Herbefol a écrit :C'est l'hôpital qui se moque de la charité.Gillossen a écrit :On frise le pathologique, là...

On a d'un côté quelqu'un qui n'intervient plus sur ce forum et qui, sur un site totalement extérieur, dans un avis très positif de quinze lignes consacre moins d'une ligne sur les défauts de l'édition, dont deux mots sur la préface.
Ou peut-être que j'étais en train de gérer mes fichiers Kindle. Et peut-être que je suis passé sur la page de La Ferme des Dragons puisque ça vient de sortir. Et peut-être que du coup Amazon m'a proposé comme "Vous apprécierez peut-être également" les trois tomes de l'intégrale, que j'ai vu que le tome 2 avait reçu un avis et que j'ai été curieux de le consulter. Mais évidemment, difficile de placer l'un de tes tacles ridicules ensuite.De l'autre, on a le préfacier en question qui pointe ici l'avis concerné (visiblement il est allé le chercher) et qui consacre cinq lignes à l'affaire de la préface.
Moi je me demande comment appelle-t-on un mec qui s'acharne depuis près de 10 ans à multiplier les mesquineries. Dont 90% des messages (comme ton énième pique dans le sujet Dirty Streets) n'ont aucun intérêt si ce n'est de verser dans le sous-entendu. Quelqu'un qui insulte les gens comme le rappelait Al ou les prend de haut en s’imaginant apparemment dans le secret des dieux quand il ne connait pas le quart de ce que certains savent ici du monde de l'édition (et je ne parle pas de moi). Quelqu'un qui n'a même pas le courage de ses opinions que ce soit sur des fora ou sur les réseaux sociaux (trop dur de rajouter un @ ? Trop confortable de passer par MP pour salir le travail des gens ?), quelqu'un qui quand il croise une partie de l'équipe sur un salon comme aux Utopiales la joue la bouche en cœur pour revenir cracher ensuite son fiel ici.Oui, je me demande comment on appelle quelqu'un comme ça, mais j'ai bien une idée. Après, si tu es encore plus aigri que d'habitude parce que tes petits copains de Bragelonne t'ont tapé sur les doigts pour avoir dit publiquement ici qu'ils devaient financer eux-mêmes la trad de leurs auteurs chez Gollancz, c'est pas notre faute, hein.Cette mise au point aurait pu avoir lieu au moins 10 fois au cours des 5 dernières années, donc je crois qu'on a été carrément patient. Mais cette fois, te voir jouer les redresseurs de torts quand on joue soi-même le pompier pyromane par devant et dans le dos des gens, ça suffit. Pour paraphraser Lionel Davoust, "ici c'est quand même moi qui tient le bar donc si vraiment vraiment vous n'êtes pas content et vous venez pour foutre le souk, passez votre chemin".Et qui dit mise au point, dit pas de débat vu que justement on n'est qu'une belle bande de dictateurs.Alors, oui je me demande, légitimement je pense, qui verse dans le pathologique.
Je n'ai pas particulièrement eu ce ressenti même si je peux effectivement trouver quelques analogies sur la personnalité et l'évolution de celle-ci concernant le personnage principal. J'ai terminé l'Intégrale I et cela ne m'a pas frappé.Beric Dondarrion a écrit :J'en suis à à peu près 200 pages du premier tome (version intégrale) et une chose me frappe : ça vient peut être de moi mais Robin Hobb ne se serait elle pas largement inspiré de ce roman pour l'assassin royal ? Je ne développe volontairement pas les points communs afin de voir si d'autres ont eu naturellement ce ressenti.
Disons que j'ai quand même un peu peur vu que l'assassin royal n'a pas été pour moi une expérience inoubliable (ou alors pas dans le bon sens). Ceci dit, je me doute bien que la trame général des deux histoires doit diverger fortement à un moment ou à un autre et Williams a eu le bon gout de nous épargner un récit à la première personne, mais il n'en reste pas moins queLordAtticus a écrit :Je n'ai pas particulièrement eu ce ressenti même si je peux effectivement trouver quelques analogies sur la personnalité et l'évolution de celle-ci concernant le personnage principal. J'ai terminé l'Intégrale I et cela ne m'a pas frappé.Beric Dondarrion a écrit :...
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