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Ah ben entre le photoshopé de celle-ci et le ratage de la seconde en broché par exemple (la jupe ridicule avec les porte-jarretelles et l'éventail :tetemur:) je dois dire que ma préférence va à cette nouvelle orientation :) Il y a une certaine sobriété qui en allant vers un peu plus de raffinement correspond plus au style d'écriture de Carey AMHA Sinon effectivement Merwin :huh: Vu !!! Pour être complet sur ce nouvel opus sortie prévue fin aout. Précipitez vous mais attendez vous à une autre ambiance. :)

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Moui, c'est toujours moins pire que les précédentes couvertures VF. Mais bon, par rapport aux couvertures VO british ou même USA, y a pas photo(shop)... :)

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Lol merci, mon premier message a été pour les salauds gentilshommes mais dans mon coeur, les deux cycles sont premiers ex aequo.Si ils reprennent la même couverture que la version anglaise pour la justice de Kushiel ( 2éme tome) , on aura droit à Imriel mais bon, j'aime pas trop . je croise les doigts pour le concours!!

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Pour ma part, je viens de finir le tome 2 du cycle d'Imriel en VO et ........ j'accroche toujours autant :) . C'est un bonheur de retrouver tout le monde même si c'est un peu frustrant de se retrouver du point vue d'Imriel alors qu'il est en pleine adolescence et se pose quantité de questions (dur dur de voir les persos de Phèdre et de Joscelin sans pouvoir les suivre en continu :( ). Sinon les connaissances de Carey sur les différentes civilisations m'impressionnent ; on voit qu'elle y a accordé beaucoup d'attention. Je regrette de ne pas en savoir plus dans certains cas pour pouvoir apprécier davantage la lecture ; par contre, en ce qui concerne l'histoire romaine, elle m'a encore bien fait rigoler.

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Comme quoi on peut être une sorcière et n'avoir que deux mains ;) (et le relais a été fait une heure avant sur le site spécialisé :p comme quoi ;) ) Je m'attendais à te voir noter ce tome un peu plus sévèrement mais sans doute que je ne fais pas assez confiance à la magie de l'écriture de Jacqueline Carey (ni à la très bonne traduction de Frédéric Le Berre) ;) Et je dois dire que pour moi il est difficile de parler de ce premier tome d'Imriel sans avoir l'impression de prendre le risque de spoiler énormément la première trilogie. Mais on ne peut pas attendre ad vitam que tout le monde ait tout lu, c'est pareil pour tous les fils de discussion, j'en suis consciente. Ce qui a été frappant pour moi à la lecture de ce 1er tome c'est la justesse de la voix d'Imriel. Ce n'était pas évident : laisser derrière soi une héroïne comme Phèdre, ce n'était pas une mince affaire. Si elle ne fait pas l'unanimité, elle reste quand même un personnage original dont le mode de fonctionnement ne correspond pas à la "force" habituelle des héros de fantasy. Enchainer avec un personnage comme Imriel, passer aussi facilement du féminin au masculin, c'était un challenge. Ce qui me semble très réussi aussi c'est le passage d'une conteuse dont les actes ont une portée d'envergure globale
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à un confident beaucoup plus sur le mode de l'intime. Imriel se débat principalement avec lui même et avec ses tourments intérieurs. Il n'a pas vocation à sauver le monde, il voudrait juste y trouver sa place légitime et qu'on l'y laisse en paix. Voilà pour le coup des aspirations qui peuvent un peu plus parler à chacun d'entre nous, alors qu'il est fort possible que certains ne se soient pas sentis particulièrement concernés par les "missions" de Phèdre. Ou peut-être très distant de ses capacités toutes particulières d'anguissette :p (on se demande pourquoi :sifflote: ) Je ne serais pas étonnée que des amateurs de Fitz soient emballés par ce personnage (en tout cas je l'espère) Je me souviens que ma camarade Elise ;) me disait que peut-être je n'aimais pas Fitz parce que c'était un homme qui se racontait. Avec Imriel la démonstration a été faite que ce n'est pas le cas. Imriel, Kvothe, ç'est le genre de voix d'homme que j'apprécie :) Ceux et celles qui ont envie d'être un peu plus proches de la psyché d'un personnage devraient trouver là de quoi être satisfaits. C'est sans doute parce que je suis un peu (oui juste un peu) de parti pris mais je n'ai pas ressenti cette lassitude durant
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parce qu'il y avait pour moi un crescendo assez prenant Et j'ai beaucoup aimé une fois de plus l'utilisation que fait Carey des croyances diverses et variées qui foisonnent dans l'histoire des civilisations méditerranéennes. Attention cependant, Imriel est un personnage qui devient de plus en plus attachant au fil des tomes, si vous aimez le premier attendez-vous à piaffer d'impatience pour la suite. Il y a beaucoup moins de distance de temps entre chacun des tomes de cette série. Donc même si Carey ne pratique pas le cliffhanger, on est plus dans l'immédiateté que dans la trilogie de Phèdre. Voilà si y'a des questions, la grande gouroute se fera un plaisir d'y répondre :lol:

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J'attendais l'ouverture du post pour donner mon avis qui va être légèrement différent de Gillossen.Ma note serait plus proche d'un 7 que du 8,pourquoi être si sévère car je pensais trouver nettement mieux,une plus grande originalité,bref pour tout dire c'est le moins bon des 4 tomes pour moi.Alors niveau qualité,je rejoins complètement sur l'écriture,la prose,un régal de 800 pages;tiens en passant, je noterai ce quote et dans 1-2 ans,je ferai une petite comparaison niveau vente avec certaines autres œuvres( je persiste et je signe).Revenons à mes déceptions propres:pour le moment, l'originalité de "kushiel",cette part de sensualité,de sexualité est presque abandonnée,on est très loin du premier tome,ce mélange virtuose de sentiments sans vulgarité oublié.Ensuite,et la je trouve cela plus grave,un abandon du drame,de cette dimension de l'épique:un seul mort(( bon ok,il doit y en avoir 2...) Rappelez vous le début du premier tome
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,il y avait une tension,des surprises,un mélange très bien fait entre le coté charnel,la violence physique de deux corps et celle de la violence, de la sauvagerie des escarmouches,assassinats,guerres.C'est assez plat,voir commun sans que ce soit déplaisant.Quand j'ai fini le livre,une chose m'a sauté aux yeux,la partie que j'ai aimé le plus,c'est les 300 premières pages et la fin: pourquoi,simple,car le charme même très passager du couple joscelin-phèdre fonctionne toujours et à merveille.Une chose m'a gêné,je trouve dans ce tome,Carey n'a pas été au bout,elle a manqué de punch,de volonté dans le traitement d'Imriel:alors,c'est sans doute mon coté pervers mais j'aurai aimé d'une personne tel Imriel,une ambivalence vis à vis de phèdre beaucoup plus soutenue,plus prolongée que ce traitement superficiel et rapidement évacué et aussi, vis à vis,que dans son sang coule le miroir de phèdre,j'aurai aimé une violence psychique,charnelle,sensuelle plus marquée
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.On connait le passé d'Imriel,on connait le sang de sa mère,le sang de phèdre et je trouve et pense que Imriel aurait mérité mieux que seuls des tourments psychologiques le travaillent.Mais,c'est qu'un avis personnel.Une petite remarque sur la forme un poil dommage de Carey
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.Sinon,le livre se lit toujours aussi rapidement et facilement,Imriel est un personnage attachant et une belle gageure après Phèdre.Les spoilers sont strictement pour les personnes n'ayant lu les premiers tomes:aucune crainte pour les autres.

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Beaux arguments led . Je me ferais un avis par moi-même assez rapidement.Mais j'aimerais avoir le mot juste :- y a-t-il essoufflement de la série ?- y a-t-il banalisation de la série ?- y a-t-il répétition de la série ?Vos avis "positifs" ou "négatifs" semble dire qu'au-delà du talent de Jacqueline Carey qui n'est pas du tout ni gâché ni remis en question, on finit par s'enfermer dans un schéma narratif qui peine à retrouver l'efficacité du 1er tome ?Bref un auteur solide et toujours agréable à suivre, mais dont les nouveauté font un peu moins sensation ???

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NonOuiNon-ouiLa vraie réussite de cet auteur est un non essoufflement en prenant comme personne une non "phèdre" et un vrai risque de ce coté la. On pourrait même dire que les points négatifs que je lui prête sont de réels arguments à m'opposer pour la banalisation ou la répétition ( même si pour moi,cela représente un manque de saveur ).Niveau répétition,je né répèterai pas mon dernier " spoiler mais en ajoutant une petite chose,l'originalité parfaitement maitrisé de Carey montre aussi les limites de l'emploi de la 1 ere personne " on ne peut faire mourir le "Héro" donc obligatoirement dans le synopsis,une difficulté réelle au challenge, aux rebondissements dramatiques ( attention,Carey a su dans la première série malgré cet écueil montrer son talent).A voir dans cette seconde suite. ( et en observant bien que la note représente un lecteur de la première série et un jugement sur une série qui est au dessus de 80% des livres sorties).

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Je l'ai acheté et feuilleté... et ta critique me donne encore plus envie de tout laisser tomber pour m'y consacrer. Mais je serai patient. ;)En tout cas, la qualité d'écriture de carey semble avoir encore augmenté, et l'histoire s'annonce palpitante. Merci pour la critique. :)

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Si la trilogie Imriel n'a sans doute pas pour atout l'originalité et la flamboyance de son héroïne hors norme, il faut créditer J. Carey d'une volonté de renouvellement réussie. Avec son héros peut être plus "terre à terre" et en tout cas sans doute plus accessible, faisant de sa touchante quête d'identité un assez passionnant fil rouge du récit, les trois Imriel sont une très belle réussite de son auteur. Peut être moins marquante que les aventures de Phèdre (et sans jeux de mots !), c'est à mon avis, comme le disait led, très au dessus de la moyenne (et même un peu mieux).;):)Tout ça pour dire que la note de 8/10 me va farpaitement.:)

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Vous m'intriguez, j'ai bien envie de le faire passer sur le dessus de la PAL aussi, mais je résiste .merci pôur cette critique et très contente de cette note, même si je ne l'ai pas lu, je commence à être accroc. ;) il faut dire que la gouroute fait bien son travail. :pAu fait qui est sur la couverture ? est-ce Phèdre ou Mélisande ?

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Ni l'un n i l'autre sur la couv. C'est l'histoire d'Imriel donc c'est lui qui est au centre de l'histoire et pas
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Alors quand je lis l'avis de Led j'ai un sourire un rien sarcastique (mais sans agressivité hein, je trouve ton avis très argumenté) parce que j'ai l'impression qu'on n'a pas du tout eu la même lecture des trois premiers tomes et de celui là du coup ! Se repose donc avec Imriel, il me semble, la question soulevée à plusieurs occasions (et que je ne trouve pas pertinente) de "quelles auraient été les réactions si l'histoire de Phèdre avait été écrite par un homme" Mais c'est du coup une question inversée : y'a-t-il une façon différente de lire Imriel selon que l'on est un homme ou une femme même d'après mes discussions avec d'autres elbakiniens je ne crois pas :) Donc je me dis plus simplement qu'il y a des attentes différentes. Pour moi la force de Carey c'est l'immersion (dans l'univers et dans les personnages) mais pas le voyeurisme. Donc moins de scène de sexe c'est vrai mais tu oublies quand même de dire que cela est parfaitement cohérent par rapport à la personnalité du jeune homme. Peut-être qu'il faut un tout petit peu prendre en compte
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non ? Et pourtant ce n'est pas comme si l'auteur ne mettait pas l'accent là dessus :rolleyes:Et puis ce qu'il y a dans le sang d'Imriel n'a rien à voir avec ce qu'il y a dans celui de Phèdre (et surtout dans son oeil) et le fait que la société d'Angeline mette en pratique les enseignements d'Elua ne veut pas dire que c'est un lupanar permanent non plus !! Je me demande à quoi sert d'avoir construit toute une mythologie et une société construite sur d'autres valeurs et principes que la notre si c'est pour que les D'Angelins se comportent tout à fait comme des personnages "réels"Je me dis que décrire des scènes franchement érotiques d'un point de vue masculin ce n'est peut-être pas aussi aisé. Et je me dis que toute la littérature est emplie de cette vision masculine du sexe. Pour une fois être un peu dans l'hésitation c'est pas forcément "en dessous" ? Ou alors un héros qui n'est pas décrit comme un Rocco Siffredi chez Carey n'aurait pas le droit de cité ? Et franchement il a quel age dans ce tome ? entre 15 et 20 s'il est un peu mal assuré sexuellement, je vois pas la surprise. Il y a quelque chose que tu perds largement de vue : Phèdre EST et décide d'être une servante de Naamah.
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Donc disons d'un point de vue rapporté à notre société qu'entre les ambitions d'une femme qui pose pour Play Boy après s'être fait poser des implants mammaires et devient Playmate après quelques années et les ambitions de son fils adolescent il peut y avoir une certaine distance non ??? Phèdre est destinée dés son enfance à être membre de la Cour de nuit alors qu'Imriel peut être
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ça fait quand même une sacrée différence de perspective.Et pour finir je vais utiliser un argument que je dééééééééteste qu'on emploie avec moi (parce que pour une fois je fais court :D) tu verras bien comment il évolue dans les deux autres tomes :p

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Pour ton second spoiler,witch, fais moi grâce de pas sous-estimer ma lecture ni le fait d'incorporer que Imriel est un adolescent et encore moins qu'il ne soit pas "phèdre" : je parle bien de deux choses,witch,si pHèdre est la servante de namaah,Imriel est son miroir ,car il ne faut jamais oublier sa descendance et sa famille,ses pulsions,ses envies sont à l'apogée et d'une part qu'il soit adolescent ( c'est bien car il est pas adulte qu'il ne devrait pouvoir freiner ses tensions sexuels). Ensuite, Carey le montre et le démontre,les
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sont un frein à ses pulsions côté "homme" mais aucunement envers les femmes et je vais même ajouter un point de vue ,on pourrait même dire d'un coté freudien qu'on ne reproduit que ce qu'on a subi pendant son enfance donc c'est pour l'ensemble de ses raisons, que je trouve que Carey n'a pas été au bout ( et je te le concède volontiers n'ayant pas lu la suite) du Imriel:et il est pas question de voyeurisme ou malsain,juste à mes yeux le traitement le plus juste de ce personnage."Je me demande à quoi sert d'avoir construit toute une mythologie et une société construite sur d'autres valeurs et principes que la notre si c'est pour que les D'Angelins se comportent tout à fait comme des personnages "réels"Je me dis que décrire des scènes franchement érotiques d'un point de vue masculin ce n'est peut-être pas aussi aisé. Et je me dis que toute la littérature est emplie de cette vision masculine du sexe. Pour une fois être un peu dans l'hésitation c'est pas forcément "en dessous" ? "Justement car Carey décrit une société et une mytholgie qui n'est pas la notre,je m'attendais à mieux dans le traitement d'Imriel qui est une personne commune,finalement très réel or Kushiel,c'est le respect de la Femme,de l'Homme mais dans les deux miroirs du charnel,l'œil rouge implique le fouet ( je schématise) et contrairement à toi, je crois dans le Talent de Carey pour pouvoir décrire un coté charnel,ambigu,ambivalent,torturé aussi bien d'un coté masculin que féminin sans tomber dans du vulgaire porno.Imriel est un adolscent tourmenté ayant subi de graves traumatismes,autant psychologique que physiologique et c'est aussi,le fils d'une traitresse et fouetteuse ainsi que d'une mère héroine et soumise ( tu auras compris les paradoxes)et pour ma part,je trouve que le sang de la première mère est mal utilisée,employée comme elle aurait pu véritablement développer l'aspect "négatif"-"phèdre-imriel" alors que c'est juste qu'un prétexte pour le voyage. D'où ma déception.Sur ton dernier paragraphe,je ne confond pas mais contrairement à toi, je ne mélange pas tout:p car je trouve le traitement "imriel" du point de vue de l'ambition très bien amené,bien argumenté
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la dessus,rien à dire,très bien ficelé,le coté politique est toujours aussi bon et juste.Les ambitions n'ont rien à voir avec le "sang" de kushiel.Mais,ce point de vue,je le comprend n'est pas partagé par toi et je concède volontiers attendre son évolution.Je précise bien aussi que je trouve pas Imriel inintéressant ni moins profond que "phèdre",je suis pas nostalgique .Ps:je vais être clair,le sexe et la violence ne me gêne pas tant que c'est pas vulgaire ni gratuit ( et être cru ne veut pas dire vulgaire non plus).

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John Doe a écrit :Tout ça pour dire que la note de 8/10 me va farpaitement.:)
Sur le plan factuel, j'ai tout de même hésité avec un 7.5/10. Et puis, effectivement, je me suis dit que la qualité d'écriture du roman, par rapport à la "masse", valait bien un petit coup de pouce.

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Je viens de recevoir mon exemplaire et j'ai vécu une grande déception:-D'une part, allez savoir pourquoi, je m'étais mise dans la tête que l'édition etait reliée comme la très belle édition (une fois la jaquette retirée) de la première trilogie. Et là je m'apercois en ouvrant mon colis que c'est un broché donc pas moyen de retirer la couv et ça dépareille la série. :(-Ensuite, le livre est tout corné et abimé de partout. Moi qui suis maniaque sur l'état de mes livres, j'ai cru que j'allais pleurer... :wacko: Sur, ça ne m'empecheras pas de le lire mais bon, ça me vole une partie de mon plaisir... [mode je raconte ma vie off]

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Je viens de terminer ma lecture et j'ai été ravie.L'écriture de J. Carey est toujours aussi juste et envoutante, le style toujours à la fois fluide et précis dans le choix des mots, bref un régale.Pour ce qui est du contenu, je ne cacherais pas une certaine nostalgie d'avoir dû suivre Phédre et Joscelin uniquement à distance mais je m'y suis faite. D'un point de vue de l'intrigue, celle-ci est une fois de plus menée de main de maître même si le rythme est ici plus posé, plus lent que lors des aventures de la première trilogie.En ce qui concerne Imriel lui-même, je trouve que l'auteure a su trouver le ton juste. Contrairement à toi Led, je n'attendais pas forcément cette part de "violence" qui est en lui de part son sang:
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De même, j'ai été heureuse de constater que J.Carey ne faisait pas de la surenchère héroique en voulant faire d'Imriel un égal de Phédre et Joscelin. La première trilogie est marquée par les aventures et les exploits de ceux-ci. La seconde part sur un registre très différent, nous sommes face au cheminement physique et psychologique d'Imriel, pour réussir à se trouver et à ce forger sa propre identité en dehors de tous ce que l'on peut attendre de lui justement
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Difficile pour lui de trouver comment se définir en étant entouré de telles figures. Le tout est traité avec une grande justesse de ton qui donne au récit toute sa profondeur et tout son charme.J'attends la suite avec impatience.