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Bonne question :pPersonnellement, je ne sais vraiment pas quoi en penser, c'est un peu du même jus qu'une suite d'Elric par Colin pour moi, ça peut donner le pire comme le moyen et, assez rarement tant les attentes sont hautes pour des récits auxquels on s'est autant attaché avec le temps, le meilleur.Thys
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UP !
:arrow: http://www.elbakin.net/interview/exclus ... de-Dracula


Londres, 1912. Après avoir tué Dracula, les héros du célèbre roman de Bram Stoker se sont dispersés. Grâce à l’aide d’un mystérieux bienfaiteur, l’un d’entre eux, le Dr Seward, part à la chasse aux vampires dans toute l’Europe. De son côté, Quincey, le fils des fameux Jonathan et Mina Harker, s’investit au théâtre dans la production de Dracula, une pièce inspirée du roman et qui contient des informations inquiétantes. Inévitablement, Quincey découvre des similitudes troublantes entre l’histoire de la pièce et celle de ses parents. Et un jour, Jonathan Harker est retrouvé mort, empalé sur les grilles de Piccadilly Circus…
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Bon, j'en suis a la moitié, et je dois dire que je suis tres perplexE.J'ai l'impression de lire un Da Vinci Code transposé chez Stoker, genre, y'a tout d'un bon "blockbuster", les meutres mystiques, les elements historiques, les personnages torturés de la life, du sexe sulfureux et du gore...Bref, on est a mille lieu de l'ambiance du roman de Stocker, et meme si on peut faire des reproches a ce dernier (vision mysogyne par ex.), il meritait pas cela.
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Il a en effet été écrit d'apres les notes de Stocker, certains choix sont averés (apparition de Cotford un inspecteur qui était apparement prévu dans Dracula, et d'autres), quant à d'autres, c'est plus discutable...Je ne pense pas non plus que les scenes sexuelles collent au style, Dracula n'etait pas sexuel (meme si on y trouve de nombreuses métaphores, ce n'est jamais sexuellement explicite). Stocker s'élevait meme contre ceux qui parlaient ouvertement de sexe dans leur livres...
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Et là, c'est le drame... 


Après avoir chorégraphié plusieurs spectacles musicaux comme Les Dix Commandements, Le Roi Soleil ou encore récemment Cléopâtre, la dernière reine d'Egypte, Kamel Ouali travaille sur un nouveau projet de comédie musicale. Invité ce matin du 6/9 sur NRJ, le chorégraphe a confirmé travailler sur un spectacle autour de Dracula.Mais Kamel Ouali promet un spectacle différent des précédents : « Je suis en train de préparer Dracula. Dracula ne sera pas joué par un chanteur mais par un danseur. Il ne va pas chanter, il va interpréter. Il y aura des chanteurs mais ils n'auront pas spécialement les rôles principaux. Un spectacle un peu différent » a-t-il expliqué au micro de Nikos Aliagas.

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Je ne sais pas si je peux (enfin, j'ai rien lu contre dans la charte, mais on sait jamais) mais voici Ma critique de Dracula L'immortelJe l'ai fini et j'avoue etre plutot décue. C'est du bon gros saccage par moment, y'a des moments que je n'ai pas du tout appréciés : .Le style est plat, c'est pas super original, et bon, au final, suite officielle, mais qui reprend les 3/4 du fandom qui a été conspué par la famille, youpi...
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"Seule œuvre approuvée par la famille Stoker." Justification un peu facile je trouve... la famille l'a accepté, donc il est bien ?La vague enquête policière, très très moyenne : l’inspecteur Cotford, qui semble tenace et hargneux, qui apparaît comme un personnage crucial, mais l’inégalité des chapitres fait qu’il n’apparaît plus pendant quelques chapitres, réapparaît, puis disparaît à nouveau, l’auteur délaissant la pseudo enquête dans Londres pour se concentrer sur d’autres intrigues. Ce qui devait être stimulant ne l’est pas, faute de rigueur dans la narration.Le seul piment est la comtesse Báthory, nouvelle figure introduite dans le récit, dont le personnage a une vraie consistance ; la méchanceté et les vices du Dracula originel se déportent vers ce vampire qui est ‘la femme à abattre’. Inspirée de la comtesse du Moyen Age , elle est intéressante, et conserve tous les aspects du vampire que l’on connaît : prédatrice, manipulatrice, joueuse, cruelle.A vouloir tout expliquer, justifier les oublis de Bram, les auteurs ont brodé, inventé, détourné, et en font beaucoup trop. Bien dommage.
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