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Faut s'accrocher sur la VO de Malazan. Oui, le niveau de langue est un peu relevé, mais le sentiment de louper quelque chose est surtout dû au style de narration d'Erikson qui demande souvent de rassembler différents morceaux. Quand on lit un passage et qu'on n'en comprends pas les tenants, c'est plus souvent une volonté de l'auteur qu'un problème de compréhension de l'anglais.

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Couverture et synopsis pour The Forge of Darkness ::arrow: http://www.elbakin.net/edition/16490-Le ... se-devoileÇa promet pas mal de révélations concernant Kurald Galain !Et je ne résiste pas à vous filer un petit passage de The Crippled God :
“That’s all you have to say? This is a momentous scene, you fat fool! This is where everything really, truly, finally begins! So squeeze the ale from your brain, mortal, and say something worthy of your kind. You stand before a god! Speak your eloquence for all posterity! Be profound!”“Profound… huh.” Temper was silent for a long moment, studying the cobbles of the alley mouth. And then he lifted his helmed head, faced Shadowthrone, and said, “Fuck off.”

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Merwin et les autres, vous faites chier !Je suis déjà assez boulimique de lecture en tous genres pour en plus devoir me mettre à la VO pour une série de 10 tomes.Sachez-le par avance, je vous déteste.Je viens de recevoir les exemplaires poche de Gardens of the Moon et de Deadhouse Gates. Je viens de lire le prologue, c'est ma première vraie lecture VO (J'ai déjà lu du comics VO, Hellblazer et Planetary) et j'espère que je vais y arriver parce que sinon, je retrouverai vos familles et je les tuerai, et je kidnapperai Gillo pour le contraindre à lire Twilight et Eragon pour le reste de ses jours.Et bon voilà quoi, rien qu'avoir un mec qui s'appelle Whiskeyjack, comment puis-je résister ? Et vas-y que la secte elbakinienne rajoute que c'est aussi bon voir mieux que du Martin mélangé à du Cook !Déjà qu'en consultant la salle101 et le CC j'en avais pour 30 ans de lecture...Elbakin, c'est le mal (et c’est bon le malllll)

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Tu prends un risque Gillossen. Littlefinger n'a pas dit "si je n'aime pas", il a dit "si je n'y arrive pas"...Pour une première lecture VO c'est costaud Erikson...Cela dit il s'est trompé quand même... S'il aime, ce n'est pas 10 livres VO... Il y a ceux d'Esselmont aussi :D

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Oui mais Gillo, je te mettrais Alizée en fond sonore en alternance avec Justin Bieber. Bon allez j'avance, pour l'instant (genre 10 pages ^^) niveau compréhension du texte pure, ça va. Rendez-vous dans quelques jours !

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Je le dis et le répète, j'ai commencé en la lecture VO avec Erikson, et si je trouve qu'il a beaucoup de style, je ne trouve pas son vocabulaire très difficile à saisir. Et puis bon, si tu as déjà lu du comics, que tu mattes des films et des séries en VO, tu es déjà bien armé.Bon courage Littlefinger. J'espère que tu aimeras, non pas pour ma famille, je m'en fous un peu, mais surtout parce que vu ta verve quand tu aimes une œuvre, tu serais un atout de poids dans la secte !Snif, quand certains n'ont lu que 10 pages du Livre malazéen, il n'en reste que 200 à d'autres :(

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Tout pareil de Merwin, c'est pas tant son vocabulaire que son style qui peut être assez "complexe". En tout les cas welcome dans le monde Malazéen (le best of the best :p ).

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Bon premier point, j'en suis vers 70 pages, je compte arriver à 200 ce dimanche.Il faut d'abord se familiariser avec le vocabulaire (ce qui est très bien en général pour la maîtrise de l'anglais) mais il est clair que Mr Erikson a un bon niveau d'anglais pour son écriture, avouons-le.Par contre, pour suivre l'action, son déroulement et les enjeux, aucun soucis jusqu'ici, c'est même bien plus simple à s'y mettre que dans la compagnie noire de Cook.Allez, je reviens pour la suite mais c'est bien parti pour que les familles (et Gillo) restent sain et saufs.

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Gillossen a écrit :Il va falloir que tu pleures au moins 100 000 ans pour être à la hauteur de la nature épique du cycle... :jesors:
Ceux qui n'ont pas écouté les podcast ne vont peut-être pas comprendre...Du coup... écoutez les podcast ;)

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J'ai aussi craqué pour le premier tôme quand je me suis procuré The Wise Man's Fear.J'espère que la série sera à la hauteur, j'ai toujours une certaine appréhension devant les séries aux multiples volumes. Car oui, je fais partie de ces personnes qui font une allergie à Wheel of Time ou Sword of Truth ^^

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Merwin Tonnel a écrit :Fini.C'est beau. C'est grand.Je retourne pleurer.
T'a finis "The Crippled"? P'tain, je suis jaloux, sans spoiler, tu le mettrais a quel niveau par rapport au autres (DoD exclu)?

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T'a finis "The Crippled"? P'tain, je suis jaloux, sans spoiler, tu le mettrais a quel niveau par rapport au autres (DoD exclu)?
La critique va arriver tranquillement, avec celle de DoD, mais je le mettrais environ au niveau de The Bonehunters, qui est mon préféré après Memories of Ice. Enfin, en tout cas pour une première lecture. Le fait que ce soit le dernier lui donne aussi une saveur particulière, qui peut ajouter à la qualité intrinsèque du bouquin.Il fait peut-être moins le consensus qu'un MoI ou un DG, parce que je pense que certains peuvent être déçus par rapport à des attentes trop fortes. Il ne faut pas s'imaginer un gros final bourré d'action sur 1200 pages. L'action, il y en a beaucoup (et c'est bien entendu énorme), mais Erikson prend quand même le temps de développer ce qu'il a à dire et fait monter la pression sans trop se presser. Ensuite, le tome conclut la saga, c'est sûr. Les grands arcs sont bouclés. Mais il ne faut pas non plus s'attendre à une avalanche de révélations sur tout. Déjà parce que certaines choses sont gardées pour Esslemont ou la trilogie Toblakai (et peut-être aussi la trilogie Kharkanas), mais aussi parce qu'Erikson laisse toujours planer volontairement une aura de mystère sur certains personnages, et que c'est ça aussi le charme de la série (ceux qui n'aiment pas ça n'auront de toute façon pas tenu jusqu'au tome 10).Et j'ai vraiment eu les larmes aux yeux plus de fois que dans les 9 tomes précédents réunis. Là encore, le côté final du roman doit y être pour beaucoup. Mais ce n'était pas que des larmes de tristesse, pour tout dire.