

Et j'en lis aussi.et les seinen / romans pour post-adolescent (récits plus adultes, plus fouillés, plus approfondis... (ex: Glen Cook, Paul Kearney, Greg Keyes...)).
Je ne pense pas que l'auteur parte avec pour idée de viser un public masculin plutôt que féminin ou vice versa en fait...Les critères jugés sont plutôt la qualité d'écriture, la cohérence, l'originalité, la profondeur des personnages, la capacité à innover : Il m'est arrivé de juger des romans comme étant de très bonne qualité sans pour autant apprécier le thème abordé et sans pour autant prendre véritablement de plaisir à les lire. A l'inverse, il m'arrive d'apprécier me plonger dans la lecture d'un roman qui n'est pourtant pas extraordinaire. Tout cela pour dire qu'il est possible d'émettre une critique avec un minimum d'objectivité en se fondant sur des critères qui vont au delà des goûts personnels.- une lectrice féminine ne peut pas critiquer sérieusement à un roman conçu pour un public masculin en en le taxant de manque de profondeur psychologique !
Sans doute car les catégories de fantasy n'ont pas grand chose à voir avec les classes d'âge comme les mangas. De même, je trouve la distinction des styles de romans par sexe très surfaite, même si je pense qu'une majorité de garçons préfèrent l'heroïc fantasy pure par exemple. En effet, les romans sont tellement divers qu'ils sont susceptibles de toucher un très large public, toutes classes confondues. Plus qu'une répartition par catégorie de public, c'est à mon avis l'affinité et la sensibilité qu'on a avec l'auteur et son style qui déterminent les lecteurs avec la psychologie et les sentiments très poussés chez Bradley ou Hobb, l'action mise en avant par Gemmell ou encore le comique de situation omniprésent revendiqué par Pratchett.Perrin a écrit :Moi non plus, pas d'accord, même si je salue l'effort, et que je ne suis pas le plus expert d'entre vous. ;)Mais déjà, pour commencer, dans le cadre des romans fantasy, il n'y a pas de magazine de prépublications formattant les catégories, comme pour les mangas justement. Je n'ai jamais vu Heroïc Fantasy Mag ou Dark Fantasy Mag.
Sans compter que si le public masculin était hermétique à la profondeur psychologique, ça se saurait.Ligendia a écrit :Je ne pense pas que l'auteur parte avec pour idée de viser un public masculin plutôt que féminin ou vice versa en fait...- une lectrice féminine ne peut pas critiquer sérieusement à un roman conçu pour un public masculin en en le taxant de manque de profondeur psychologique !
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