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Mélange surprenant hein ? pour ceux qui connaissent Clive Barker comme l'auteur des Livres de Sang et autres romans d'horreur ! Hé bien, il vient d'entamer une collaboration avec Walt Disney pour l'adaptation cinématographique en 2005 de son premier roman jeunesseABARAT (chez Wiz-Albin Michel), premier tome d'une longue série.Selon l'article que j'ai consulté le livre serait également parsemé de magnifiques illustrations en couleurs.Volci quelques extraits de cette critique:"une époustouflante épopée au coeur d'un univers aux richesses inouïes""Abarat se démarque par sa mythologie foisonnante et la radicale originalité des ses personnages""véritable feu d'artifice porté par une plume alerte et coloré, Abarat, marque le début d'une série qui devrait ravir tous les amateurs de Fantasy âgés de 12 ans et plus."Et la couverture est très originale.Mises à jour :arrow: Critiques de Gillossen et d'Aléthia

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oui, je l'ai en VOet les illustrations sont faites par Barker himselfil aurait d'abord fait les dessins, puis ensuite écrit l'histoireje n'en ai lu que le prologue mais ça m'a l'air pas mal.

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Oui, je l'ai vu en librairie! Je l'avais reposé après avoir longtemps hésité... Ce n'est pourtant pas le prix qui m'avait effrayé (8 euros en livres de poche avec de superbes illustrations!). On verra la prochaine fois!Zedd

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Je ne connais pas, mais ça me tente :).En oeuvre pour la jeunesse, du même auteur, j'avais adoré Le Voleur d'éternité qu'il avait aussi illustré lui-même je crois et que j'avais lu quand j'étais au collège (par contre c'était chez Pocket jeunesse et je ne sais plus si ça a été réédité).

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Le résumé et la critique m'ont intriguée, je me laisserais bien tenter par une lecture :)Je ne savais même pas que Clive Barker était écrivain, je ne connaissais que quelques uns de ces films largement orientés Horreur (Hellraiser, Candyman, Cabal) et je suis d'autant plus surprise qu'il écrive pour la jeunesse.

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Gros coup de coeur! :)En lisant ce Clive Barker, mon premier, j'ai eu l'impression de lire un Gaiman de haute volée.Quel plaisir de suivre les aventures de l'héroïne dans ce monde riche, cohérent, et pourtant si décalé. On ressent tout au long de la lecture l'ombre de l'auteur qui plane sur le livre, avec son humour pince-sans-rire et ses dessins qui donnent au livre une ambiance toute particulière.J'ai été juste un peu déçu par la fin, un poil trop convenue.Mais, c'est bien peu au regard de ce qui précède! Vivement la sortie poche du tome deux!Zedd

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Ca fait déjà un petit moment que je connais Abarat et j’ai manqué le moment ou la critique est parue sur Elbakin. Heureusement le tournoi m’a rappelé à cette œuvre en nommant Candy Quackenbush comme héroïne, me faisant ainsi suspecter que des avis m’étaient passés sous le nez…Je connais Clive Barker depuis de nombreuses années puisque Le voleur d’éternité trônait sur ma bibliothèque comme meilleur livre d’épouvante (bon je n’avais que 10-11 ans à l’époque ;) ). Il n’empêche qu’encore maintenant, en évoquant son souvenir, il ne me laisse pas indifférente. Un certain malaise vous étreint à la lecture de ce livre, comme si l’histoire était un peu trop dérangeante, oppressante pour être vraiment appréciée. Ceci provoque en nous, rejet et attirance tout à la fois. Sensation que j’ai retrouvée un peu plus tard, à la lecture d’Everville, également très perturbant et dont je ne suis pas venu à bout. C’est donc mitigée, mais surtout intriguée que j’ai vu apparaitre Abarat dans le rayon jeunesse. Sa place en ces lieux et les dessins dont il était couvert m’ont convaincu que je n’avais pas à faire au même genre de récit que ceux déjà parus. C’était vrai ! Même si l’univers est tout aussi étrange et recherché, la sensation de malaise insidieux n’est pas de mise sur les traces de Candy Quackenbush. Le récit accrocheur, débute à Chickentown, patrie de l’élevage de poulet en batterie si triste et terne en comparaison à Abarat, monde foisonnant de vie et de magie. L’appel du large se fait donc rapidement sentir pour notre héroïne qui laisse sans regret sa morne vie derrière elle. Là, débute une série d’aventures, truffées de rencontres avec des personnages tous plus fantasques les uns que les autres. Les méchants et les gentils sont cette fois ci bien opposés, rappelant que le conte de fée n’est pas si éloigné de cette grande fresque bariolée. Cependant, on retrouve la touche de l’auteur dans la description du grand ennemi de Candy, à la fois humainement touchant et monstrueusement cruel. C’est un beau méchant, entourés de ses acolytes bien sur, que nous sert Clive Barker.L’histoire n’est ni complexe, ni embrouillée et donc tout à fait accessible aux jeunes n’ayant plus peur du noir (j’avoue, je n’étais pas encore totalement rassurée à 11 ans), ce qui n’empêchera pas bien sûr les plus grands (peur du noir ou non) de dévorer ce livre.Le roman contraste aussi des précédents par les vives couleurs qui s’en dégagent. Au contraire des atmosphères sombres, que l’on imaginait le plus souvent en noir, rouge et blanc, Abarat est un monde où toutes les nuances sont admises, sans faute de gout possible.Les illustrations n’en sont pas la seule cause, elles ne viennent que renforcer les teintes ardentes du texte. Parlons en d’ailleurs de ces illustrations ! J’ai un faible pour les livres illustrés par les auteurs aux-même mais là, c’est particulièrement réussi. Cachées dans un coin de page ou éclatantes sur une double page, les peintures de l’auteur sont toujours présentes. Elles s’intègrent si bien au récit qu’on oublie les avoir vues pour les associer à notre imagination. Mention spéciale à la carte des 24 îles d’Abarat dont la photocopie orne un petit coin de ma chambrée. Clive Barker voulait que son lecteur puisse rêver les yeux ouvert. Pari réussi pour moi.:)

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J'ai commencé Abarat hier et je suis totalement plongée dans le récit. J'aime beaucoup la plume de Barker et l'on sent que les personnages sont tout en nuance. Même les méchants semblent avoir une part moins sombre. Les illustrations sont également superbes et mettent vraiment bien en valeur le texte lui même et le bestiaire créé par Barker. Les poèmes sont également très réussis. Et puis je dois également avoir un petit coté morbide, comme Candy, car j'adore les comptines! A la fois douces et cruelles, elles donnent une dimension supplémentaire au récit. Merci de m'avoir fait découvrir ce livre en tout cas :)

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J'ai fini le premier tome de cette série et je suis particulièrement enthousiaste ! Alors certes, ça se termine un peu en queue de poisson, mais c'est un très bon moment de lecture... et de découverte picturale tant les dessins m'ont plu. Ils illustrent "agréablement" le récit (les guillemets viennent du fait que la plupart sont tout de même très inquiétants). C'est d'ailleurs la couverture du 1er volume qui m'a fort attirée et m'a poussé à m'intéresser au 4ème de couverture...Récit qui plus est intéressant, car on s'attache à Candy, on a envie d'en savoir plus sur ces îles ou il est une heure donnée, et surtout, le style a un ton résolument adulte dans l'ensemble, même si l'histoire est bien sûr abordable dès 11-12 ans, AMHA.Bref, cette série mérite plus de reconnaissance, et j'ai acquis le deuxième en poche, sorti ce mois-ci.

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il es génial , bizarre mais génial je l'ai beaucoup aimé, tant pour l'histoire que pour les illustrations ( on est pas art pla pour rien :D ) , c'est raredes personnages très attachant et une histoire bien foutue avec du suspense et pour couronner le tout un fin ouverte qui nous laisse tout imaginer en un mot tout simplement sublime ....même si l'éventuelle l'adaptation cinématographique dont parle Clive Barker ( dixit le rabat de couv') ne me dit rien qui vaille , quand a l'animation a Disney land ....... :(c'est le seul Clive Barker que j'ai lu alors si vous avez des idées....