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Harry Potter a vraiment été bankable pour tout le monde : l'auteur, les maisons d'éditions, les producteurs ciné, les acteurs... Ceux qui n'ont pas voulu accrocher la locomotive au départ doivent vraiment le regretter maintenant. :rolleyes:

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Punaise, un péquin sur dix quand même :o. Nous sommes dans la catégorie "intermédiaire", c'est bon, on peut continuer. De toute façon, je galère déjà avec l'alcool et le tabac, je vais pas arrêter en plus la fantasy :tetemur:. Plus sérieusement, on peut voir aussi que cet engouement (passion, obsession ?) a aussi des conséquences intéressantes, la création, les rencontres, voir même le latin.

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Et dire qu'à un moment, j'étais capable de retrouver quasiment le lieu exact d'une citation dans Harry Potter (j'ai pas mal perdu depuis quelques temps). Ca devait être à la limite du "sévère"...^^ Maintenant, c'est bon, j'ai quasiment été sevré par l'épilogue ^^.Mais c'est intéressant de voir qu'un livre peut avoir un effet addictif (je n'avais jamais véritablement regardé Harry Potter sous cet angle), autant qu'un quelconque jeu vidéo.

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Je modérerai les conclusions de cette enquête en distinguant "le vif intérêt intellectuel" de "la psychodépendance".Je considère qu'on peut connaître un livre par coeur, ainsi que les généalogies des personnages, rêver de l'histoire sans être un doux dingue.D'ailleurs, si l'histoire est intéressante, c'est assez normal d'y penser encore quand la lecture est finie, sans pour autant verser dans l'immersion totale et permanente...dites-vous que je peux vivre presque une semaine sans lire de fantasy alors que j'ai passé plus de la moitié de ma vie à lire un seul livre (mais ce n'est plus le sujet).Ceux qui sont à ce point prisonniers du monde imaginaire l'auraient sans doute été d'autre chose.

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Etude intéressante, mais qui peut sans mal être reportée à d'autres oeuvres (le Seigneur des Anneaux par exemple :sifflote: :p ) ou d'autres activités (jeux vidéos, internet...). Mais je suis d'accord avec Foradan, il faut différencier l'intérêt intellectuel de la psychodépendance ;)Tanis

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Foradan a écrit :Ceux qui sont à ce point prisonniers du monde imaginaire l'auraient sans doute été d'autre chose.
Parfaitement d'accord, entre le :
« Je veux que Rowling sache que je la hais… Parce que je n’ai plus rien pour vivre maintenant »
et l'intérêt, la passion, qu'il soit celui d'un fan ou qu'il se place d'un point de vue plus intellectuel, il y a quand même un écart significatif.

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Mmmm, entre les sorcières de McBeth et Shakespeare, je dirais que ça se ressemble bien tout ça. L'avantage de la VF bizzar'sisters, c'est que, normalement, le nom du groupe ne se traduit pas (jamais entendu parlé des pierres qui roulent, de radiotête ou des garçons de la plage :P).Bizzare (;)) qu'un accord amiable n'ait pas été trouvé plus tôt ("avec l'aimable autorisation des wyrd sisters de winnipeg" ou quelque chose de ce genre); mais ça dépend peut-être de la renommée réelle du groupe dans et hors du Canada.Qui a un de leurs albums ?