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Pour le plus grand plaisir de Saffron, le roman arrive chez Lumen en juin ! 

Nous sommes heureux de vous annoncer l’arrivée prochaine en librairie du roman La Vie invisible d’Addie Larue. Ce nouveau livre de V. E. Schwab, qu’elle porte en elle depuis une décennie, sera enfin entre vos mains à partir du 3 juin prochain.
Dans ce roman qui revisite avec brio le mythe du pacte faustien, V. E. Schwab imagine une héroïne touchante et vibrante condamnée à une éternité d’oubli.
Née dans la France de la fin du XVIIe siècle, Adeline sait que son destin est de devenir une épouse, de fonder un foyer et de s’étioler en quelques années, usée par une maternité non désirée et les rigueurs de la vie à la campagne au crépuscule du règne de Louis XIV. Désespérée, au soir de son mariage, elle formule le vœu d’obtenir davantage de temps et de liberté. Un souhait qu’elle n’aurait peut-être dû jamais formuler… Désormais immortelle mais maudite, libre mais condamnée à la solitude, Addie sera oubliée de tous ceux à qui elle s’adresse, dès lors qu’elle tourne les talons et disparaît de la vue de son interlocuteur…
L’autrice des séries à succès Shades of Magic, Evil ou encore Cassidy Blake est de retour avec un roman plus mature, plus personnel, sur lequel elle travaille depuis le début de sa carrière. Véritable tour de force oscillant entre une narration chronologique du parcours tricentenaire d’Addie, et sa vie à New York en 2014 où son destin va basculer, le récit est une réécriture audacieuse du motif éternel du pacte avec le diable. V. E. Schwab brode de très belles pages sur l’immortalité, la mémoire et la création. En filigrane se dessine une question douloureusement universelle : notre vie a-t-elle toujours un sens si nous ne laissons pas une trace sur le monde, et sur les autres ?
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J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman, justement pour sa lenteur. Je me demande toujours comment l'héroïne a pu ne pas devenir folle avec cette malédiction - et du coup ça ne me semble pas incohérent qu'elle passe de bars en resto et en paraisse frivole, puisque sa vie en elle-même ne s'imprime guère dans la trame du Temps.
Memento mori
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En lisant la critique je me disais justement que le côté terne et frivole du personnage me semblait au contraire bien coller à tout ce qui était décrit au-dessus, à cette vie interminable et sans substance (sans remettre en question le ressenti personnel du chroniqueur
). En tout cas ça m'a intriguée et donné envie de me pencher sur la question, si l'occasion se présente ! Bon par contre ne connaissant pas du tout la plume de Victoria Schwab je n'aurais pas vraiment matière à comparer avec ses précédents. 


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La chronique pour rappel, avec maintenant la (jolie) couv française. 
http://www.elbakin.net/fantasy/roman/la-vie-invisible-d-addie-larue-5694


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Goldberry a écrit :Est-ce qu'il existerait aussi une édition cartonnée ? J'ai trouvé le livre très très "mou" en librairie.
Non il n'existe qu'une seule version, avec un gros regret pour ma part : si on enlève le calque, il n'y a aucun titre imprimé sur le dos du livre, ni de quatrième de couverture - juste du blanc, et l'illustration de la jeune femme devant.
Memento mori
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Pas mon livre préféré de l'autrice.
D’ordinaire, je n’ai rien contre les récits lents, j’ai même plutôt tendance à bien y accrocher. Mais là, je n’ai pas trouvé ça lent, j’ai trouvé ça mou. J’ai eu l’impression qu’un tiers au moins du roman n’était que du remplissage dans lequel il ne se passait rien, que si on enlevait des chapitres entiers, cela ne changerait rien à l’histoire, à l’atmosphère, au propos de l’autrice, au développement des personnages…
Cela dit, cette impression a sans doute été accentuée par le fait que je l’ai lu en VO et que je suis une lectrice lente en anglais.
Pourtant, j’ai apprécié beaucoup de choses dans cette lecture, la plume de Victoria Schwab étant toujours aussi fluide et efficace. Si un personnage qui vend son âme au diable pour un prix bien trop élevé n’est pas une idée nouvelle, elle a su se la réapproprier.
J’ai aimé la façon dont Addie imprime sa vie en creux dans celle des autres, sa façon de contourner le fait de ne jamais pouvoir laisser une trace de son existence en devenant muse. Ses questionnements et sa solitude la rendent plutôt touchante mais je ne me suis pas vraiment attachée à elle. Pour quelqu’un qui a apparemment une telle soif de vivre et de découvrir de nouvelles choses, je trouve qu’elle ne fait finalement pas grand-chose de ses 300 ans d’existence. Ses voyages semblent se cantonner à quelques villes occidentales, dans lesquelles elle fait surtout la tournée des bars et des musées.
Sa relation avec Luc est complexe, toute en contradiction : il est la source de tous ses tourments, et pourtant son seul attachement au cours de son errance.
Et sa relation avec Henry est toute mignonne. D’ailleurs, d’une manière générale, j’ai trouvé Henry plus attachant qu’Addie.
Bref, je dirais pas que j'ai détesté ou été déçue, mais je ne sors pas non plus emballée de ma lecture.
Par contre, j'adore la couverture VF !
D’ordinaire, je n’ai rien contre les récits lents, j’ai même plutôt tendance à bien y accrocher. Mais là, je n’ai pas trouvé ça lent, j’ai trouvé ça mou. J’ai eu l’impression qu’un tiers au moins du roman n’était que du remplissage dans lequel il ne se passait rien, que si on enlevait des chapitres entiers, cela ne changerait rien à l’histoire, à l’atmosphère, au propos de l’autrice, au développement des personnages…
Cela dit, cette impression a sans doute été accentuée par le fait que je l’ai lu en VO et que je suis une lectrice lente en anglais.
Pourtant, j’ai apprécié beaucoup de choses dans cette lecture, la plume de Victoria Schwab étant toujours aussi fluide et efficace. Si un personnage qui vend son âme au diable pour un prix bien trop élevé n’est pas une idée nouvelle, elle a su se la réapproprier.
J’ai aimé la façon dont Addie imprime sa vie en creux dans celle des autres, sa façon de contourner le fait de ne jamais pouvoir laisser une trace de son existence en devenant muse. Ses questionnements et sa solitude la rendent plutôt touchante mais je ne me suis pas vraiment attachée à elle. Pour quelqu’un qui a apparemment une telle soif de vivre et de découvrir de nouvelles choses, je trouve qu’elle ne fait finalement pas grand-chose de ses 300 ans d’existence. Ses voyages semblent se cantonner à quelques villes occidentales, dans lesquelles elle fait surtout la tournée des bars et des musées.
Sa relation avec Luc est complexe, toute en contradiction : il est la source de tous ses tourments, et pourtant son seul attachement au cours de son errance.
Et sa relation avec Henry est toute mignonne. D’ailleurs, d’une manière générale, j’ai trouvé Henry plus attachant qu’Addie.
Bref, je dirais pas que j'ai détesté ou été déçue, mais je ne sors pas non plus emballée de ma lecture.
Par contre, j'adore la couverture VF !
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Cela fait un long moment que je n'ai pas lu un roman sur lequel je pouvais laisser un commentaire par ici, mais malheureusement, je reviens avec un abandon !
J'avais aimé V.E. Schwab pour Shades of Magic et le résumé de La vie invisible d'Addie LaRue m'attirait tellement que je pensais accrocher sans problème. Sauf que ça n'a pas été le cas... J'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser à l'histoire, à ce qui se passait (soit pas grand-chose). Comme Saffron et No'Wens, je ne comprenais pas comment elle pouvait être la même après tant d'années de vie. À la lecture, c'est comme si ce qu'elle avait échangé contre cette nouvelle vie n'était pas assez fort, que ce n'était pas un réel besoin de liberté. Je ne ressentais pas son désir de vivre, de voyager, c'est un peu comme si elle vivait par dépit. Et si ça peut se comprendre à cause de la malédiction et de ses limites, je pensais qu'elle pourrait malgré tout être différente des siècles plus tard, proposant une évolution, un contraste. Dans le présent, il n'y avait rien qui m'intriguait chez elle, qui me donne envie de découvrir tout ce qu'elle a pu vivre et découvrir dans sa vie.
N'ayant pas d'attachement pour Addie Larue, mais pas plus pour les autres personnages, je ne trouvais pas mon compte dans la lenteur du récit, très contemplatif. Hormis les citations qui m'ont finalement amenées à lire ce livre, il ne ressortait rien de ma lecture qui vaille le coup d'aller au-delà de cette lenteur. Ça manquait clairement de dynamisme pour moi, d'enjeu et d'attachement. Ce qui fait que j'ai préféré abandonner ! :/
J'avais aimé V.E. Schwab pour Shades of Magic et le résumé de La vie invisible d'Addie LaRue m'attirait tellement que je pensais accrocher sans problème. Sauf que ça n'a pas été le cas... J'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser à l'histoire, à ce qui se passait (soit pas grand-chose). Comme Saffron et No'Wens, je ne comprenais pas comment elle pouvait être la même après tant d'années de vie. À la lecture, c'est comme si ce qu'elle avait échangé contre cette nouvelle vie n'était pas assez fort, que ce n'était pas un réel besoin de liberté. Je ne ressentais pas son désir de vivre, de voyager, c'est un peu comme si elle vivait par dépit. Et si ça peut se comprendre à cause de la malédiction et de ses limites, je pensais qu'elle pourrait malgré tout être différente des siècles plus tard, proposant une évolution, un contraste. Dans le présent, il n'y avait rien qui m'intriguait chez elle, qui me donne envie de découvrir tout ce qu'elle a pu vivre et découvrir dans sa vie.
N'ayant pas d'attachement pour Addie Larue, mais pas plus pour les autres personnages, je ne trouvais pas mon compte dans la lenteur du récit, très contemplatif. Hormis les citations qui m'ont finalement amenées à lire ce livre, il ne ressortait rien de ma lecture qui vaille le coup d'aller au-delà de cette lenteur. Ça manquait clairement de dynamisme pour moi, d'enjeu et d'attachement. Ce qui fait que j'ai préféré abandonner ! :/
« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin
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Nous avons la joie de vous annoncer l’arrivée en librairie à l’automne prochain d’une version collector de La Vie invisible d’Addie Larue ! Le roman phénomène de V. E. Schwab s’offre un nouvel écrin le 13 octobre prochain.
Immortelle mais maudite, libre mais condamnée à la solitude, Addie Larue a forgé un pacte qui la condamne à être oublié de tous. Depuis trois cents ans, elle arpente la terre en quête de moyens de tromper son ennui. Jusqu’au jour où elle croise enfin quelqu’un capable de se souvenir d’elle…
Best-seller international, au succès aussi bien critique que public, La Vie invisible d’Addie Larue a su rencontrer son lectorat en France : depuis sa sortie en juin 2021, le titre a été réimprimé 4 fois et s’est écoulé à plus de 40 000 exemplaires ! C’est pour cela que nous sommes heureux de proposer à l’automne une nouvelle édition collector de ce roman coup de cœur.
Cette nouvelle version du roman phénomène de V. E. Schwab se présentera sous la forme d’un livre relié, avec une jaquette à l’illustration exclusive et un jaspage représentant une constellation d’étoiles, véritable clin d’œil aux taches de rousseur qui saupoudrent le nez d’Addie. Le roman comptera également des pages de garde illustrées et du contenu additionnel.
Découvrez ou redécouvrez ce roman inoubliable, sur lequel V. E. Schwab planchait avec passion depuis le début de sa carrière : l’autrice à succès y brode des pages immortelles sur l’art, l’éternité et l’oubli.