
Du glaçant, du stupéfiant, du terrifiant ; de l'inoubliable !
Un lapin envoûté qui dévore trois générations, une tête qui appelle sa mère depuis la cuvette des toilettes, des doigts glacés qui s'enfoncent dans la terre, un renard qui saigne de l'or, des cicatrices, des mots d'amour, du sang, un fantôme qui se hâte sur une grand-place de Pologne...
Maîtresse du réalisme magique, Chung Bora revêt dans ce Lapin Maudit les habits de la littérature de genre. Le lecteur pensera alors aux modèles féministes Margaret Atwood, Laura Kasischke et Cho Nam-joo. Et à Stephen King.