

Ça m'agace particulièrement dans le cas de ce livre ! Quand on compare la couverture et la description pourtant très insistante de l'auteur sur les courbes de son héroïne... Et j'ai vérifié, c'est à peu près pareil pour toutes les éditions, quelque soit l'illustration... même dans le manga !Zakath Nath a écrit :On voit énormément de couvertures de ce genre et cela ne correspond d'ailleurs pas toujours à la description de l'héroïne (les couvertures du Livre de Poche pour le Protectorat de l'Ombrelle montre une fille mince à taille de guêpe, ce que n'est pas Alexia, sans qu'elle soit obèse pour autant.
A mon avis, ça coûte encore moins cher.Piou-oi-oi a écrit :Je viens également de penser au faite qu'il est peut-être plus rentable de payer un mannequin, un photographe et un graphiste pour qu'il fasse quelque retouche plutôt qu'un peintre, un dessinateur, ou tout simplement un graphiste pour réaliser l'intégralité de la couverture ? Mais je dis peut-être une connerie, je n'y connais rien dans ce domaine là...
C'est bien ce que je dis. Mais une couverture, certes moche, mais suggestive (bien qu'à sa manière ) génère sans doute plus de clique que celle moche mais qui ne l'est pas. La Bit-Lit est un genre clairement identifié et identifiable par ses lecteurs sur internet et en librairie, qui plus est, racoleur sur le net. Et avec le succès qu'a eu 50 nuances, c'est aussi un moyen de dire à ce lectorat potentiel, nous aussi on pourrait répondre à vos attentes. Aucunes raisons donc, de changer les couv'. Donc, non, je ne suis pas d'accord avec ton histoire de bonnet. Parce que ce choix d'appât, n'est pas le fruit du hasard.Nephtys a écrit :A propos d'Internet, on peut également prendre le probleme à l'envers: selon les chiffres, si on sait qu'une maison d'édition va plus marcher via plate-formes de ventes en lignes que sur les étals d'un libraire/une chaîne de distribution...autant bâcler la couverture puisqu'elle ne joue pas de la même manière le rôle d'appât? Bref c'est bonnet blanc et blanc bonnet....
Tout dépend de la démarche marketing. D'un coté un éditeur français qui privilégie le circuit de vente de la grande distribution et qui conçoit le type de couverture qui va intéresser la lectrice de supermarché. De l'autre un éditeur américain qui a une démarche de vente plus librairie et qui propose une couverture qui donne une véritable ambiance du récit.D'un coté un foutage de gueule, de l'autre un minimum de respect du lecteur. Moralité le respect du lecteur en France on s'en fout. Le marketing éditorial est devenu caricatural.Woow, c'est clair que c'est le jour et la nuit
Je crois que c'est Devos qui a dit "En général, ceux qui font des généralités sont des cons."Comment peut-on mettre à ce point toute le monde dans le même panier ???Fabien Lyraud a écrit :...Moralité le respect du lecteur en France on s'en fout. Le marketing éditorial est devenu caricatural.
C'est pas non plus la couv' du siècle, bien sûr, mais ne serait-ce qu'au niveau des couleurs et du cadrage elle est déjà vachement plus intéressante. Au moins, on a la tête de l'héroïneHiémain a écrit :c'est pas ultime et on reste sur un perso peu vêtu et à l'esthétique parfaite et aux seins bien remontés
Tout de même dans cette couverture, la tenue semble permettre à l'héroïne de se mouvoir pour combattre. Dans la précédente je pense qu'elle est figée sur ce chemin parce-que son pantalon en simili cuir a fait ventouse avec... humDans tous les cas, entre les deux je ne sais laquelle choisir...Et magnifique couverture sur le post de Gilossen!Flykillerman a écrit :Vous êtes sérieux? :huh:Dans son genre, elle est aussi horrible que l'autre.C'est quoi ce vieux monstre tout droit sorti de X-OR?
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