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Jaloux, je suis!! Je devais avoir la langue qui a fourché ou que sais-je mais Steven Erikson sur le coup, n'a pas compris mon nom... Bon, il a quand même signé mon Crippled God.En tout cas, j'attends avec une certaine impatience l'interview que vous avez faite avec lui pendant la table ronde. Pour les bouts que tu m'as évoqués, Mervyn, ça m'a l'air tout à fait appétissant.PS : Pour Steven, mon prénom est "a cool name". Maman, papa, vous êtes Erikson approved ! Je vous aime tout plein.
Elle a survécu, le fichier est sur ma dropbox, sur mon PC du boulot, sur mon PC perso, sur le PC de Guigz, sur l'enregistreur de Guigz et sur ma clé USB (ptet même sur le PC d'Aléthia). Même les podcasts sont pas aussi bien protégés contre la perte informatique.Gillossen a écrit :Espérons que la clé USB ait survécu !
C'est un peu ce qui m'avait rebuté à lecture du 1er tome, au-delà de toutes les qualités du roman (et du cycle)L'impression que j'ai du récit de Steven Erikson est que l'oeuvre est plus story driven que character driven (je m'excuse pour les anglicismes). Dans la plupart des romans, la narration se centre sur les personnages. Je trouve que c'est beaucoup moins le cas ici, surtout pour le premier tôme, et je me demande si ce n'est pas ce qui rend l'oeuvre un peu rude au premier abord pour certains.
C'est effectivement beaucoup le cas de Gardens of the Moon, mais comme tu le dis, ça s'inverse au fur et à mesure des tomes, jusqu'à être parfois complètement "character driven", comme dans Toll the Hounds.Et pour ton spoiler, t'inquiètes, ce sera vite expliquéL'impression que j'ai du récit de Steven Erikson est que l'oeuvre est plus story driven que character driven (je m'excuse pour les anglicismes).
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