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Orion a écrit :
Yksin a écrit :D'ailleurs on n'a pas de date pour la sortie de la deuxième partie de Chasse Royale ?
http://www.moutons-electriques.fr/livre-259En librairie, quand on me demande:client: "J'ai adoré, c'était juste génial, vous avez quelque chose dans le même genre ?"moi: "Il y a un Graal, un anneau unique, une Excalibur, bilan..."client: "Du coup, il n'y a qu'un Jaworski."moi: "... qu'un seul pour les gouverner tous, en effet."[img align=R]http://fantasy-faction.com/wp-content/u ... 10x300.jpg[/url]
Et après les clients te demandent ce que tu fumes? :)

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Flykillerman a écrit :Et après les clients te demandent ce que tu fumes? :)
Même pas :PPuis tu te doutes bien, que c'est un peu caricatural comme réplique, façon de dire en somme. ;)

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Bon, je viens de le finir. Mon avis posté sur Booknode :Comme bon nombre de lecteurs qui ont eu l'honneur de poser leurs yeux sur cet ouvrage incroyable, j'ai été une nouvelle fois subjugué par la plume de Monsieur Jaworski.Alors, certes, la plume ne fait pas tout, il faut aussi une histoire ; et avec l'histoire, des personnages, un univers cohérent, de l'émotion, de la fluidité et tout un tas de chose que l'on ressent pendant une lecture mais qu'on ne peut décrire avec des mots.J'ai adoré le premier tome de Rois du Monde. Mais cette première partie de la deuxième branche va bien au-delà de mes espérances les plus folles. Tout est réuni pour que cette saga s'installe au sommet de ma pyramide de livres. Le récit de Bellovèse est splendide, sinistre, malsain, empli de haine et d'amour. Le pire dans tout cela, c'est qu'on se pose en auditeur. Passé les premières phrases, on ne lit plus : on écoute l'histoire de cet homme, on réfléchit sur ses choix personnels, on comprend ses appréhensions, on perçoit ses cris de colère, et on voit ses larmes couler.Non, il n'y a pas à dire, Rois du Monde est une oeuvre hors du temps, au même titre que l'a été la Compagnie Noire à mes yeux même si la comparaison est décidément impossible.Alors, certes, je vais attendre de lire ce récit jusqu'à son dernier mot pour me prononcer mais je ne me fais pas de bile : ça va faire mal.Mémorable. La suite, c'est pour quand ? :)Franchement, je vais avoir du mal à m'en remettre ! :oPour moi, c'est un 10/10 plus que mérité.

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Finit "Même pas mort" hier, voila un avis tout chaud… et mitigé :/ J’ai vraiment eu beaucoup de mal à accrocher durant la première partie, à cause d’un manque crucial d’attachement, voir même d’intérêt, pour les personnages. Bellovèse ne m’évoquait rien, tant il me paraissait être un simple spectateur des événements, et les autres ne me semblaient bons qu’à se taper dessus. Car oui, je dois bien admettre que j’ai eu du mal avec cette ambiance très masculine. Je ne suis pas contre hein, je savais bien ce qui m’attendait en lisant le résumé du livre :) Mais ils ont une façon de se prouver leur force et de défendre leur honneur qui m’a plusieurs fois fait froncer les sourcils, en particulier lors de la "course / marche forcée" où le dernier arrivé est exécuté. J’ai trouvé ça carrément malsain, vu que nos héros sont conscients du caractère injuste de l’épreuve, les membres importants étant bien tranquillement à cheval…J’ai décroché un peu après le moment où Bellovèse n’est, justement, "même pas mort", pour reprendre ma lecture 2 mois plus tard :sifflote: J’attendais beaucoup de cette histoire (il faut dire que sur Elbakin, Jaworski est vraiment très, très bien vendu ^_^), du coup je m’y suis replongée. Déjà parce que j’espérais encore accrocher au livre, et parce que la plume de l’auteur est un argument de taille. Ya pas à dire, il écrit vraiment très bien le Monsieur, et c’est en plus d’une qualité constante ! J’apprécie particulièrement que, dans les scènes d’actions, on comprenne bien tout ce qui se passe, contrairement à d’autres récits où combats et batailles, du fait de tournure de phrases bancales, ne sont plus qu’une accumulation de mouvements confus.Bref, tout ça pour dire que j’ai vraiment bien fait de persévérer, la deuxième partie, avec l’enfance de Bellovèse, étant bien plus agréable à lire. On en apprend enfin un peu plus sur les personnages, l’histoire se précise, et je me suis alors sentie beaucoup plus intéressée par leur devenir. En particulier avec la toute fin, qui me laisse espérer une suite plus enthousiasmante.Dernier point, je me permets de rebondir sur la critique du site :
Mais ce sont surtout les femmes qui sont à l’honneur dans ce volume.
D’un point de vue de lectrice, je les ai plutôt trouvé en retrait dans cet univers très masculin. Certes, on devine leur influence, mais ça reste selon moi assez minime. Il n’y a que Saxena, lorsqu’elle est évoquée, qui semble être capable de s’affirmer. Cela dit, j’avais bien aimé la rencontre avec Cassimara, j’espère qu’on la reverra dans le tome suivant… que j’ai donc bien prévu de lire, malgré un premier tome en demi-teinte :)

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Merci pour ton avis féminin Iselle ;)J'ai trouvé personnellement le second tome un cran au dessus du premier...
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Fini !Après un premier tome qui m'a laissé un peu perplexe, voire indifférent (hormis pour sa puissance d'évocation et certains passages), j'y allais sans grande envie, plutôt par fidélité et confiance envers l'auteur. Mais je n'ai pas été déçu ! J'ai beaucoup aimé, en fait je ne l'ai pas lâché du début à la fin. Je trouve certains de ses choix vraiment intéressants au niveau du scénario, du comportement des protagonistes. En soi, l'histoire part sur une base simple et se déroule tout naturellement, et pourtant rien ne semble entendu dans l'enchaînement des événements. Il n'y a pas de connivence entre l'auteur et le lecteur, non plus qu'entre l'auteur et ses protagonistes, et c'est ce que j'aime le plus chez lui je crois. Un sacré bon livre, et un type étonnant. Par tous les dieux d'en haut et d'en bas, vivement la suite !

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J'ai finit Même pas mort ce matin (et loupé mon arrêt de métro ! :/ ) et je doit dire que j'ai été emballé ! Pas par Bellovèse qui sers dans ce tome plus de prétexte à l'histoire que de personnage central, mais par l'ambiance du bouquin, le langage toujours merveilleux de JP Jaworski et par le coté décousus et onirique du récit qui fait qu'on ne sait jamais vraiment à qui parle le narrateur : au scribe, aux Vieilles, au lecteur,...Une lecture qui nous plonge dans un monde celtique empreint de mythologie et d'honneur viril et qui ne nous lâche qu'à la fin ! :)