Celle qui devint le Soleil ayant été un coup de coeur assez intense, de ce genre de livre dont on sait qu'ils laissent une trace en nous sur la manière d'appréhender la littérature et l'imaginaire, j'ai énormément fait trainer la lecture du second.
Outre la peur d'être déçue, il y avait aussi l'envie de le lire au bon moment, lorsque je serai apte à apprécier le livre tout autant que l'acte même de lire. Souvent, c'est bien moins évident qu'on ne le pense.
Alors ça y est, j'ai affronté la bête. Ce coup de coeur personnel n'a pas faiblir, le second tome formant un tour indissociable du premier et surtout, une tragédie qui...fout les poils.
Parce que c'est viscéral, que ça percuté encore une fois, que ça hante...
Tout se complexifie, s'intensifie, et c est peut être cela le bon terme : intensifier. Parce que les sentiments prennent le devant sur la raison et que ces sentiments sont des oxymores à eux seuls, sombres et lumineux tout à la fois.
Certains personnages s'animalisent, perdent leur humanité de plus en plus, s'enfoncent...et pourtant qu'ils sont beaux car c est par la tragédie que revient l'humanité.
Beaucoup de mots pour pas grand chose dans mon ressenti :
Une duologie qui m'a mise à terre et j'ai aimé cela, voilà.
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