Ça n'empêche pas d'apprécier la chronique.Saffron a écrit :Il faut laisser aux gens le temps de (re)lire les 2 premiers.

Tout à fait d'accord avec toi. Au vu de ses derniers écrits on peut voir qu'il y excelle.Personne d'autre n'a franchi le pas en lisant cette trilogie, au vu notamment des superbes couvertures?Saffron a écrit :Après avoir longtemps souhaité que Pevel passe de l'uchronie à la fantasy "pure", j'en viendrais presque à espérer qu'il fasse le chemin inverse !
j'ai en effet acheté le livre pour l'offrir à mon homme qui aime bien Pevel (moi aussi, mais lui a bien + aimé les lames du cardinal que moi)la couv aussi, un peu à la Mucha, m'a aussi tapé dans l'oeil...Magnus a écrit :Le nom de Pevel commence aussi à faire vendre, mine de rien le bonhomme s'est taillé une jolie réputation avec les Lames du Cardinal, et la promotion appuyée de Haut-Royaume n'est pas non plus passée inaperçue.
j'ai regardé ce qui a été dit dans la critique et je suis amusée de voir que l'on reproche l'aspect didactique de Pevel... pour avoir lu un bon nombre de romans policiers historiques, je peux garantir (au vu de ce que j'ai lu) que ce aspect n'est pas très présent... j'ai des souvenirs de Nicolas Le Floch où on nous fait trop le cours d'histoire au détriment de l'intrigue.L'alchimie absurde. Celle-ci consistait à vaincre l'élasticité du caoutchouc, à rendre friable le diamant, à corrompre le bois pour qu'il ne flotte plus. tout cela, naturellement, au terme de laborieuses recherches. Maniquet [le créateur de l'alchimie absurde] promettait d'atteindre un jour le but ultime: transformer l'or en plomb. Il avait cependant renoncé à créer l'ant-pierre philosophale, pourvoyeuse de l'ignorance universelle. L'essentiel de l'humanité se débrouillait très bien sans et depuis longtemps.
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