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Oui, j'ai commencé à travailler sur la prochaine enquête de Sachem et Oxiline.Mais ne brûlons pas les étapes : c'est aujourd'hui que sort le premier roman de la série !J'ai d'ailleurs publié un billet pour expliquer le pourquoi du comment il est né.
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Bon, c'est malin, j'ai terriblement envie de le lire, ce bouquin ! J'avais beaucoup aimé Wastburg, mais passé mon tour sur Sovok qui me parlait moins, et quand je vois les thèmes et inspirations pour Et si le diable le permet, rhaaa... il me le faut ! ;)Et il faut le dire, ce divin article sur Julien Bétan a ravi mon petit coeur de (vile) correctrice !
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Je comprends tout à fait pour Sovok : le genre médical rétrofuturiste russe est quand même un goût acquis...Erkekjetter a écrit :Bon, c'est malin, j'ai terriblement envie de le lire, ce bouquin ! J'avais beaucoup aimé Wastburg, mais passé mon tour sur Sovok qui me parlait moins, et quand je vois les thèmes et inspirations pour Et si le diable le permet, rhaaa... il me le faut !
Je suis content de le lire car j'ai l'impression que les petites mains de l'édition sont trop ignorées.Erkekjetter a écrit :Et il faut le dire, ce divin article sur Julien Bétan a ravi mon petit coeur de (vile) correctrice !
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C'est une pure enquête policière avec de gros morceaux de Grand Ancien dedans. :PPour que les choses soient claires, je tiens à préciser à nouveau que la lecture est très plaisante (c'est très bien écrit, les personnages sont attachants, l'histoire est sympa et se tient, l'ambiance de Montréal est particulièrement bien rendue) ; pour moi, la "déception" est lié au fait que Wastburg est un roman exceptionnel et que celui-là est moins ambitieux. C'est carrément injuste comme comparaison, et j'en ai bien conscience, mais je n'ai pas réussi à me la retirer de la tête pendant ma lecture. La note que j'ai mise est donc extrêmement relative. C'est un 6,5 en rapport au 8,5 que j'aurais mis à Wastburg. Sans jamais avoir lu de Cédric Ferrand avant, j'aurais sans doute mis au moins 7 à Et si le diable le permet.Pardon, Cédric...
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Il n'y a vraiment pas de mal. Le texte de ta chronique ne sonne vraiment pas comme un 6,5/10, c'est ce qui m'importe le plus.J'ai beaucoup de mal avec les notes, mais c'est pas ici qu'on va mettre fin à ce débat. :sifflote:Tiens, d'ailleurs, au passage, le roman est finaliste du prix intercollégial Horizons Imaginaires au Québec.Les membres du jury ont aimé l'aspect dime novel et le jeu avec les lovecrafteries. Reste plus qu'à séduire les étudiants qui vont nous départager au cours de l'année scolaire.Saffron a écrit :Pardon, Cédric...