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mais parce que les curés étaient des fanatiques qui voyaient l'oeuvre du diable partout.
J'espère tout de même que tu grossis volontairement le trait, là. :)Je précise que ce n'est pas pour polémiquer, juste qu'il ne faudrait pas exagérer non plus avec les affirmations de ce genre. ;)

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Je nous éloigne de la question une dernière fois ;) pour savoir quelles bonnes références tu as sur le sujet. La chasse aux sorcières étant une période assez sombre de l'histoire, j'en ai retenu l'aspect le plus déplaisant.

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j'arrive tard ds la discussion dc je v essayer de répondre au fur et à mesure à toutes less questions soulevées auxquelles je peux(?) répondre.d'abord mes propres raisons pour lire de la fantasy. comme Eolle et bien d'autres je ne suis pas focaliséée sur la fantasy. comme je l'ai déjà écrit ds ma présentation je suis une boulimique de lecture et lit à peu prés tout ce qui me tombe sous la main. Cela dit il m'arrive régulièrement de passer par une phase fantasy où je ne lit que ça ou presque et bcp (environ une vingtaine). alors pourquoi?j'aime la fantasy car ça me rappelle les contes et mythologies de mon enfance avec cette magie et ces mondes éloignés du notre. en plus chq auteur apporte son propre monde dc on change dés qu'on en ouvre un autre. et bien svt le monde à découvrir n'est pas non plus connu par l'un des protagonistes qui nous entraine ds ses découvertes à la même vitesse que la notre (oups pas clair) je veux dire qu'on découvre le monde comme au moins un des perso le plus svt petit à petit (j'espère que c mieux)un autre point important est l'humour présent ds quasi ts les livres de fantasy que je lis. en ceci c clair qu'il s'inscrivent ds notre propre monde avec notre mentalité pour répondre à la discussion des premières pages sur la convergence des mondes de fantasy et du notre. l'humour est une question de mentalité ce qui implique que celle des persos des livres et des leteurs ne soient pas trop éloignées simo plus d'humour compréhensible.cela pourrait aussi etre un argument ds les discussions sur la fantasy indienne ou chinoise mais pour ça je renvoit aux sujets déjà existantsautre point, pour répondre à Zebulon à rpopos de la technologie figée ds le tps alors que chez nous elle évolue trés trés vite, je pense que ça revient au fait qu'on est qq part propulsés ds ce monde inconnu trés vite. Pour pouvoir ingurgiter tout ce qui fait ce monde (traditions, légendes, lois,...) il ne faut pas que ça change en plus trés vite et que la génération des parent ssoit d'un monde totalement différent de celui des enfants que bien svt on suit ds leurs découvertes et l'amorçage du changement (qd on rentre ds le modèle élu-prophétie notamment)encore un petit point sur la magie. j'ai tj été attirée par ce qui ne s'explique pas mais de par mes études scientifiques j'ai finalement appris que bcp s'expliquait. ici mis à part le cycle de Mc Caffrey sur le vol de pégase ou un petit peu celui de Bradley sur Ténébreuse , je n'ai pas l'impression qu'on cherche à expliquer. cela^permet de revenir à toutes ces histoires extra ordinaires de la mythologie grecque ou autre. alors pour moi la réponse à pourquoi la magie, c tout simplement qu'elle ne s'explique pas ( tu vois Djou, y a pas que des historiens ;) )enfin une dernière raison trés personnelle cette fois, j'adore raconter ce que je lis et les romans de fantasy st svt t long. mes amis au lycée n'avaient pas forcément le courage de lire ces"pavés". je les lisait dc puis les racontais pour les faire entrer à leur tour ds ces mondes qui me faisaient rever et les réactions étaient tj les mêmes : mes yeux commençaient à briller, c'était ma propre entrée ds le monde que j'allait raconter puis je décrivais ts ces paysages et les personnages n'étaient svt vus que de l'intérieur, libre à chacun de les imaginer blonds ou bruns mais leur caratère n'était pas laissé au hasard. et j'adore ces moments là. C'est ce que je retrouve aujourd'hui qd je discute avecd es copains qui ont vu et rien que vu le FotR et TTT et à qui j'explique ce qui manque ou ce qui a été modifié, juste un peu pour leur prteter le bouquin derrière ou avec toute l'histoire, selon leurs demandesoups je viens de m'apercevoir de la longueur de mon post, toutes mes excuses :oops:

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Héroic Fantasy ou encore Sword and Sorcery, High Fantasy... difficile à définir avec précision. Disons qu'il s'agit d'histoires ou le héros, doté de certains pouvoirs où d'une certaine force se balade dans un univers pseudo-médiéval, ou il rencontre des sorciers et magiciens, des créatures maléfiques, des démons et tout un bestiaire extraordinaire et ou la magie règne sur le monde. C'est une littérature ou le pire côtoie le génial, ou le cliché règne parfois en maître. L'Héroic Fantasy est en fait une succursale bizarre du Fantastique et de la Science Fiction, mélange de légendes, mythes et contes. Une seule règle : tout est permis.J'aime lire de la fantasy, tout autant que j'aime lire de la SF !Cependant avec le temps et avec l'age (surement), je trouve plus de plaisir à lire et relire de la fantasy !La SF devient de plus en plus cauchemardesque, et de plus en plus sombre ! Difficile de rêver ! Elle (la SF) semble avoir fait le tour des ses idées ! J'avoue ne pas avoir lu un roman génial en SF depuis Hypérion ! Des bons livres oui, mais pas de chef d'oeuvres ! le cinéma de SF est à l'image d'ailleurs (Un scénario aussi simpliste que celui de Matrix vu comme un exemple de complexité laisse réveur, Dick doit se retoruner dans son univers))La Fantasy, comme je le dis plus haut n'est pas toujours à la heuteur de ses prétentions littéraires ! Elle s'égare souvent dans des sagas interminables (la Belgariade par exemple).rares sont les oeuvres qui sortent du lot commun !Le cycle des Portes de la Mort (avec quelques faiblesses) est un exemple de renouvellement rare !Mais même sans avoir la prétention de se hisser à la hauteur de Tolkien, elle ouvre une capacité d'évasion, de rêve, d'imaginaire, de délires incomparable !Actuellement, je relis le cycle des portes de la mort !Et il y a des auteurs français pas inintéressant du tout dans le style : Philppe Monot avec Sardequin, Laurent Généfort par exemple !Bref malgré la réference à Tolkien qui reste écrasante (il a quasiment tout inventé), il y a de beaux rêves à dévorer !

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Au fur et à mesure que j'étoffe ma culture fantasy, je me rends compte qu'il y a des schémas qui se répétent et qui plaisent toujours.L'idée d'un âge d'or, d'un passé révolu qui renaît subitement: dragons, Anciens, mais aussi les elfes, être intelligents et harmonieux qu'on croyait disparus et qui sont toujours là, propres à nous faire rougir de la grossièreté de la civilisation humaine.La fantasy joue beaucoup sur la nostalgie du passé, des contes pour enfants, et soudain les héros s'aperçoivent que ce n'était pas des contes, mais des vérités sur le monde. Toujours cette magie bien plus évocatrice que la science...

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Au fur et à mesure que j'étoffe ma culture fantasy, je me rends compte qu'il y a des schémas qui se répétent et qui plaisent toujours.L'idée d'un âge d'or, d'un passé révolu qui renaît subitement: dragons, Anciens, mais aussi les elfes, être intelligents et harmonieux qu'on croyait disparus et qui sont toujours là, propres à nous faire rougir de la grossièreté de la civilisation humaine.
Je ne crois pas qu'il s'agisse d'un "âge d'Or". Car de ce type de période, tu ne tires par définition aucune lutte du Bien contre le Mal, aucune Apocalypse à combattre, qui font les belles heures de la Fantasy.
La fantasy joue beaucoup sur la nostalgie du passé, des contes pour enfants, et soudain les héros s'aperçoivent que ce n'était pas des contes, mais des vérités sur le monde. Toujours cette magie bien plus évocatrice que la science...
Pas d'accord là non plus. La Fantasy joue sur le goût du merveilleux et de l'évasion, mais la nostalgie ? Je ne me sens pas nostalgique du Moyen-Âge, merci bien ! (pour prendre l'exemple de l'héroïc Fantasy)Et enfin, les amateurs de SF te diront que la science peut-être, ô combien, évocatrice et je trouve que c'est un sacré raccourci que tu prends là... :)

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Et enfin, les amateurs de SF te diront que la science peut-être, ô combien, évocatrice et je trouve que c'est un sacré raccourci que tu prends là... :)
Je partage l'opinion de Publivore sur ce point. Surtout que lorsque la science et la technologie sont d'une avance considérable, elles finissent par conférer un à la magie.Si nombre de schéma scénaristiques et d'univers ont déjà été créé tant en SF qu'en Fantasy, je pense qu'il y a encore moyen de voir de belles choses dans les années à venir. D'ailleurs en SF, en space opera pour être précis, j'ai lu l'année dernière un bouquin qui m'a autant enchanté que Hypérion de Dan Simmons, il s'agissait de "Un feu sur l'abime" de Vernor Vinge. Pleins de nouvelles idées. C'est pareil en Fantasy, les possibilités ne sont limités que par l'imagination des auteurs, et je ne pense pas que l'on ai déjà fait le tour de tout ce que l'imagination peut produire.

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Pour répondre à Publivore: je ne parlais pas de nostalgie du Moyen Age pour les gens de notre époque, je n'ai aucune nostalgie pour le passé, merci bien, je préfère l'électricité, internet et la médecine moderne. Non, je parlais de l'ambiance fréquente à l'intérieur des oeuvres de fantasy, l'émotion qui saisit les hobbits lorsqu'ils voient des elfes pour la première fois par exemple, le fait de rencontrer des "races" chimériques, qu'on ne pensait pas réelles.C'est vrai que la science fiction peut rejoindre la fantasy de ce côté là, mais plutôt la science fiction bâtarde justement, la science fantasy ou ce que vous appelez le space opera. Bien sûr que la sf peut aussi faire rêver, quand elle ne se limite pas à une description de technologies futuristes.

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Bref malgré la réference à Tolkien qui reste écrasante (il a quasiment tout inventé), il y a de beaux rêves à dévorer !
Euh doucement quand meme, je respecte beaucoup l'oeuvre de Tolkien, mais c'est quand meme grandement exagéré de dire qu'il a tout inventé. A la rigueur on peut lui reconnaitre le droit d'avoir ecrit un livre qui a eu un grand succes et qui est passé au statut de référence.Mais bon, des exemples du genre fantasy existaient quand meme avant lui. Sardequin va donc jeter un coup d'oeil au dossier Fantasy de Macros.Bon je sais que ce message est un peu HS mais ne me tapez pas trop fort, c'est juste que j'aime pas que l'on dise que JRR Tolkien est Dieu en Fantasy (peut etre ais-je mal compris ton message?)

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Le mot quasiment est quand même important !Et les exemple de fantasy existent en effet, mais je crois que Tolkien est le premier à avoir crée un univers cohérent, avec ces codes, son histoire dans l'histoire, ses légendes dans la légende ! Et c'est en ça qu'il est important ! Et au delà du simple phénomème de vente de livre !Bien sur un écrivain anglais comme Lord Dunsany (La fille du roi des elfes) a exercé une certaine influence sur la Fantasy. Bien entendu Abraham Merrit est un autre précurseur (La Nef d'Ishtar).

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Allez je relance un peu le sujet en ce début d'après-midi plutôt calme...Il date! Bon je n'ai hélàs pas eu le courage de tout lire :rouge: donc je vais tout simplement répondre au premier message: la question en elle-même!En fait, je lisai un peu de tout et j'adorai Harry Potter, A la Croisée des Monde etc sans savoir vraiment qu'il s'agissait de fantasy...Puis à 13 ans j'ai découvert le sda...J'ai adoré. Je me suis donc miss à la recherche d'autres livres du même style sans grand succès immédiat. Puis je suis tombé sur elbakin qui m'a permi de découvrir la fantasy, mon genre de prédilection.J'adore les histoires de quêtes désespérées, de chevaliers déchu à la recherche d'un honneur perdu, d'intrigues pour le pouvoir et j'en passe! La fantasy, c'est tout cela et vraiment c'était le genre que je recherchai depuis toujours sans vraiment le savoir!

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Bonne question. Ce qui m'a fait aimer la fantasy en fait, c'est les jeux Games Workshop (ça suffit avec ça Anarion :P !), j'ai toujours adoré les nains, les elfes, les orques, les gobelins, les dragons, les magiciens et la magie... ce qui m'a amené à lire Bilbo le hobbit, des Dragon Lance, des magazines (dragons magazine entre autres)...Enfin bref, j'aime la fantasy à cause de mon imagination galopante dans ce domaine, malgré un évident retard dans ce domaine et il me faudrait plusieures vies pour me rattraper...

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J'aime la fantasy car c'est le genre littéraire (oui c'en est un, gare à ceux qui oseraient prétendre le contraire :angry: (en même tps, j'ai pas trop à m'inquiéter que ces gens viennent ici.. ;) )) qui permet le plus de s'évader selon moi. On a déjà assez d'exemple tous les jours des dures réalités de la vie alors les romans réalistes ou d'actualité, très peu pour moi... Quoi de mieux que de changer carrément d'univers pour se changer les idées... :D En plus, j'aime beaucoup les valeurs que prône la fantasy : le sens de l'honneur et des responsabilités, le courage, la solidarité, etc... J'aimais beaucoup les romans policiers avant et la fantasy avec ses intrigues compliquées, ses quètes et un suspense souvent présent, me comblent parfaitement! :) Et j'aime bien aussi l'ambience qui se dégage des différents univers de fantasy qu'ils soient moyen ageux, modernes ou orientaux.Quant à comment j'en suis venue à aimer la fantasy : Déjà toute petite, j'adorais les contes et toutes les histoires avec des reines et des magiciens, puis découverte de Bilbo et du sda, puis re-découverte du sda après plusieurs années et soudaine passion pour la fantasy...

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Pourquoi aimez-vous la fantasy ?
ouah la question!bon essayons d'y répondre:1/ L'évasion: c'est clair, l'exotisme de l'univers, la stature et le halo d'idéal qui entour le héros, sont ce qui m'attire en tout premier. Pourquoi? Parce que le quotidien est morne et policé et parce que la fantasy est "belle" et excitante? Oui mais pas seulement. 2/ Le mythe: l'élément fantasy vient sublimer l'histoire et la rendre plus "universelle". Tout ce que je lis de littérature générale se laisse reléguer au domaine du fait divers ne concernant qu'un personnage de tous les jours et son auteur. Alors que la fantasy est pour moi plus... hmm, intemporelle, "générale". Probablement parce que j'y cherche les émotions et les valeurs qui y sont liées (dépassement de soi, intransigeance, cheminement intérieur,...). Ou parce que c'est le propre du récit épique d'utiliser une symbolique forte.