) furent convertis quand les gamers restent à convertir.Ce qui m'amène par de tortueux chemins -ben oui, j'ai bien tout lu, du moins, je crois...- à penser que grosso modo, on s'interroge céans sur : kézako la Tentation de Saint-Antoine?Ben oui, les tentations sont grandement surmultipliées. Deux exemples :Mon tonton américain fait rien qu'à me dévoyer avec les séries qu'il m'agite au-dessus du PAF, pif.Surtout qu'est-ce que je fais là, à gamberger sur des bilans pré-apocalyptiques, des annonces post-apocalyptiques, quand, pendant ce temps je ne lis même pas une colombine au masculin.Toujours et encore Saint Antoine parce que je n'ai pas perdu de vue le fait que Thursday, au Fleuve Noir, on l'a un peu beaucoup perdue de vue. Dites, votre Fleuve Noir, ce serait y pas le Styx?---Un gentil anonyme de Fleuve Noir a répondu depuis : One of our Thursdays is missing paraîtra au 2nd semestre 2013. Je remballe donc mon "doomsday kit"

197
Plutot pessimiste chez Denoel , il y a de quoi avoir peur...Curieux de voir ces 2 nouveaux coup de coeur ,surtout ce Jo Walton ,je m'en vais le googliser de ce pas.

198
Oui les propos de Gilles Dumay font froid dans le dos... contrairement à ceux précédents des moutons. Peut être qu'il y a d'un côté un optimiste et de l'autre un pessimiste mais les moutons ont l'air quand même de s'en sortir mieux.

200
C'est assez souvent le cas avec Gilles Dumay. En même temps c'est l'un des seuls éditeurs du milieu à avoir une vraie liberté de ton je trouve. C'est l'un des seuls à donner ses chiffres de vente de manière précise et à relayer TOUTES les critiques de ses bouquins, même les négatives, ce qui fait de cet éditeur une vraie exception.