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C'est noté sur la page parutions (http://www.elbakin.net/parutions/), elle est à jour :sifflote:

Plus sérieusement, il me fait envie mais je n'aime pas lire les tomes d'une saga en plusieurs fois. Il est annoncé qu'ils peuvent se lire indépendamment, est-ce possible selon ceux qui ont lu le 1 ? Merci
Expert ès calamités
"Nous adorons tous les histoires. Nous vivons pour elles" Comme un diamant dans ma mémoire GG Kay

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Ce n'est pas une trilogie mais un triptyque. Une thématique commune : la métamorphose.
Autrement, ce sont des histoires différentes, avec des personnages différents dans des cadres différents. On pourrait tout aussi bien lire le troisième sans passer par les deux premiers.

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Ah cool, je lirai le 1 à l'occasion alors. Merci de ta réponse
Expert ès calamités
"Nous adorons tous les histoires. Nous vivons pour elles" Comme un diamant dans ma mémoire GG Kay

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Et la « suite » arrive le 27 Mai.

https://miro.medium.com/max/700/1*rcE4_GQKWHg9FWyMq_RnPA.jpeg


Autant le dire, je ne sais pas si cela concerne Elbakin (je laisse le soin à Gillo et aux autres chroniqueurs de trancher après lecture) mais c'est toujours aussi formidable.
Le premier m'avait bluffé, le second enfonce le clou en arrivant à la fois à être totalement différent de Vita Nostra (il n'y a rien en commun, même pas un personnage) et totalement semblable (les thématiques, la façon de l'aborder, des points détape narratifs similaires).

Je recommande grandement la lecture dès le 27 mai tant Numérique est un bonheur d'intelligence et de métaphore assumée. Pour ceux qui veulent plus de précisions, comme d'hab, j'ai plus développé ici.

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Je ne sais pas s'il serait opportun de qualifier Numérique d'addictif puisqu'il questionne précisément nos multiples addictions :D. Pourtant, comme Vita Nostra, les auteurs n'ont aucune difficulté à nous happer, d'abord tranquillement, puis à nous dérouter, secouer et finalement bien déranger. Comme l'a justement relevé Littlefinger, ce deuxième volet du triptyque semble changer complètement d'approche mais pour creuser à nouveau des questions/thèmes similaires. Et c'est toujours subtilement réalisé, évitant le manichéisme, abordant des questions vraiment cruciales avec finesse, c'est franchement brillant, surtout pour un ouvrage exécuté en 400 pages.

Je l'ai d'autant plus apprécié qu'il nous oblige (et l'ouvrage date déjà de 2009) à ouvrir les yeux sur les mésusages du numérique qui ne laissent progressivement de changer l'humanité, ne serait-ce que nos proches (et adultes) qui se sont parfois littéralement transformés sur le plan du savoir-être en peu de temps. On pourra multiplier les rapprochements/inspirations, pour ma part il n'a pas à en rougir, c'est une référence. Espérons qu'il aura le même succès que le premier, et j'encourage les éditeurs à nous proposer des voyages/questionnements à la frontière des genres de cette qualité. :)

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Je rajoute un avis très positif pour Vita Nostra. Il fait parti de ces livres assez inclassables en fait, et mon seul reproche est une fin un peu abrupt et beaucoup de questions sans réponse.

L'écriture est remarquable, les personnages criant de vérité, l'ambiance russe contemporaine très bien rendue, c'est mystérieux et étrange à souhait...

Clairement, j'achèterais Numérique dès que possible

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Ah, suspense, pour ceux qui le connaissent, la chronique du site risque de ressembler (un peu) à celle de Gromovar. J'ai dit un peu. ^^
(Et elle n'est pas de moi)

75
Je suis intrigué, même si de prime abord le résumé m'attire moins que Vita Nostra, ce qui ne m'empêchera pas de tenter le coup. Merci pour la chronique.:)

76
Numérique est beaucoup plus clair à suivre que Vita Nostra, beaucoup plus facile à conseiller, se lit plus vite... Et s'oublie plus vite.

Moins original que Vita Nostra - je n'ai pas boudé mon plaisir, mais autant le premier volume m'a laissé encore des traces aujourd'hui, autant le deuxième volume s'est révélé plus lisse et moins impactant pour moi.
Memento mori

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Lu Vita Nostra et c'était une bonne lecture , le côté "École de Magie" qui m'avait un peu refroidi au départ est abordé sous un angle intéressant ;l'écriture est clinique comme l'ambiance de cet institut particulier , puis les choses évoluent et la narration aussi... La fin est plutôt frustrante et nous laisse avec pas mal de questions , un roman particulier pas un coup de coeur mais un duo d'auteurs à suivre

78
Numérique m'a plus parlé en terme d'univers (les jeux vidéo, le monde numérique de manière large) mais j'ai paradoxalement moins accroché à l'ambiance qui était bien plus prenante dans vita nostra. Nous retrouvons sinon les mêmes thèmes des métamorphoses d'Ovide, et les auteurs les traitent avec finesse et un bon sens de l'à propos. Le personnage principal est plutôt réussi, l'histoire alternant entre les passages où on le prend en pitié, d'autres où on ne peut que le détester et d'autres encore où il réussit à nous surprendre.

Au final pour moi ça reste du tout bon, un poil en dessous de vita nostra cependant. :)

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J'en suis au premier quart (mon Kindle indique 25% tout pile) et j'avoue que je ne comprends pas du tout l'avalanche d'avis dithyrambiques sur Vita Nostra !

Pourtant ça partait très bien. J'ai beaucoup aimé les premières pages, où Sacha raconte son quotidien des vacances. Il y avait une description de la routine et de la station balnéaire qui me faisait penser à du King, dans son mélange de fluidité et de profondeur.

Puis tout s'effondre dès que les premiers éléments fantastiques apparaissent. Le style des auteurs commence à trop s'orienter sur l'avancée de l'intrigue et tout va à 100 à l'heure, en abandonnant tout le travail sur l'ambiance et le personnage principal. Je suis maintenant à Torpa depuis plusieurs dizaines de pages et il ne reste plus qu'un enchaînement d'évènements bizarres sans que je n'y sois attaché d'une quelconque façon. L'université ne dégage aucune ambiance particulière (pourtant j'adore les romans se déroulant dans des écoles "fermées", avec internat et tout ce qui va avec), on n'a pas l'impression de vivre les évènements avec les autres élèves et les réactions de Sacha ou de ses camarades face à cette étrangeté me paraissent tellement peu subtiles que j'en perds toute suspension d'incrédulité.

Pas sûr que la seule curiosité de voir où va aller l'intrigue suffise à me faire terminer le bouquin.