Pourquoi traduire des œuvres d'exploitation ? On pourrait se contenter de traduire les œuvres les plus ambitieuses
A mon avis, pour adopter cette politique, il faudrait déjà avoir du recul par rapport aux œuvres en question. Quand le tout premier tome de l'Épée... est paru, qui aurait pu dire que ça se transformerait en "fantasy d'exploitation" pour reprendre ton terme? L'éditeur l'a peut-être vu, lui comme une œuvre ambitieuse? Alors comment juger et faire le tri puisqu'il s'agit d'avis subjectifs? Il faudrait avoir une vision globale de l'œuvre avant de se mettre à la publier pour pouvoir décider si au final, ça vaut la peine. Pas évident en Fantasy d'attendre d'avoir tous les tomes en main avant de lancer la publication! Surtout avec des auteurs comme Goodkind, le type même d'écrivain à qui il faudrait enlever les piles.Et une fois que les premiers tomes sont parus, qu'un public s'y retrouve, pourquoi ne pas continuer, puisque ça marche (et que ça paye)?Au passage, je précise que je n'ai lu que le premier tome de ce cycle. Arrivée au bout, je n'ai pas vu l'intérêt de continuer.