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Fini tout à l'heure. Ce n'était franchement pas dingue...Des passages confus (ou mal traduits ?), un rythme en dent de scie qui passionne rarement, l'univers qui avait l'air intéressant mais n'est que très peu développé et confus au final lui aussi. Je n'ai que modérément accroché aux nombreux personnages qui, pour la plupart, ne sont presque que des noms interchangeables, hormis 4/5.Ca m'a rappelé un peu Le Nom du vent dans le côté "école de magie" et personnage sorti de la rue "qui a la haine", mais autant le cycle de Rothfuss était passionnant à lire malgré ses quelques défauts, autant Soeur écarlate me tombait parfois des mains.Jamais lu les autres livres de cet auteur mais si c'est le haut du panier, je vais éviter 

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J'ai lu le deuxième tome récemment, et j'ai plutôt bien aimé. Alors certes c'est beaucoup plus classique comme fantasy que les deux autres trilogies de l'auteur, et on voit un peu trop venir les développements à l'avance, mais ça reste des bons bouquins. Ceci dit, le plus gros point positif pour moi c'est le style de l'auteur. Il a une très bonne maitrise de l'anglais et ça se voit : le texte est fluide, sans lourdeur ni répétitions et c'est un vrai plaisir de le lire. Le souci c'est que ce côté là sera complètement perdu à la traduction 

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Oui bien sûr, mais tu sais mieux que moi à quel point il est difficile de faire une bonne traduction. On ne peut jamais retranscrire exactement tous les sous entendus, non dits et nuances d'un texte tout en restant fluide et concis, donc le traducteur est forcé de faire des compromis et on perd forcément un peu en qualité. Ça me dérange moins pour un auteur comme Sanderson dont le style n'est pas le point fort, mais dans le cas d'auteurs comme Lawrence ou Cook je trouve vraiment qu'on perd beaucoup à la traduction.Il y a toujours des contre exemples, comme le Disque Monde, mais Patrick Couton est un génie.
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Sincèrement, je pense que si, mais tout simplement pas dans la même langue (Ah bon ?On ne peut jamais retranscrire exactement tous les sous entendus, non dits et nuances d'un texte tout en restant fluide et concis,



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Je viens de finir la lecture de Sœur Écarlate et, me rendant compte à quel point me plonger dans un bon roman de fantasy m'avait manqué ces dernières années, je me suis dit que ce serait l'occasion de revenir un peu parmi ces contrés pour tenter de renouer avec ce qu'il se passe dans le monde de la fantasy. Et de part ce fait, quoi de mieux pour ce retour que de faire un petit commentaire beaucoup trop long sur le livre qui en est la cause.
Ce premier tome m'a personnellement bien plu. Je me suis bien laissé prendre par cet univers, ayant notamment bien aimé l'originalité d'avoir cette planète quasiment entièrement inhabitable. J'ai dernièrement un vrai faible pour les univers de fantasy se passant dans un moyen âge "sale", que l'on trouve ici notamment à travers les description de la capitale Verity (désolée, ayant faite cette lecture en anglais, je ne pourrais pas utiliser ceux traduits) et de la vie de Nona avant son arrivée au couvent.
Pour embrayer sur les personnages, quand bien même j'ai parfois eu l'impression qu'ils pouvaient manquer un peu de profondeur, me semblant être principalement défini autour d'un trait de caractère, j'ai tout de même bien réussi à m'attacher à eux, et ais toujours eu plaisir à les voir interagir entre elles. Après, j'ai une tendance à apprécier les histoires centrées sur un personnage féminin affirmé, donc je pense que mes biais ont eu un rôle dans mon appréciation tant du roman que des personnages.
Pour passer sur le registre, un peu plus détaché, de l'écriture en tant que tel, je l'ai trouvé globalement agréable dans ce livre, même si pas sans reproche (j'y reviendrais plus tard). Notamment, j'ai trouvé qu'il y avait une bonne gestion de nos attentes. Je n'ai pas trop eu l'impression que des évènements sortaient de nuls parts, des indices étant dissimulés régulièrement à travers le textes (même si ils étaient parfois un peu gros, je trouve). Les mystères soulevés par le livre étaient bien traités, de manières satisfaisantes, avec des révélations, pour la plupart, graduelles amenés à un rythme correct (de mémoire, seule les griffes m'ont semblées un peu trop traîner en longueur). Au niveau révélation, j'ai d'ailleurs vraiment aimer les prologues des deux parties du livre et l'épilogue, qui s'accordent bien à nos avancées dans les révélations, qui nous permettent petit à petit de mieux comprendre la scène qui est entrain de se dérouler sous nos yeux.
J'aimerais m'attarder un peu plus sur le rythme de ce livre, qui semble en effet avoir fait discussion ici même, et je pense que ce n'est pas sans raison. Il y a certains points que j'ai trouvé très bon, et d'autre qui m'ont semblé pour le coup bien moins efficace. Mais je pense que le problème principal n'est pas le rythme en lui-même, qui est en fait bien géré. Comme dit ci-dessus, les révélations en lien avec l'histoire que l'on a directement sous les yeux sont gérés de manières satisfaisantes. Les chapitres s'enchaînent tout seul et, quand j'arrivais à la fin d'un, je n'avais qu'une envie : lire le suivant (autant dire que j'ai été très efficace au boulot cette semaine). L'agencement des chapitres et sous-chapitres nous amène une sensation de progression agréable, et aucune scène ne m'a semblé trop traîner en longueur par elle-même. Cependant, si ce qui est lié à l'histoire que nous avons sous les yeux est bien géré, l'histoire principale, elle, me semble avoir été laissée à l'abandon, pour ne pas dire qu'elle est basiquement absente de ce premier tome. À aucun moment l'auteur ne semble poser les bases de son histoire principale, ses thèmes et ses enjeux. Basiquement, pendant tout ce premier tome, j'ai eu l'impression de lire un prologue géant, ce qui, aussi bon que soit ce prologue, est quelque peu frustrant. Arrivée à la fin de ce tome, je suis bien en peine de vous dire de quoi il parlait profondément, qu'est-ce qu'il voulait nous dire, et où il veut aller. J'ai passé un moment agréable, mais je n'ai pas l'impression que quelque chose de plus grand que ce que j'avais littéralement sous les yeux ait été construit. Cela vient possiblement aussi du fait que les personnages ont très peu évolués.
Je pense que cette absence de thème, d'enjeux globaux et d'évolution contribue à donner l'impression que ce livre a des coups de moue, alors même que la gestion du rythme est plutôt bonne. Il nous manque juste quelque chose de satisfaisant à la fin, et une ouverture vers la suite. Ce qui rend la chose assez frustrante, même si on a passé un bon moment.
Ma suspicion est que c'est lié au fait que ce soit une trilogie. Je ne connais pas les autres œuvres de Lawrence, mais j'ai l'impression qu'il n'a pas voulu trop en révéler dans ce premier tome, en profitant pour développer son monde et ses différents aspects. Si la seconde partie me semble bien, je pense qu'il est allé trop loin dans la première, et du coup il n'y a plus assez de substance restante dans le livre. L'histoire est bonne, mais elle donne du coup l'impression qu'il n'y a rien derrière. C'est assez dommage.
J'en profite pour bifurquer sur les points qui m'ont plus déplu dans le livre. Je précise d'avance qu'aucun de ces points (ou de ceux cités ci-dessus) n'est un dealbreaker ici pour moi. Il s'agit juste d'une série de remarque de choses qui ont pu légèrement me déranger lors de la lecture.
Pour commencer avec l'écriture, et mon dada, j'ai trouvé un petit manque de descriptions. Les émotions et pensés des personnages sont bien décrits, mais j'ai par moment eu du mal à m'imaginer les environnements, ou même les personnages eux-même car il me manquait des descriptions desdits personnages, au delà de quelques traits caractéristiques. Nous avons souvent une ou deux phrases nous introduisant le personnage, souvent par sa corpulence et ses cheveux, rarement plus. Même chose pour les bâtiments : nous avons souvent la taille, peut être une forme générale, mais pas grand chose de plus. Je trouve ça un peu dommage. Les descriptions sont souvent ardues à écrire, mais c'est pour moi ce qui sublime un récit. Au moins, je peux me consoler ici avec les descriptions des ressenties et des pensées, mais c'est assez triste d'avoir du mal à se figurer le monde dans lequel vivent les personnages.
La deuxième note est également liée à l'écriture, mais ne s’adresse potentiellement pas à la traduction française, mais j'ai trouvé par moment des phrases inutilement complexes. J'ai vu quelqu'un ici complimenter l'écriture anglaise, et je ne suis pas totalement d'accord. Le livre est très agréable à lire, je trouve, et il y a quelques passages qui sont d'une grande élégance. Mais il y a d'autres moments où j'ai du m'y reprendre à plusieurs fois pour comprendre une phrase, écrite de manière alambiqué. L'anglais est souvent écrit de manière plus simple que le français, c'est une langue qui encourage un côté très direct dans son utilisation. Mais j'ai l'impression que Lawrence prend ceci à contre pied, et nous sert parfois des phrases qui ne ferait pas taches dans des écrits francophones. Si cela donne régulièrement à son texte un aspect plus lyrique, et permet une description probablement plus fine des émotions des personnages, elle amène aussi par moment à des passages que j'ai trouvé trop alambiqués, et qui m'ont demandé un certain effort de lecture (et pas par manque de vocabulaire).
Et ceci est aussi la source d'un autre problème : les enfants qui ne semble pas parler comme des enfants. La plupart, ça va, les dialogues sont assez simple, et cela ne choque pas. Mais quand les sujet deviennent un peu complexe, ou les explications un peu longue, la langue peut assez rapidement se complexifier, et je n'ai plus eu l'impression de voir des enfants parler, mais des adultes, voir des lettrés.
Le problème n'est globalement pas trop grave, mais le contraste m'a tout de même choqué quelque fois.
En parlant de contraste, un autre type de contraste m'a quelque peu interrogée.
À voir comment ce sera traité dans les tomes suivant, et les révélations que nous auront.
Pour finir, en vrac et sous spoiler, deux questions qui me reste à la fin de ce volume, peut être répondu plus tard, mais soit, pour la première, nous aurions déjà du avoir la réponse, soit, pour la seconde, je ne suis pas sûre que ce soit quelque chose de central.
Et ce sont les deux derniers points qui me posent question, et dont je ne sais pas trop quoi faire.
En bref, un livre qui m'a bien plu, malgré quelques petits reproche que je peux faire. Pour être même tout à fait honnête, j'ai passé un très bon week end à le lire, ne pouvant m'en décrocher. J'ai commandé le second tome, il devrait arriver dans la semaine, et j'ai assez hâtes de m'y remettre !
(Et mes excuses pour ce message d’une longueur probablement exagéré, je ne sais pas si ça se fait bien ici teehee)
EDIT : Après remarque par un ami, j'aimerais apporter une petite modification au spoiler numéro :
Ce premier tome m'a personnellement bien plu. Je me suis bien laissé prendre par cet univers, ayant notamment bien aimé l'originalité d'avoir cette planète quasiment entièrement inhabitable. J'ai dernièrement un vrai faible pour les univers de fantasy se passant dans un moyen âge "sale", que l'on trouve ici notamment à travers les description de la capitale Verity (désolée, ayant faite cette lecture en anglais, je ne pourrais pas utiliser ceux traduits) et de la vie de Nona avant son arrivée au couvent.
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Pour embrayer sur les personnages, quand bien même j'ai parfois eu l'impression qu'ils pouvaient manquer un peu de profondeur, me semblant être principalement défini autour d'un trait de caractère, j'ai tout de même bien réussi à m'attacher à eux, et ais toujours eu plaisir à les voir interagir entre elles. Après, j'ai une tendance à apprécier les histoires centrées sur un personnage féminin affirmé, donc je pense que mes biais ont eu un rôle dans mon appréciation tant du roman que des personnages.
Pour passer sur le registre, un peu plus détaché, de l'écriture en tant que tel, je l'ai trouvé globalement agréable dans ce livre, même si pas sans reproche (j'y reviendrais plus tard). Notamment, j'ai trouvé qu'il y avait une bonne gestion de nos attentes. Je n'ai pas trop eu l'impression que des évènements sortaient de nuls parts, des indices étant dissimulés régulièrement à travers le textes (même si ils étaient parfois un peu gros, je trouve). Les mystères soulevés par le livre étaient bien traités, de manières satisfaisantes, avec des révélations, pour la plupart, graduelles amenés à un rythme correct (de mémoire, seule les griffes m'ont semblées un peu trop traîner en longueur). Au niveau révélation, j'ai d'ailleurs vraiment aimer les prologues des deux parties du livre et l'épilogue, qui s'accordent bien à nos avancées dans les révélations, qui nous permettent petit à petit de mieux comprendre la scène qui est entrain de se dérouler sous nos yeux.
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J'aimerais m'attarder un peu plus sur le rythme de ce livre, qui semble en effet avoir fait discussion ici même, et je pense que ce n'est pas sans raison. Il y a certains points que j'ai trouvé très bon, et d'autre qui m'ont semblé pour le coup bien moins efficace. Mais je pense que le problème principal n'est pas le rythme en lui-même, qui est en fait bien géré. Comme dit ci-dessus, les révélations en lien avec l'histoire que l'on a directement sous les yeux sont gérés de manières satisfaisantes. Les chapitres s'enchaînent tout seul et, quand j'arrivais à la fin d'un, je n'avais qu'une envie : lire le suivant (autant dire que j'ai été très efficace au boulot cette semaine). L'agencement des chapitres et sous-chapitres nous amène une sensation de progression agréable, et aucune scène ne m'a semblé trop traîner en longueur par elle-même. Cependant, si ce qui est lié à l'histoire que nous avons sous les yeux est bien géré, l'histoire principale, elle, me semble avoir été laissée à l'abandon, pour ne pas dire qu'elle est basiquement absente de ce premier tome. À aucun moment l'auteur ne semble poser les bases de son histoire principale, ses thèmes et ses enjeux. Basiquement, pendant tout ce premier tome, j'ai eu l'impression de lire un prologue géant, ce qui, aussi bon que soit ce prologue, est quelque peu frustrant. Arrivée à la fin de ce tome, je suis bien en peine de vous dire de quoi il parlait profondément, qu'est-ce qu'il voulait nous dire, et où il veut aller. J'ai passé un moment agréable, mais je n'ai pas l'impression que quelque chose de plus grand que ce que j'avais littéralement sous les yeux ait été construit. Cela vient possiblement aussi du fait que les personnages ont très peu évolués.
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Je pense que cette absence de thème, d'enjeux globaux et d'évolution contribue à donner l'impression que ce livre a des coups de moue, alors même que la gestion du rythme est plutôt bonne. Il nous manque juste quelque chose de satisfaisant à la fin, et une ouverture vers la suite. Ce qui rend la chose assez frustrante, même si on a passé un bon moment.
Ma suspicion est que c'est lié au fait que ce soit une trilogie. Je ne connais pas les autres œuvres de Lawrence, mais j'ai l'impression qu'il n'a pas voulu trop en révéler dans ce premier tome, en profitant pour développer son monde et ses différents aspects. Si la seconde partie me semble bien, je pense qu'il est allé trop loin dans la première, et du coup il n'y a plus assez de substance restante dans le livre. L'histoire est bonne, mais elle donne du coup l'impression qu'il n'y a rien derrière. C'est assez dommage.
J'en profite pour bifurquer sur les points qui m'ont plus déplu dans le livre. Je précise d'avance qu'aucun de ces points (ou de ceux cités ci-dessus) n'est un dealbreaker ici pour moi. Il s'agit juste d'une série de remarque de choses qui ont pu légèrement me déranger lors de la lecture.
Pour commencer avec l'écriture, et mon dada, j'ai trouvé un petit manque de descriptions. Les émotions et pensés des personnages sont bien décrits, mais j'ai par moment eu du mal à m'imaginer les environnements, ou même les personnages eux-même car il me manquait des descriptions desdits personnages, au delà de quelques traits caractéristiques. Nous avons souvent une ou deux phrases nous introduisant le personnage, souvent par sa corpulence et ses cheveux, rarement plus. Même chose pour les bâtiments : nous avons souvent la taille, peut être une forme générale, mais pas grand chose de plus. Je trouve ça un peu dommage. Les descriptions sont souvent ardues à écrire, mais c'est pour moi ce qui sublime un récit. Au moins, je peux me consoler ici avec les descriptions des ressenties et des pensées, mais c'est assez triste d'avoir du mal à se figurer le monde dans lequel vivent les personnages.
La deuxième note est également liée à l'écriture, mais ne s’adresse potentiellement pas à la traduction française, mais j'ai trouvé par moment des phrases inutilement complexes. J'ai vu quelqu'un ici complimenter l'écriture anglaise, et je ne suis pas totalement d'accord. Le livre est très agréable à lire, je trouve, et il y a quelques passages qui sont d'une grande élégance. Mais il y a d'autres moments où j'ai du m'y reprendre à plusieurs fois pour comprendre une phrase, écrite de manière alambiqué. L'anglais est souvent écrit de manière plus simple que le français, c'est une langue qui encourage un côté très direct dans son utilisation. Mais j'ai l'impression que Lawrence prend ceci à contre pied, et nous sert parfois des phrases qui ne ferait pas taches dans des écrits francophones. Si cela donne régulièrement à son texte un aspect plus lyrique, et permet une description probablement plus fine des émotions des personnages, elle amène aussi par moment à des passages que j'ai trouvé trop alambiqués, et qui m'ont demandé un certain effort de lecture (et pas par manque de vocabulaire).
Et ceci est aussi la source d'un autre problème : les enfants qui ne semble pas parler comme des enfants. La plupart, ça va, les dialogues sont assez simple, et cela ne choque pas. Mais quand les sujet deviennent un peu complexe, ou les explications un peu longue, la langue peut assez rapidement se complexifier, et je n'ai plus eu l'impression de voir des enfants parler, mais des adultes, voir des lettrés.
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Le problème n'est globalement pas trop grave, mais le contraste m'a tout de même choqué quelque fois.
En parlant de contraste, un autre type de contraste m'a quelque peu interrogée.
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À voir comment ce sera traité dans les tomes suivant, et les révélations que nous auront.
Pour finir, en vrac et sous spoiler, deux questions qui me reste à la fin de ce volume, peut être répondu plus tard, mais soit, pour la première, nous aurions déjà du avoir la réponse, soit, pour la seconde, je ne suis pas sûre que ce soit quelque chose de central.
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Et ce sont les deux derniers points qui me posent question, et dont je ne sais pas trop quoi faire.
En bref, un livre qui m'a bien plu, malgré quelques petits reproche que je peux faire. Pour être même tout à fait honnête, j'ai passé un très bon week end à le lire, ne pouvant m'en décrocher. J'ai commandé le second tome, il devrait arriver dans la semaine, et j'ai assez hâtes de m'y remettre !
(Et mes excuses pour ce message d’une longueur probablement exagéré, je ne sais pas si ça se fait bien ici teehee)
EDIT : Après remarque par un ami, j'aimerais apporter une petite modification au spoiler numéro :
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