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J'hésite pour le moment entre 8 et 9.
Afrique, après l’apocalypse. Le monde a changé de bien des façons, mais il est une région où les génocides intertribaux continuent d’ensanglanter la terre.Une femme survit à l’anéantissement de son villageet au viol commis par un général ennemi.Elle erre dans le désert dans l’espoir d’y mourir,mais donne naissance à une petite fille dont la peauet les cheveux ont la couleur du sable.Persuadée que son enfant est différente, extraordinaire, elle la nomme « Onyesonwu », ce qui signifie, dans une langue ancienne : « Qui a peur de la mort ? »À mesure qu’Onye grandit, elle comprend peu à peuqu’elle porte les stigmates physiques et sociauxde sa violente conception.Des pouvoirs magiques aussi insolites que remarquables commencent à se manifester chez elle alors qu’elle est encore enfant. Sa destinée mystique et sa nature rebelle la poussent à quitter son foyer pour se lancer dans un voyage qui la forcera à affronter sa nature, la tradition, l’histoire, l’amour, les mystères spirituels de sa culture, et à apprendre enfin pourquoi elle a reçu le nom qu’elle porte.

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Bonne critique , histoire interessante , couv' d'enfer , je prends ! (enfin pas tout de suite y a du monde sur ma liste!)J'en parle a ma douce :NON pas taper cherie pas taper nooooonnn!

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Merci pour vos réactions. :)Franchement, n'hésitez pas, sautez le pas. C'est toujours un peu terre-à-terre d'invoquer cet argument, mais franchement, pour ce prix en plus...

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Lecture commencée sur une centaine de pages. En plus d'une couverture superbe tout en trompe-l’œil, le récit n'est pas en reste et pour le moment c'est un vrai plaisir de se retrouver projeté dans l'imaginaire africain avec un équilibre délicat entre "profane et sacré", propres à cette culture. Bon, je ne vais pas développer plus mais c'est du tout bon pour l'instant et j'espère qu'après la mise en place du "paysage" le récit prendra plus d'ampleur.Et impatient de découvrir le résultat de cet interview!

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Je m'aperçois que j'étais complétement passé à côté de ce sujet. :o Couverture magnifique (c'est le même dessinateur qui avait fait celle déjà superbe de "Zoo city" de Lauren Beukes non ?), critique qui donne carrément envie, je vais me jeter dessus à mon prochain passage en librairie :P

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Terminé hier. Bon bah, que dire. Déjà, je ne peux qu’aller dans le sens de la critique de Gillossen. Un univers original, peu abordé ou connu dans nos contrées mais loin d’être hermétique, une magie qui s’intègre naturellement comme si elle faisait partie intégrante du quotidien (j’ai parfois eu l’impression de ne pas lire qu'une pure fiction). Des personnages forts avec toutes leurs contradictions, confrontés au changement et ancrés dans une tradition contraignante (euphémisme). Un style d’écriture simple, efficace (phrases courtes que ce soit en dialogue ou en description) qui va à l’essentiel et quelques "silences" de non-dits. Je n’ai pu m’empêcher d’y voir un roman moderne à la fois "naturaliste" et initiatique.Bien sûr, difficile de passer sur les thématiques évoquées et propres au continent africain et c’est aussi un des points forts du roman : on y retrouve un condensé des problématiques actuelles et des paradoxes qui sont inhérents à cette (ces) culture(s) (même si parfois plus larges). Génocides, enfants-soldats, mutilations, viols, tradition conservatrice, domination masculine, libre-arbitre, déterminisme, rejet, xénophobie et j’en passe. L’auteur les intègre habilement à son récit sans tomber dans la surenchère et la victimisation. Un sentiment de « vécu » se dégage et confère une vitalité poignante et de force à l’histoire. Étonnamment, le background (post-apo) peu développé n’est pas un frein à l’immersion et se ressent de façon latente via le regard de l’héroïne. Par contre, le « un des chefs-d’œuvre du fantastique du XXIème siècle » annoncé en 4ème de couverture me paraît un peu surfait et précoce. Une très très bonne lecture mais il m’a manqué un je-ne-sais-quoi pour le qualifier de magistral.Postface intéressante aussi où l'auteur se livre sur la genèse de son ouvrage. Hâte d'en découvrir plus avec l'entretien!

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Commencé hier, mais pour l'instant rien à dire (je n'ai lu que le premier chapitre :P) à part que je n'ai pas détesté épidermiquement tout de suite le peu que j'ai lu (y a des bouquins qui me font cet effet là :o). C'est déjà ça ! :D

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Ca s'est joué entre Qui a peur de la mort ? et la promesse du sang,entre deux fantasys originales (c'est que j'ai pris aussi dans ma besace Eiffelheim, Furor, Cornes et Shining...) .J'ai finalement opté pour le one shot, mais ce n'est que partie remise. Début de lecture ce soir.