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Gros up de sujet, je viens de terminer les tomes en intégrale de j'ai Lu et je m'y attendais pas a la base, mais j'ai vraiment eu un coup de cœur. On a déjà souligné les personnages, les enfants qui ne sont pas juste des humain limite comme dans d'autre série, 1000 détails. J'ai apprécier que l'auteur ne cede pas a la tentation de sauvé tout le monde

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Plusieurs ? reste ouvert et j'aurais été une épilogue plus longue, a la SDA
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D'un autre coté je comprend aussi la fin après la résolution centrale de l'histoire.

Non ce n'est pas une oeuvre majeur comme Malaazeen, SDA, compagnie Noire, GoT ou autre. Mais ce fut un tres beau voyage avec un debut et un fin...au sein de quelque chose qui était la avant et sera la après.

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Coucou les Elbakiniens.
Mes maintenant 4 enfants ne me laissent pas énormément de temps pour lire.
Je viens pourtant de finir cette trilogie.

Je suis surpris. Moi qui aime l'écriture efficace qui ne se perd pas en longues descriptions et en états d'âmes divers et variés, j'ai bien cru, en reconnaissant un style assez proche de Hobb, laisser tomber.

Et puis je me suis retrouvé pris dans ce texte. Et je m'étonne encore d'avoir terminé le cycle... (Alors que j'ai laissé tomber GoT par exemple, qui me gonfle à la trop longue...)
Alors qu'est-ce qui m'a gardé ? Difficile d'expliquer. Un équilibre certain entre une aventure autant intérieure qu'extérieure. Un style plaisant, des personnages justes et attachants, un traitement intéressant d'une idée pas très originale mais bien retravaillée. C'est pourtant pas un feu d'artifice, mais on a quand même envie de tourner la page suivante...

@ pluche

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Pour ma part, j'ai un excellent souvenir de cette saga. Je l'ai lue juste après le Trône de Fer de G.R.R Martin et Les Aventuriers de la Mer de Robin Hobb, et le Royaume de Tobin n'a pas du tout souffert de la comparaison. Au contraire, Lynn Flewelling avait même su ajouter autre chose que je n'avais encore jamais lu dans ce genre de fantasy :

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Ce thème est avancé peu à peu au cours des romans avec une finesse infinie, une telle discrétion, inséré parfaitement dans l'intrigue sans prendre le pas sur elle, mais absolument présente néanmoins.

Je garde également un souvenir fort des divers personnages, tous gorgés d'humanité.

À noter, il me semble, que la traduction (dans mes exemplaire J'ai Lu) était de Jean Sola, et je ne saurais dire si elle était véritablement fidèle à la plume de Lynn Flewelling ou s'il y avait eu, là aussi, une "Game of Thronisation" du texte :sifflote: