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Or, l’édition de genres plus qu’une autre exige du temps, une vraie culture du domaine, une politique d’auteurs, de gestion de catalogue, de suivi…
Ça m'intrigue comme propos ça, j'y connais rien donc je ne m'aventurerai pas trop loin, mais pensez vous que ce soit exact?Ça me paraît vrai pour tout genre pour peu que l'on veuille sortir des ouvrages de qualité, mais peut-être que j'ai une vision bien trop bisounours du monde de l'édition...

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C'est une marotte chez Girard quand même... La dernière fois qu'on a parlé de l'édito de Bifrost, il disait pas déjà que les éditeurs gonflaient (volontairement) les chiffres de vente sinon ils n'étaient pas crédibles dans les dîners ?Genre s'ils vendaient X bouquins, ils annonçaient fièrement 2X pour faire beau ?

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stupidboy a écrit :Intéressant même s'il y-a un peu trop de ressentiments entre les lignes :sifflote:
C'est toujours plus réaliste que le "je vais bien, tout va bien" de Bragelonne :sifflote:

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Edito intéressant pour sa vision de l'édition mais mauvaise habitude de Bifrost de cracher sur les autres d'ailleurs c'est pour ça que je suis abonné à Galaxie :sifflote:

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J'ai toujours trouvé le ton de l'edito amer. C'est un style ... que je ne partage pas du tout.Je pense qu'on peut faire passer le même message mais sans agressivité.

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Gillossen a écrit :En même temps, l'amertume et l'agressivité, ce sont deux notions différentes. ;)
Tout à fait d'accord, et là c'est clairement de l'amertume...

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Aslan a écrit :http://media.biblys.fr/extrait/89/45389.pdfLe dernier édito de Bifrost.
Bof.On est censé apprendre quoi ?- internet à changer le comportement des consommateurs- les PME sont plus réactives et ont des coûts de fonctionnement réduit ce qui leur permettent de survivre là où les trucs plus gros se font bouffer par les grands groupes- il y a une saturation du marché du livre que certains n'ont pas vu venir. Le creux du cycle.Rien de nouveau sous le soleil...Mais le problème, c'est qu'en France j'ai l'impression que l'on accepte difficilement que le livre subisse les lois économiques de n'importe quel truc qu'on vend.Après que le bonhomme glisse un tacle à Bragelonne, je pense qu'il se fait plaisir mais que cela change que dalle en fait.